Ludivine

   
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d'ordi à ordi  Une femme-enfant , une gentille chipie qui aime être dominée sexuellement et recevoir des fessées.


 

Je ne prétends pas être la meilleure des soumises, loin de là , mais je le suis à ma manière.  

 

  Juste moi, tout simplement  ....  copyrightfrance-logo13

 

Samedi 25 juillet 6 25 /07 /Juil 21:46

Posté le 28/04/2009 à 12:00 par motsetmaux




Il est rentré dans ma vie il y a près de 4 ans et entre nous c’est fusionnel.

C’est un coquin, un charmeur, un tantinet jaloux et possessif, parfois protecteur, souvent rebelle, il m’en a fait voir de toutes les couleurs.
Indépendant, il sait pourtant m’apporter son amour, par ses câlins, sa tendresse, mais sa douceur peut s’effacer devant ses accès de folie, il m’arrive parfois d’en garder les traces, car c’est jusqu’au sang qu’il me marque …

Ce chenapan, ce garnement, mon mâle à moi, c’est Andy, mon chat.

Comme je l’ai dit précédemment je n’ai absolument aucune tendance à la zoophilie .
Je sais déjà ce que vous allez penser : encore une gâteuse, son chat c’est le plus beau, le plus malin, le plus….. !!!!
C’est vrai qu’il est beau mais je ne suis pas la seule à le dire, d’ailleurs vous pouvez juger sur pièce, plus haut, c’est mon petit père qui vous regarde…..

Andy, c’est tout un poème, d’ailleurs je ne l’appelle ainsi que lorsqu’il est en train de faire une bêtise, sinon c’est moumoune, yéyette, nénette, choupchoupka, le pauvre il doit s’y perdre mais il doit être super intelligent car il répond toujours, sourire.

Il y a près de 4 ans qu’il partage ma vie, j’ai décidé de prendre un angora turc car on m’avait décrit la race comme des « chats-chiens » pas destructeurs d’intérieurs, argument de poids vu que je m’installais dans mon nouvel appartement.
Pas destructeur, je suis d’accord mais démonteur je vous l’affirme, en fait c’est un bricoleur ou plutôt un apprenti bricoleur qui en est encore au stade du démontage, pour le remontage, il faudra peut-être que je lui trouve un stage ….

Tout ce qu’il trouve comme élément rapporté (les caches des vis des meubles ou des sanitaires, les boutons du four, les stops pour les portes qui sont fait de 3 morceaux accolés, tout cela est pour lui source d’un travail acharné de démontage, et au départ, en bon chat-chien il me ramenait fièrement ses trophées aux pieds , à moi de retrouver l’endroit de leur provenance respective…

Un matin, vers 5 heures du matin, j’entendis clairement un bruit dans la cuisine, mon bricolo avait mis en marche en montant dessus le lave-vaisselle… en oubliant d’y mettre le savon, pff !!

Bref lorsqu’on rentre dans ma cuisine, on se demande en regardant mon four si l’on n’est pas dans un magasin où l’on planque les boutons de peur qu’on les fauche car j’ai pris le parti de les ranger dans un tiroir, à force ils n’auraient pas résisté !!

Evidemment on y trouve le traditionnel système de blocage de l’ouverture du frigo pour bébé, car rien ne lui plait plus que d’ouvrir la porte, sans penser à la refermer après…

En parlant de fauche, il flashe sur les montres et ne peut s’empêcher de tenter de piquer toute montre posée sur une table.

Bricolo et pickpocket, belles aptitudes… et en plus athlète confirmé !!
Il adore, surtout vers 2 heures du matin, prendre l’appartement pour un terrain de cross en jouant parfois même à saute-mouton sur la tête de sa maîtresse s’il la trouve sur son passage, c’est la tornade grise !!
Il s’est un peu assagi quand même car dans sa première année j’avais droit au plongeon du haut de la porte de la salle de bains dans la baignoire vide (il déteste l’eau, je n’en ferai jamais un nageur, snif)


Bricolo, pickpocket, athlète, un beau chenapan de 7 kilos quand même (et j’ai du pot certains de ses potes les angoras atteignent 13 kilos !!)

