Ludivine

   
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d'ordi à ordi  Une femme-enfant , une gentille chipie qui aime être dominée sexuellement et recevoir des fessées.


 

Je ne prétends pas être la meilleure des soumises, loin de là , mais je le suis à ma manière.  

 

  Juste moi, tout simplement  ....  copyrightfrance-logo13

 

Dimanche 12 mai 7 12 /05 /Mai 20:12
 Cet article,  copié ICI  a été publié par Kelsey Borresen et traduit par Iris Le Guinio 

 
Le BDSM pour les nuls: tout ce que vous devez savoir avant de vous lancer 
Oubliez "Cinquante nuances de Grey". Voici des conseils de spécialistes pour pimenter sans risque vos rapports intimes.
 
 
 
 
 
 
VYACHESLAV KOZYREV VIA GETTY IMAGES

Les pratiques BDSM –qu’on appelle des “scènes”– n’impliquent pas nécessairement de rapports sexuels au sens strict.
SEXUALITÉ - Le BDSM est aujourd’hui plus “grand public” que jamais. Ceci dit, beaucoup d’idées reçues continuent à circuler et de nombreuses personnes qui pourraient être tentées de s’y intéresser ne savent pas par où commencer.
Tout d’abord, l’acronyme BDSM (bondage et discipline, domination et soumission, sadisme et masochisme) est une appellation générique qui sert à désigner différentes activités impliquant généralement –mais pas toujours– des relations de pouvoir. C’est aussi devenu un terme fourre-tout, accolé à de nombreuses communautés et activités sortant du cadre d’une sexualité traditionnelle. Cela peut inclure la fessée, la flagellation, le candaulisme, l’urophilie et la féminisation forcée. Notons que les pratiques BDSM –qu’on appelle des “scènes”– n’impliquent pas nécessairement de tapports sexuels au sens strict.
Que vous soyez célibataire en quête de nouveauté pour pimenter votre vie sexuelle ou que vous ayez un(e) partenaire prêt(e) à expérimenter de nouvelles sensations, cet article est fait pour vous. Ci-dessous, des travailleurs du sexe, des sexologues et d’autres spécialistes vous disent tout ce que vous devez savoir avant de vous lancer.
Avant tout, renseignez-vous
Ne vous précipitez pas. Faites d’abord quelques recherches pour vous renseigner sur les pratiques qui existent, ce qui vous intéresse et comment vous lancer dans ce genre d’activités en toute sécurité.
 
 
 
 
 
 
“Il faut vraiment y aller en douceur”, recommande Oz Bigdownunder, travailleur du sexe et dominant professionnel (dans une relation dominant-dominé, le dominant est la personne qui détient le pouvoir pendant la scène, tandis que le dominé est celle qui renonce volontairement à tout contrôle).Vous pouvez vous inscrire sur des réseaux sociaux comme FetLife, le “Facebook des kinksters” (les personnes qui aiment le BDSM ou toute autre forme de pratique sexuelle non-traditionnelle), pour recueillir des informations sur les différents événements et rencontres organisés dans votre région.“Les ‘munchs’ sont des rassemblements organisés pour permettre aux kinksters de se rencontrer dans un endroit neutre”, explique Oz Bigdownunder. “Il n’y a pas de scène pendant les munchs, mais vous pouvez vous y faire de nouveaux amis et les retrouver en privé ou en public dans un lieu dédié.” WESTEND61 VIA GETTY IMAGES
 
