Ludivine

  

 rose partition

 

 

Une femme-enfant , une gentille chipie qui

aime être dominée sexuellement et recevoir des fessées.

Je ne prétends pas être la meilleure des soumises, loin de là , mais je le suis à ma manière.

Juste moi, tout simplement .......

Pensées et réflexions

Lundi 10 août 1 10 /08 /Août 11:02

 

 

 

 

 


Dernièrement un dom m’a demandé de lui faire le récit d’un de mes fantasmes et là, j’avoue que j’ai bloqué.

Il m’est beaucoup plus facile de parler de choses vécues que de raconter par le menu la rencontre qui me ferait fantasmer.


Personnellement comme tout un chacun j’ai des images en tête , mais les mettre bout à bout n’est pas si aisé , et d’abord livrer ainsi en bloc ce qui nous fait fantasmer c’est livrer une image pas entièrement exacte de soi car tous les fantasmes ne sont pas réalisables , je pense que le passage du rêve à la réalité doit s’arrêter à la frontière qui nous est propre quand on ressent que réaliser une chose sur laquelle on a pu fantasmer nous sera hyper pénible autant de ne pas la tenter plutôt que d’en sortir amoindrie voir bloquée .

Certaines femmes ont eu le fantasme d’être violées, est ce pour autant qu’elles aimeraient  le vivre ? Des soumises peuvent jouer avec leur dom un viol simulé mais elles savent que ce n’est que de la simulation et là ça change tout.

 

Et des exemples il y en a plein, ce n’est pas parce qu’on a adoré le film Histoire d’O qu’on a peut être rêvé de revivre certains moments  très durs qu’on a vraiment envie de passer à l’acte, entre ce qu’on peut endurer dans nos fantasmes et dans la réalité il y a  une marge, plus ou moins importante selon les personnes.

 

Certains fantasmes sont bien là où ils sont, dans notre imaginaire, pour les autres qui nous tentent et qu’on en a vraiment envie …. pourquoi ne pas les vivre?


 
Par Ludivine - Publié dans : Pensées et réflexions
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Lundi 10 août 1 10 /08 /Août 08:08







Il m’est arrivé une chose que j’ai déjà connue dans le passé, et pas qu’une fois, je n’ai plus 20 ans, (faîtes moi la grâce d’accepter le fait que lorsqu’on a dépassé 46 ans on puisse avoir eu dans sa vie plusieurs amants sans pour cela être une « femme perdue ») : un homme avec qui c’était bel et bien fini a remontré le bout de son nez.

 

Lorsque les choses ont été dites, qu’on s’est dit adieu, si l’un des deux a eu du mal à intérioriser ce mot, il espère toujours que ce n’est qu’un au revoir et cela peut se comprendre qu’il ou elle, parce que l’oubli ne vient pas ou parce que ce qui n’avait pas fonctionné est analysé, reprenne contact et tente de reprendre tout court. La suite dépend de l’autre….

 

Les rapports de couple sont ainsi faits qu’il est rare que l’un ait autant de sentiment que l’autre mais quelquefois c’est celui qui en avait le moins qui se retrouve en ressentir de nouveau alors que pour l’autre ce n’est plus le cas.

 

J’ai vu mon ex mari faire mon siège un mois durant par petits mots doux placés sur le pare-brise de ma voiture, 6 ans après notre divorce, espérant  peine perdue que je condescende à le reprendre.

 

Lorsqu’il est indéniable qu’une histoire est terminée, que les mots ou les non réponses très claires à la question cruciale posée l’ont montré, en ce qui me concerne je ne me laisse plus jamais fléchir, je l’ai fait il y a quinze ans pour un amant vanille qui se disait sincère et il a de nouveau  joué les girouettes, il a même eu un gout de revenez-y 3 mois après mais cette fois là je n’ai pas cédé.

 J’ai l’habitude de dire et ce n’est qu’une image (car je n’accepte pas les gifles) qu’après une gifle (morale) je ne tends jamais l’autre joue.