Mais ce garnement est surtout un peu jaloux de sa Ludivine, non qu’il s’en prenne directement à mes soupirants, il est assez intelligent pour s’en faire des copains, pas fou mon titi, il leur joue son numéro de charme et ça fonctionne en général …

Sa jalousie se manifeste autrement :
Il allait avoir 1 an, j’avais acquis depuis 4 mois un ordinateur portable, une fois refermé, souvent il s’installait dessus, mais il ne semblait pas lui en vouloir donc je ne me méfiais plus…
Erreur tragique , car mon diablotin , pris d’un accès de jalousie pour cet adversaire qui monopolisait sa maîtresse depuis trop longtemps ce jour là, profita que je m’étais éloignée de quelques mètres de mon portable pour sauter à pattes jointes et réceptionner ses 7 kilos sur mon pauvre clavier dont il explosa les touches sous mes yeux ébahis puis ravi de son exploit il vint tout fier me rapporter une des touches qu’il tenait dans sa gueule .

Il ne faut pas frapper un chat qu’ils disent, ce fut l’occasion de la seule vraie volée qu’il reçut de ma part, mais chut, c’est un secret, vous n’allez quand même pas me dénoncer à la SPA !!

J’ai dit qu’il charme mes soupirants, euh… je devrais dire pratiquement tous sauf un, celui-ci n’avait jamais eu d’animaux et n’aimait pas trop les chats.
Mon chat n’aime pas les portes fermées, il me suit partout de la chambre aux WC, pas vraiment pot de colle quand même parce qu’il n’aime pas rester trop longtemps dans mes bras, il se met à mes pieds ou sur la table à côté de moi quand je suis devant mon PC.
Bref ce jour là c’était la première fois où ce monsieur que j’avais rencontré sur un site vanille bien connu avait décidé de passer à l’action, mais « oh non, pas devant le chat, ça me gène, je vais en perdre mes moyens », conciliante, mais l’ayant prévenu que Bébé chat risquait fort de rythmer nos ébats par ses grattages à la porte (je vous rappelle que je venais de m’installer et que j’avais pris un chat « non destructeur » !!) je fermai donc la porte et nous réussîmes finalement à conclure, dans un concert de miaulements et de grattements, malgré une Ludivine hypertendue à l’idée de l’état du verso de sa porte.

Comme nous nous reposions et que mon pépère continuait à montrer sa désapprobation à ce crime de lèse-Andy, j’obtins du monsieur de rouvrir la porte interdite et le sieur Andy s’installa posément sur la table, satisfait d’avoir obtenu gain de cause et dédaigneusement nous tourna le dos.
Le monsieur rasséréné et sentant revenir son courage voulut remettre le couvert, il avait même complètement oublié l’objet de ses angoisses et s’activait au dessus de moi quand, d’un coup, je le sentis se crisper en même temps que son visage se figeait dans une expression de stupeur telle que je m’inquiétai de sa santé, et sa réponse fut : « Ton chat est en train de me bouffer les pieds !! »
Et Ludivine d’éclater de rire en pensant à son coquin en train de mordiller les pieds de celui qui la surplombait amenant le pauvre à la perte de tous ses moyens !!! Ce fut la fin de notre histoire d’ailleurs…...

Ce fut l’exception qui confirme la règle, mon chat respecte toujours les hommes qui lui laissent la porte ouverte, il joue les voyeurs pendant quelques instants mais il se détourne vite en bon habitué, puis quand le calme est revenu , il lui arrive fréquemment de s’installer à ma tête, d’un air de dire « n’oublie pas que tu m’appartiens »et je dirais qu’après le départ du monsieur il est beaucoup plus câlin voire même pot de glue !!