Avant de démarrer toute activité BDSM, assurez-vous d’avoir fait des recherches et eu une conversation ouverte avec votre (ou vos) partenaire(s) sur le consentement.
Vous pouvez aussi lire des livres sur le sujet, vous rendre à des ateliers spécialisés ou entrer en contact avec un mentor expérimenté qui vous montrera les ficelles du métier, si l’on peut dire.
“Inutile de foncer acheter des accessoires si vous n’avez pas été formé pour les utiliser sans risque”, prévient Hudsy Hawn, formatrice spécialisée dans les pratiques kinky (osées) et dominatrice professionnelle. “Le plus important des muscles à faire travailler dans ce genre de pratique, c’est votre cerveau.
Choisissez des livres sur les sujets qui vous intéressent. Trouvez des cours près de chez vous qui enseignent ce qui vous plaît, à vous et à votre partenaire. Pour finir, sortez de chez vous et rencontrez des gens qui aiment les mêmes choses et s’y connaissent, pour pouvoir les observer et apprendre d’eux.”
Pour les novices, Kitty Stryker, rédactrice de l’anthologie Ask: Building Consent Culture (“Demander la permission: comment créer une culture du consentement”) suggère de se rendre aux événements avec un(e) ami(e) jusqu’à ce que l’on se sente assez à l’aise pour y aller seul(e).
De manière générale, communiquer est essentiel
Pour beaucoup de gens, parler de sexe ou d’autres sujets érotiques est gênant. Cela suscite parfois un profond malaise. Mais il n’y a aucun moyen de pratiquer en toute sécurité le BDSM sans avoir une conversation honnête entre adultes avec votre ou vos partenaire(s).
“Il faut pouvoir parler sans gêne avant de se lancer,” insiste le sexologue et psychothérapeute David Ortmann. “Cela paraît facile, mais notre société a encore beaucoup de mal à parler de sexe de façon directe. Il est donc nécessaire de travailler d’abord la communication. Nous devons parler à nos partenaires de notre expérience ou de notre manque d’expérience, de nos désirs, nos fantasmes et des petits frissons de peur qui en décuplent l’attrait, mais aussi de nos peurs bien réelles relatives à la sécurité, la négociation des termes du contrat, et au respect des limites et du consentement. 
Si vous ou votre partenaire avez du mal à avoir ce genre de conversation, vous n’êtes probablement pas prêts pour le BDSM. 
“Si vous êtes incapables de parler de sexe, vous ne pouvez pas demander son consentement à votre partenaire ni lui donner le vôtre”, précise David Ortmann. “C’est donc une condition sine qua non.”
 Le consentement est au centre de tout
“S’il n’y a pas de consentement, ce n’est pas du BDSM”, souligne Oz Bigdownunder. “C’est une agression et quelqu’un va en souffrir.”
Chaque fois que le dominant rencontre un nouveau client pour une séance de BDSM, il s’assure d’avoir avec lui une conversation claire et honnête sur ce à quoi la personne consent avant de commencer toute activité.
“Je demande à mes clients s’ils ont des limites, s’il y a quelque chose qu’ils veulent absolument faire ou au contraire surtout pas, s’ils ont déjà fait ce genre de chose et, si oui, ce qui leur a plu et déplu, s’ils ont eu de bonnes ou de mauvaises expériences”, explique-t-il. “Je récolte le plus d’informations possible pour pouvoir leur offrir la meilleure séance possible.”
Pour Hudsy Hawn, la formule est simple: consentement = communication + négociation. Pour obtenir un consentement clair, les deux personnes doivent se mettre d’accord et communiquer pour savoir quel genre d’activité elles souhaitent essayer et celles qu’elles veulent éviter.
S’il n’y a pas de consentement, ce n’est pas du BDSM. C’est une agression et quelqu’un va en souffrir.Oz Bigdownunder, travailleur du sexe et dominant professionnel
 
“À partir de là, vous pouvez tous les deux commencer à négocier les points de détails”, indique-t-elle. “Une fois ces étapes franchies, vous vous retrouverez avec une liste de choses consensuelles à essayer.
Si une idée géniale vous vient après le début d’une scène, gardez-la pour plus tard, quand vous serez plus posés et en mesure de donner un consentement éclairé.”
Quand Kitty Stryker a commencé le BDSM, elle a cru à tort que laisser des gens violer son consentement et la forcer à repousser ses limites d’une façon qui la mettait mal à l’aise “faisait simplement partie du processus pour déterminer ce que j’aimais ou non”.
“Mais ce n’est pas le cas”, ajoute-t-elle. “C’est à vous d’établir vos propres limites, et les autres doivent les respecter.”
Assurez-vous de choisir un code de sécurité (ou safe word) avant de commencer. Pour éviter tout malentendu, les codes de sécurité doivent être des mots que vous ne risquez pas d’employer dans le contexte normal d’une scène. Même des mots comme “non” ou “arrête” peuvent être mal interprétés si vous les utilisez dans le cadre d’un jeu de résistance (dans lequel le dominé feint de résister au dominant). 
Écoutez en permanence vos propres ressentis et ceux de votre partenaire
En cherchant à élargir vos horizons en matière de sexe, il se peut que vous essayiez quelque chose de nouveau et découvriez que cela ne vous plaît pas. Ce n’est pas grave. Assurez-vous seulement de le dire à votre partenaire et encouragez-le à en faire autant.
“Parlez-en!”, insiste Kitty Stryker. “Si vous n’aimez pas quelque chose, ça ne fait rien. Ca ne fait pas de vous un mauvais adepte des jeux pervers.”
Même en plein milieu d’une scène, exprimez-vous si vous ne vous sentez pas. Peu importe que vous ayez donné votre consentement au début. Si cela ne vous plaît pas, vous avez tout à fait le droit de faire une pause ou d’arrêter complètement.
 