Les hommes sont beaux-parleurs, ils tentent de nous amadouer par des mots doux, le rappel de moments choisis, espérant ainsi raviver en nous ce sentiment ou cette envie qui fut la notre.

 

Mais les hommes sont aussi souvent lâches, force est de le constater à parler avec d’autres femmes.

Quand une femme a décidé qu’une histoire est terminée, en général, elle l’exprime, elle ne se défile pas devant sa responsabilité, sa décision est prise elle l’énonce.

La plupart des femmes aiment que les choses soient claires, ont le courage de les dire, j’ai bien dit la plupart car la lâcheté féminine peut certainement exister également.


Il n’est jamais facile de mettre un terme à une relation, c’est tellement plus facile de laisser à l’autre le soin de dire les mots qui fâchent !!!!


Certains hommes ont le courage d’exprimer ce qu’ils pensent, mais malheureusement ils ne font pas légion.


Les hommes sont ainsi faits que souvent ils se défilent et ne donnent plus signe de vie, alors quelque fois lorsqu’on leur pose la question, qu’on leur tend la perche, ils la saisissent et nous disent la vérité qu’on connaissait déjà ou d’autres fois ils sont trop lâches, ils jouent les abonnés absents et nous laissent mettre seule le mot fin à cette histoire.


Je déteste cette lâcheté, la vie serait nettement plus facile si l’on osait dire les choses telles qu’on les pense !!!


Pour en revenir au monsieur en question, qui m’avait montré son peu de courage en ne donnant plus signe de vie , il a eu les « couilles » de repointer son nez , espérant que les dites couilles trouveraient très vite place dans mes mains et que les siennes iraient aussi vite rougir mon humble fessier , mais celle qui lui fut très peu de temps soumise ne l’est plus ,si je n’ai plus aucun sentiment pour ce monsieur et que mon appartenance est ailleurs, ma langue, loin de le flatter s’est faite beaucoup plus acerbe lui retirant je l’espère à jamais le gout de revenez-y…..

 

 

 

Par Ludivine - Publié dans : Pensées et réflexions
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Samedi 25 juillet 6 25 /07 /Juil 21:09

Posté le 23/07/2009 à 22:29 par motsetmaux





Faut-il être maso pour être soumise, à voir certaines photos sur des blogs de soumises ou dans les galeries de sites bdsm, on peut se le demander, et d’ailleurs pendant très longtemps j’ai dit que je n’étais pas soumise car je refuse la douleur excessive et en fait je pense n’être maso que de mon fessier….

J’ai vu dernièrement des photos qui montraient l’état des seins d’une soumise après une séance particulièrement sévère et l’aspect de ses seins m’a secouée, je pense quant à moi qu’il y a des limites à ne pas dépasser dans le « travail des seins » et je me pose sincèrement la question du risque médical inhérent à certaines pratiques

Chacun est libre de subir ce qu’il a envie, je ne me permettrais donc pas de juger cette personne mais en ce qui me concerne il est hors de question de subir des traumatismes susceptibles d’occasionner des séquelles à plus ou moins long terme.

Alors la fessée, me direz vous…C’est sur les fesses que l’on tombe lorsqu’on fait ses premiers pas, lorsqu’on patine ou qu’on skie (ok on peut faire un plongeon avant, mais c’est moins fréquent et l’on est protégé un minimum) alors je dirais que sur les fesses je ne pense pas que des hématomes aient une quelconque incidence malheureuse à long terme, pour les seins j’en suis nettement moins certaine….
Par Ludivine - Publié dans : Pensées et réflexions
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Samedi 25 juillet 6 25 /07 /Juil 21:08

Posté le 13/07/2009 à 01:06 par motsetmaux





Tout comme il n’y a pas un seul type de soumission, il n’y a pas non plus un seul type de domination, l’important est que le dom et sa soumise y trouvent leur compte.

Au départ d’une relation tout n’a pas été dit, on se découvre et tôt ou tard peuvent apparaître des divergences dans les pratiques du dom et de sa soumise, plus ou moins importantes, qui peuvent parfois amener à la rupture.