Il a beau jouer les blasés, j’ai eu la preuve que ça l’émoustille, il avait été castré depuis peu (ne me traitez pas de tortionnaire ou de domina, c’est le véto qui l’a fait , pas moi !!!) j’étais seule un jour avec lui après le départ de mon ami , quand toujours assise devant mon pc , je sentis nettement le regard de mon titi dans mon dos , je l’avais entendu se lécher , je me retournai et oh surprise, son petit kiki était sorti et tout rouge , et mon bébé pris en flagrant délit de masturbation prit une expression penaude qui me fit vraiment penser à celle d’un enfant pris en faute . L’objet du délit disparut alors presque instantanément.
Attendrie, je me levai pour caresser doucement son ventre en lui parlant doucement pour lui montrer que je n’étais pas offusquée d’une telle impudeur.

Jamais la chose ne se reproduisit en tout cas devant moi, il sait se tenir quand même !!


Andy est bricolo, pickpocket, athlète de haut niveau, voyeur, mais aussi révélateur et killer de domis allergiques.
Trois hommes peuvent d’ailleurs en témoigner.
Mon premier fesseur se savait allergique mais il adore les chats, quand il partait de chez moi il bouffait (selon ses propres mots) des poils pendant une semaine d’affilée.
Un autre dut partir comme un voleur après 2 heures passées à nos côtés, en proie à une crise d’asthme monumentale.
Enfin, un domi avec qui j’avais et j’ai toujours d’ailleurs un très bon contact, après s’être assis quelques instants sur mon lit n’eut pas le temps de m’administrer la fessée tant attendue car il fut pris soudain de démangeaisons intenses aux jambes qui ne cédèrent qu’après injection de corticoïdes, il ne se savait pas allergique aux poils de chats et Andy fit alors la preuve de son efficacité en tant que test, ce cher homme a depuis entamé une cure de désensibilisation et pense fermement affronter de nouveau mon prédateur.

Prédateur, j’ai bien dit ce mot, mon chat est un super chasseur, et très doué de surcroit, la seule chauve-souris qui se soit introduite une belle nuit de juillet 2008 dans un appartement parisien, le mien…. a bien failli y laisser sa peau.
Attirée dans le salon par un bruit de couinements inconnus , je tombai sur mon chasseur tenant en bouche une chauve-souris qui se débattait en couinant , je dus secouer mon bébé pour qu’il lâche prise et le virer de la pièce, puis il me fallut plus d’une heure pour faire partir l’animal blessé et effrayé qui volait, s’accrochant aux rideaux , se heurtant aux murs , améliorant la décoration de gouttes de sang parsemées un peu partout , présages pour moi d’une heure perdue de plus en nettoyage ….
Le véto lorsque je l’en informai me dit alors : « quel dommage qu’il ne l’ait pas tuée, je n’en ai encore jamais disséqué ».

Et voila, je pense vous en avoir dit assez pour que vous puissiez comprendre pourquoi mon Andy c’est tout un poème…..
Par Ludivine - Publié dans : Récits
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Samedi 25 juillet 6 25 /07 /Juil 21:42

 

Posté le 25/04/2009 à 12:00 par motsetmaux





Le jour était arrivé, sa décision était prise, elle ne se déroberait pas ….

Depuis des années elle était attirée par les relations de domination –soumission .
Oh, ça remontait à très loin, des années auparavant, le jour où elle avait vu « Histoire d’O »,ce qui l’avait attirée c’était cette atmosphère irréelle , cet abandon total d’O , si certaines choses l’horrifiaient , d’autres l’avaient laissée  songeuse , et dans ses rêves, les jours suivants O prenait son image ….
Souvent depuis ce jour lointain, elle rêvait ainsi et se réveillait, troublée , elle portait sa main vers ses seins , se caressait doucement puis descendait , son doigt passait doucement sur sa chatte déjà trempée et elle ne pouvait résister à s’y glisser , elle gémissait , elle aurait tant voulu revenir en arrière dans ce rêve où ses fantasmes s’exprimaient…..