Si vous n’aimez pas quelque chose, ça ne fait rien. Ça ne fait pas de vous un mauvais adepte des jeux pervers.Kitty Stryker, rédactrice de l’anthologie Demander la permission: comment créer une culture du consentement.
 
“Pour moi, en tant que dominant professionnel, le pire scénario serait que quelqu’un subisse en silence quelque chose qu’il déteste parce qu’il pense que renoncer serait un échec”, reprend Oz Bigdownunder.
“Avant de commencer une séance, quelle qu’elle soit, je fais toujours de mon mieux pour faire clairement comprendre aux clients qu’ils ont le droit de vouloir ralentir ou faire une pause, changer d’avis sur ce qu’on fait et la façon dont on le fait, et qu’ils peuvent me dire d’arrêter quand ils veulent. Je demande souvent aux gens comment ils se sentent.”
Avancez étape par étape, sans vous précipiter
Il est tout à fait normal de ne tremper d’abord qu’un orteil dans le grand bain du BDSM. Nazanin Moali, sexologue et animatrice du podcast Sexology, suggère de procéder par petites étapes jusqu’à ce que vous vous sentiez plus à l’aise.
“Vous pouvez commencer par un acte sexuel ordinaire que vous appréciez tous les deux et y ajouter un soupçon de piment, comme tirer les cheveux ou une légère fessée”, conseille-t-elle. “La fois suivante, ajoutez quelque chose à une autre pratique sexuelle que vous aimez tous les deux. Parfois, trop d’accessoires et de nouveautés peut aboutir à un sentiment de confusion et de déception.”
N’oubliez pas “l’aftercare”
Dans le milieu BDSM, “l’aftercare” est le réconfort physique ou moral et les petites attentions échangées entre partenaires après une expérience sexuelle intense. Cela peut consister à offrir un verre d’eau, quelque chose à grignoter ou simplement des mots tendres. Il peut aussi s’agir de soigner les coupures ou toute autre blessure causée à votre partenaire (comme des fesses meurtries après une fessée).
“Les deux personnes ont besoin que l’on prenne soin d’elles”, précise Hudsy Hawn. “Il est important de restaurer le bien-être émotionnel et physique de votre partenaire. Prenez le temps de lui demander quel genre d’échange il préfère après la séance. Une relation BDSM fonctionne sur la réciprocité et chacun a droit à l’aftercare.”
Vous pouvez aussi profiter de ce moment pour échanger sur votre expérience. A-t-elle répondu à vos attentes? Qu’avez-vous aimé –ou n’avez-vous pas aimé– l’un et l’autre?
“J’ai souvent entendu mes clients dire qu’ils s’attendaient à aimer telle ou telle pratique. Mais, pendant l’acte, ils s’aperçoivent que ce n‘est pas aussi intéressant qu’ils l’espéraient, ou même que cela met un frein à leur désir”, raconte Nazanin Moali. “Assurez-vous de parler de votre expérience avec votre partenaire pour voir ce qui a fonctionné ou non.”
Sachez que le BDSM n’implique pas forcément d’infliger de la douleur
Bien sûr, certaines activités, comme la flagellation, peuvent provoquer une douleur physique mais ce n’est pas le seul objectif.
“Même si infliger ou recevoir de la douleur fait indubitablement partie du sadomasochisme, la plupart des activités BDSM ont avant tout pour but d’altérer les sensations et d’apporter de la nouveauté dans la vie sexuelle”, assure-t-elle.
Être attiré par le BDSM ne fait absolument pas de vous quelqu’un de “détraqué”
N’importe qui, quelles que soient ses expériences en matière de sexe, peut s’intéresser au BDSM. Cela ne veut pas dire que vous avez subi un traumatisme ou que “quelque chose ne va pas” chez vous.
 