A ce propos j’ai été frappée par 2 approches aux antipodes l’une de l’autre de 2 doms, l’un me disait qu’il adaptait ses pratiques en fonction de sa soumise, l’autre estimait que c’était à la soumise de s’adapter.

Lorsque des divergences apparaissent, je pense déjà que d’en discuter permet de savoir si des concessions peuvent être faites d’un côté ou des 2, mais si le différent persiste alors l’un des 2 doit céder et un élément important rentre en ligne de compte, c’est la faible proportion de soumises libres par rapport aux doms.
Il ne faut pas oublier également une chose : c’est la soumise qui subit, c’est elle qui va ressentir la douleur. Chaque personne a son propre seuil de douleur, alors je pense que c’est au dom de s’adapter dans l’intensité de ses gestes et si c’est une pratique bien particulière que la soumise refuse, et qu’en discuter n’a pas modifié sa position alors encore une fois c’est au dom de s’adapter , faute de quoi il risque fort de se retrouver à rechercher une autre soumise, et de là à se poser cette question , qui des deux domine l'autre finalement
Par Ludivine - Publié dans : Pensées et réflexions
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Samedi 25 juillet 6 25 /07 /Juil 20:48

Posté le 14/06/2009 à 10:31 par motsetmaux






Le SIDA a changé beaucoup de choses dans les habitudes.

Je travaille dans le milieu médical et je me souviens que la 1 ère année dans les congrès, on n’entendait parler que de ça par les labos et ils ont trouvé vraiment là une source de revenu énorme et pour de nombreux professionnels de santé une source d’inquiétude quant aux produits utilisés jusqu’à cet évènement (inquiétude rapidement dissipée en ce qui me concerne car les produits que j’utilisais se sont révélés avoir une formule adéquate au final).
Mais les procédures de désinfection ont été modifiées entrainant l’achat de produits supplémentaires peut être inutiles (info ou intox ?) mais mieux vaut ne pas prendre de risque et s’exécuter…

Avant l’épidémie de SIDA, les femmes prenaient la pilule pour se protéger d’une éventuelle grossesse en se disant que la syphilis se soignait très bien avec des antibiotiques.

Il y a eu la génération pilule maintenant c’est la génération capotes

Il est une chose évidente par les temps qui courent et ceci depuis maintenant plus de 20 ans que l’industrie du préservatif est une industrie florissante.

Il est évident que les rapports non protégés en absence de test valable sont à proscrire.

Malheureusement certains adolescents ont tellement confiance en leur petit copain ou copine qu’ils ne jugent pas nécessaire d’en utiliser et malheureusement une seule fois peut suffire , des ados de 16 ans atteints du virus du HIV ça arrive.

Je me souviens d’une femme adorable qui me disait dans les années 90, « moi je fais la leçon à mes fils mais moi je ne le demande pas, avec mes amis j’ai confiance…! »

Le temps de l’insouciance et des rapports non protégés est malheureusement bel et bien révolu ….

Je me souviens alors qu’on commençait à parler de l’épidémie et de la nécessité du port de préservatifs , j’eus un ami et évidemment le sujet fut abordé , j’avais bien potassé mon formulaire que j’avais reçu des autorités sanitaires, et je me souviens que dans la voiture , garée sur le parking d’un centre commercial Carrefour (eh oui , on avait opté pour une pharmacie où nous n’allions ni l’un ni l’autre) lui avoir bien fait la leçon : « tu les prends avec réservoir et lubrifiés »
Et il revint tout fier avec une boite de préservatifs lubrifiés, mais ….. sans réservoir !!
Mon sang ne fit qu’un tour (bon, on pouvait tirer sur le bout pour en faire un de réservoir, mais quand même !!) et je lui tendis la boite en lui disant simplement : « Tu y retournes »
Il partit en bougonnant « la prochaine fois c’est toi qui y vas » et se pointa devant la pharmacienne en lui disant « Elle a dit AVEC réservoir »

Je me rappelle en souriant de sa réflexion, 2 mois plus tard, après que nous ayons fait le test « Tu crois que je saurais sans ? »

Par Ludivine - Publié dans : Pensées et réflexions
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