Des amants elle en avait qui l’amenaient souvent très loin dans le plaisir, mais jamais aucun d’eux n’avait montré de tendance Dom  telle qu’elle en rêvait .

Dernièrement elle avait acheté le livre « Histoire d’O » , elle l’avait lu et devait convenir que à l’exception du « retour à Roissy » dont l’auteur selon elle aurait pu se dispenser, le reste du livre était nettement supérieur au film .

Elle était inscrite sur un site de rencontres et comme un fait exprès , alors que son annonce ne reflétait rien de ses fantasmes , ses visiteurs semblaient être des doms et elle-même était attirée comme un aimant vers leurs annonces .

Il fallait se rendre à l’évidence , ce n’était plus qu’un vague fantasme , c’était devenu une aspiration, un désir de pénétrer dans ce monde auquel elle rêvait depuis si longtemps , elle avait si peu de choses à faire …. Un simple clic, et la porte s’ouvrirait …. Et elle saurait ….

Que désirait-elle au juste, elle n’en savait rien, mais elle avait cliqué …..sur une annonce qui la tentait.

Une discussion s’était engagée , d’abord par mail, il lui avait adressé sa photo, ils étaient passés sur MSN, ils avaient beaucoup discuté .

Il lui avait dit de bien réfléchir , lui avait demandé de lui écrire une lettre de motivation .

Si elle désirait être sa soumise, il lui faudrait se raser le sexe, venir à lui dans la tenue qu’il exigerait, s’agenouiller devant lui et lui lire cette lettre ….. il lui donna jusqu’au soir 20 heures précises pour lui donner sa réponse.

Elle ne réfléchit pas bien longtemps pendant qu’il lui parlait sur MSN, sa décision était prise , elle allait accepter mais elle ne le lui dit pas sur le champ, elle avait tant de choses importantes à faire .

Se raser ….. mais …. Elle avait rendez-vous chez son gynéco qui la suivait depuis près de 15 ans …. Qu’ allait-il penser ?… Et après tout, c’était la mode …. Elle se rasa ….
Elle se regarda dans la glace, finalement elle s’y ferait …. Et son gynéco aussi…

Puis ce fut le tour de cette lettre, elle mit une heure à la concocter, dur labeur, elle la lut … facile, toute seule devant son ordi …. Mais chez lui, comment s’en sortirait-elle?
Elle savait qu’il était D.R.H de son métier, bel examen de passage en perspective .

Elle imprima sa lettre, elle était prête, cette porte, à 20 heures ce soir, elle allait l’ouvrir …

Il était 19h50 , elle prit son temps , dans 10 minutes il lui fallait le contacter, elle ouvrit MSN, il était 19h55, il apparaissait on line, elle attendit …. 20 heures , elle allait lui faire signe …mais quel démon la poussa à attendre ? …1 minute , 2, 3….. à 20h05 elle lui adressa un message instantané :
-« Bonsoir »
-« Vous êtes en retard , j’ai horreur d’attendre »
- « C’est que … »
-« Allez au but , c’est oui ou c’est non ? »
-« C’est oui »
-«Oui QUI ?? »
-« Oui, Maître »
-« C’est mieux , vous avez préparé votre lettre ? »
-« C’est fait , et je me suis rasée comme vous me l’avez ordonné »
-« Parfait , mais vous m’avez mis en colère , vous savez pourquoi ? »
-« Oui »
-« Oui QUI ? »
-« Oui Maître », là elle s’amusait mais elle savait que face à lui elle serait beaucoup moins narquoise « Je vous prie de bien vouloir m’excuser de mon retard à vous donner ma réponse »
-« Vous serez punie pour cette grave indélicatesse, quand vous m’aurez lu votre lettre, vous recevrez la cravache pour vous apprendre l’exactitude Mademoiselle »
-« Non, pas la cravache… je n’ai jamais…. !!! »
-« Je suis le seul à décider de ce que vous devez recevoir, vous voulez être ma soumise, quand vous m’aurez lu votre lettre ce sera le cas, et votre première punition sera à la cravache, si vous n’êtes pas prête , autant tout arrêter ! »
-« Non, Maître, il en sera fait selon votre bon vouloir ».