Les pratiques sexuelles non-conventionnelles n’impliquent nullement un désordre mental ou un passé traumatiqueNazanin Moali, sexologue et animatrice du podcast Sexology
 
“Les pratiques sexuelles non-conventionnelles n’impliquent nullement un désordre mental ou un passé traumatique”, affirme la spécialiste.
Si le fait de penser à des pratiques BDSM ou en parler suscite en vous un sentiment de “souillure” ou de honte, il serait bon de vous confier à un proche, votre partenaire ou un thérapeute pour vous libérer de ces barrières psychologiques.
Alors comment parler à votre partenaire de votre attirance pour le BDSM?
Si vous êtes en couple et souhaitez aborder le sujet avec votre conjoint mais ne savez pas comment faire, nos experts ont quelques astuces pour vous faciliter les choses.
Avant de démarrer la discussion, soyez au clair dans votre esprit sur vos désirs et sur la manière dont vous aimeriez que votre partenaire s’investisse.
“Prenez le temps de penser aux éléments du BDSM qui vous excitent et notez vos réflexions à ce sujet”, recommande-t-elle. “Il est tout à fait normal d’avoir peur des malentendus et de se sentir un peu honteux. En fait, c’est souvent pour cette raison que les gens ne prennent pas le temps de réfléchir à ce qu’ils veulent et ce qu’ils aiment.”
“Ils sont persuadés que leur partenaire n’acceptera jamais d’explorer cet univers avec eux. Vous augmenterez vos chances de convaincre votre conjoint de prendre part à cette expérience si vous avez déjà compris ce que vous plaît et vous excite.”
Vous pouvez choisir d’avoir cette conversation dans un lieu intime.
 
“Pour parler à votre ou vos partenaires de votre envie d’étendre vos expériences sexuelles au BDSM, choisissez un espace intime, comme le lit avant de faire l’amour ou de dormir”, conseille David Ortmann.
“Attisez mutuellement votre désir. Trouvez ce qui vous fait réagir et servez-vous-en.” Vous pouvez aussi commencer (ou continuer) cette conversation en-dehors de la chambre à coucher.
“Il est essentiel de choisir un moment où vous et votre partenaire pouvez prendre le temps de discuter”, insiste Nazanin Moali. “Il ou elle aura peut-être des questions à poser et cela risque de lui prendre un certain temps pour assimiler ce que vous lui dites et y réagir.”
Exprimez clairement vos propres désirs pour vous assurer que vous êtes tous les deux sur la même longueur d’ondes.
“En en parlant, utilisez des termes précis et concrets pour décrire ce que vous attendez de votre partenaire. N’est-ce qu’un fantasme ou désirez-vous réellement faire certaines de ces choses avec lui ou elle?”
Soyez ouvert au compromis.
“Personne ne peut obtenir tout ce qu’il veut dans tous ses échanges avec l’autre”, rappelle la spécialiste. “Si votre partenaire a l’air prêt à explorer une partie de ce qui vous intéresse –même une toute petite– exprimez-lui votre gratitude. Et n’oubliez pas de lui rendre la pareille. Demandez-lui s’il y a quelque chose qu’il ou elle souhaiterait essayer au lit.”
 
 
 
Par Ludivine - Publié dans : Les mots des autres
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Lundi 1 janvier 1 01 /01 /Jan 00:00

2018-1

Par Ludivine
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Dimanche 10 septembre 7 10 /09 /Sep 02:21

 

 

gfportail bdsm ou abus

 

 

 

Malheureusement  ce forum semble avoir définitivement disparu de la toile, un autre forum existe animé par le même esprit, le même but , c'est  SOS BDSM

 

 

 Pour rappel voici ce qui était indiqué en introduction de "BDSM ou Abus":

« BDSM ou Abus » est un lieu d’écoute et d’aide aux victimes de violences psychologiques ou physiques dues aux dérapages du BDSM, et ce quelle que soit leur sexualité (hétéro, bi, homo) ou leur sexe (homme, femme ou transgenre).

Le forum « BDSM ou Abus » est également un lieu de prévention et d’information, pour une pratique Sécurisée, Saine et Consensuelle. Ce forum est donc un lieu d'échange et d'information sur le BDSM pratiqué de façon responsable et respectueuse des individus.

 

Parce que certains, sous couvert de BDSM, se croient tout permis....

Parce qu'il y a des questions qu'on se pose et qu'on ne peut aborder dans notre "vie ordinaire" sans la plupart du temps passer pour des malades, être jugés  voire méprisés  ...

Parce que lorsqu'on a besoin d'une main tendue , on est soulagé de la trouver ....

 

Il était primordial que cette main tendue ne disparaisse pas, elle existe toujours, via SOS BDSM

  

Par Ludivine - Publié dans : Les blogs et sites amis
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Dimanche 30 juillet 7 30 /07 /Juil 11:43
                
Par Ludivine - Publié dans : humour
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Vendredi 14 juillet 5 14 /07 /Juil 21:28
                   
Par Ludivine - Publié dans : humour
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