Le lendemain était un samedi, il lui donna ses consignes.
Il lui dit qu’il voulait qu’elle vienne chez lui le lendemain matin, munie de sa lettre, il l’autorisait à prendre une robe mais uniquement dans son sac, il lui demanda ce qu’elle avait comme lingerie et lui ordonna de se présenter à lui simplement vêtue d’une guêpière dont les porte-jarretelles tiendraient ses bas, en talons hauts, simplement revêtue de son manteau.
Elle l’avait supplié de la laisser mettre un string, pauvre petit bout d’étoffe mais qui lui aurait semblé si protecteur, il refusa tout net puis la laissa seule avec ses pensées, après qu’il lui eut donné son adresse et qu’ils aient échangé leurs numéros de portable.

Elle ne dormit pas ou si peu, elle ne rêvait plus là, elle si pudique, elle allait devoir marcher presque nue dans le quartier de la Concorde à la rencontre de l’Inconnu …..
Dans sa tête les pensées affluaient , elle était devenue folle, il fallait qu’elle arrête cela, elle ne savait même pas à qui elle avait affaire, et déjà il lui imposait de venir à lui presque nue, il parlait de cravache … elle qui ne savait même pas ce qu’était une fessée à la main, elle qui était si douillette, il lui suffisait de lui mettre un SMS et tout cela ne serait qu’un rêve de plus … Mais non, elle ne voulait pas justement que ce soit un rêve, il était temps pour elle de le faire ce premier pas …

Elle s’endormit d’un sommeil agité, peuplé d’hommes masqués qui abusaient d’elle…. Elle se réveilla, et réalisa que ce rêve s’évaporait mais que cette fois-ci il allait se prolonger bien réellement …
Elle se prépara , se baigna, elle était curieusement calme ….

Elle avait un long manteau noir qui lui descendait jusqu’aux chevilles, malheureusement les boutons s’arrêtaient au dessus de la taille, d’habitude ,s’il s’ouvrait en marchant elle n’en avait cure, ses vêtements la couvraient …. Mais là, pas de vêtement, pas de slip …. Une robe….. dans son sac …..

Elle réfléchit, et soudain, elle sourit …. Elle avait trouvé la parade ….
Cette lettre, il était hors de question de la froisser, elle allait la placer dans une chemise cartonnée … et cette chemise…. Elle avait un très grand sac à main dans laquelle elle pouvait la placer ….
Il voulait qu’elle se sente honteuse si peu vêtue sur le chemin de son rendez-vous, eh bien ce ne serait pas le cas… Le sac accroché sur l’épaule par une longue lanière, elle avait juste à le déplacer très légèrement et il couvrait ce qu’elle ne voulait surtout pas montrer aux passants .

Elle prit sa voiture, elle ne trouva pas de place près de chez lui, il habitait près de la Concorde, la seule place disponible qu’elle trouva fut près des grands magasins à plus de 800 mètres de là.

Elle se gara, partit ainsi équipée à la rencontre de son destin, les yeux rieurs à la pensée qu’elle aurait pu être gênée en croisant les autres piétons mais qu’ils ne pouvaient se douter de rien.

Mais plus elle avançait, moins elle était joyeuse, plus l’angoisse la reprenait, elle pouvait toujours rebrousser chemin, mais elle savait qu’elle irait jusqu’au bout et elle marchait ….
Arrivée à l’adresse indiquée, elle fit le numéro de code, pénétra dans l’immeuble, sonna à l’interphone, pas de réponse… mais l’ouverture de la porte fut actionnée
Elle se dirigea comme convenu vers l’ascenseur, appuya sur le 4 ème, elle se regarda dans la glace, elle avait l’air apeuré, fini ses yeux rieurs, elle avait plutôt l’air d’une biche aux abois!

L’ascenseur s’immobilisa, elle sortit, se dirigea vers la porte qu’il lui avait indiquée, elle était entrebâillée, elle la poussa, elle se trouvait dans une petite entrée, elle attendit ne sachant plus que faire …

Elle entendit une voix d’homme, provenant de la pièce attenante qui lui dit de retirer son manteau, de déposer son sac et de venir le rejoindre , munie de sa lettre .

Elle s’exécuta, et se présenta devant celui qui allait devenir son maître .

L’homme était assis, dans un fauteuil, il lui fit signe d’avancer, son regard la fixait dans les yeux alors qu’elle s’approchait .

Elle se sentait vidée , mais c’était trop tard pour reculer , elle s’agenouilla devant lui , lui tendit la chemise contenant sa lettre sans détourner les yeux .
Il la regarda d’un air sévère « c’est à vous de me lire votre lettre, vous vous souvenez ? »
-
«
Oui,…. Maître ».... que ce mot était donc difficile à prononcer !
Et elle s’exécuta, mais c’était si dur, sa gorge était sèche, rien à voir avec la lecture qu’elle en avait fait hier, elle lut cette lettre lentement en s’efforçant de le regarder dans les yeux, il ne disait rien, puis quand elle eut fini, elle attendit….

Au bout d’un moment qui lui parut une éternité , elle l’entendit dire : « C’est bien, par cette lettre, vous me confirmez vouloir être ma soumise »
-« Oui, Maître »
Il la fit se relever, et commença à la regarder, à l’inspecter, elle se sentait examinée et en elle cette pensée la ramena au marché aux esclaves, elle se sentit rougir, ferma les yeux alors que la main de son Maître commençait à la palper, d’abord les seins à travers la guépière, puis directement sur sa peau nue, une caresse douce à laquelle elle s’abandonna jusqu’à ce qu’il lui pince brutalement le téton droit, elle gémit…mais ne bougea pas ....
La main continua son inspection, caressa ses fesses en même temps qu’elle entendait un « mais voilà un cul comme je les aime … écarte les cuisses », la main s’insinua entre ses fesses, elle sentit qu’il s’attardait près de son anus, puis l’autre main caressa sa chatte rasée, et elle eut droit encore à une remarque bien crue .
Elle gardait les yeux fermés, elle sentit l’homme qui se trouvait sur son coté peser d’un doigt sur chacun de ses orifices … , elle retint son souffle … et il enfonça simultanément un doigt dans son anus et sa chatte .

Il la lâcha , se mit en face d’elle .
- « Tu es une bonne soumise , montre moi ce que tu sais faire »
Il lui appuya sur les épaules, elle s’agenouilla, le prit dans sa bouche et fit en sorte de le satisfaire .
Au bout d’un court moment, il l’arrêta, la releva
- « Tu sais que tu m’as manqué de respect ? »
-« Oui, Maître »
-« Et pour cela quelle est ta punition ? »
-« Une fessée …. Avec une cravache »
Elle tremblait, il la regarda et elle vit son regard changer, comme une pointe de douceur s’y glisser, elle sentit que derrière ce regard sévère, derrière les mots crus qu’il avait prononcés, il y avait un homme dominateur certes mais humain, que ces mots il ne les avait dits que dans le cours du jeu et que son but n’était pas de l’avilir mais de l’amener à se découvrir et à aimer sa nouvelle condition de soumise.
Il lui caressa la joue , l’attira à lui et elle se plaqua contre lui pendant qu’il prenait sa bouche .

Il se détacha d’elle, elle ne bougeait plus, elle l’entendit s’éloigner quelques instants pour revenir, elle le regarda, il tenait une cravache .

Puis il lui parla
- « Tu vas effectivement recevoir la cravache car tu m’as manqué de respect mais je lis la peur dans ton regard, je vais donc t’isoler en te bandant les yeux »
Elle paniqua , mais se laissa faire .

Il la guida jusqu’ à une chaise qui se situait tout près, la fit se pencher, poser les mains sur le dossier de la chaise, elle dut écarter les jambes et resta ainsi penchée vers l’avant les yeux dans le noir, s’attendant à recevoir un coup….. Mais ce n’est pas ce qui arriva, elle sentit une main caresser ses fesses s’insinuer devant, la caresser et elle gémit, la main revint vers l’arrière et se posa, elle se cambra encore plus ….. quand le premier coup tomba, elle le sentit à peine car il avait juste tapoté sa fesse, elle se détendit, le second vint un peu plus fort mais pas douloureux, elle respira… puis elle sentit qu’il la caressait avec le manche de la cravache … et elle allait au devant de ces caresses uniquement concentrée sur la sensation qu’elle ressentait les yeux voilés par son bandeau …
Pendant un long moment elle fut uniquement concentrée sur cette partie d’elle qui recevait une alternance de caresses et de coups qui de très faibles se firent plus durs mais elle ne savait jamais ce qui allait venir coup ou caresse et en fait elle espérait les deux …
Ce fut sa première correction, elle l’adora, même quand les coups devinrent plus durs elle ne cria pas, ne prononça pas le safe-word car en fait il la ménageait, elle s’en rendait compte, veillait à ne pas être trop violent afin qu’elle se livre à lui de toute son âme, et elle savait que les fessées à venir seraient plus dures mais elle ne reculerait pas car ce qu’elle avait toujours soupçonné lui paraissait une évidence , elle aimait ça.

Puis, les caresses et les coups s’arrêtèrent, elle sentit qu’il lui retirait son bandeau, il la prit dans ses bras, elle nicha sa tête au creux de son épaule, et murmura : « Merci, Maître ».
Il lui baisa le front, la porta jusqu’au lit où il lui fit l’amour tendrement, lui confirmant ainsi ce dont elle se doutait, c’était un homme tendre, attentionné, avide de lui faire connaître le plaisir ….. Son Maître …Et. pour longtemps ..….
 

Par Ludivine - Publié dans : Récits
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Samedi 25 juillet 6 25 /07 /Juil 21:36

Posté le 25/04/2009 à 12:00 par motsetmaux








C’était le jour J, elle avait vu l’annonce 2 jours auparavant sur un site très spécialisé : « Obligée de quitter la région parisienne précipitamment, aimerais confier son compagnon de jeu préféré à une femme de poigne n’ayant pas peur de sévir car sujet très indiscipliné mais capable d’un dévouement sans faille ».

L’annonce était accompagnée d’une photo qui montrait un spécimen racé, de belle envergure, magnifique, avec un regard plein de malice qui la fit fondre, exactement le type de compagnon qu’elle avait toujours désiré avoir à ses pieds….

Elle répondit donc, et le rendez-vous fut prit très rapidement.

Elle quitta la maison au petit matin, en essayant de ne pas faire de bruit pour ne réveiller personne, elle vérifia qu’elle disposait de tout ce qu’il lui fallait pour qu’il la suive sans résistance : la laisse, le collier, elle emporta à tout hasard son martinet au cas où il se révèlerait trop turbulent dans la voiture.

Pendant le trajet, elle pensa aux jours qui allaient suivre , il lui faudrait faire en sorte qu’il comprenne que désormais il était à elle , pour s’en assurer le mieux serait probablement de l’attacher au bas de son lit avec juste une écuelle remplie d’eau , s’il faisait mine de vouloir bouger , elle devrait lui faire comprendre qui était maintenant sa maîtresse , par de bonnes claques sur son arrière-train ,voire même de bons coups de martinets bien placés .

Ce dont elle était certaine, c’est que, l’Animal, depuis qu’elle l’avait vu en photo, elle le voulait, il serait à elle, il se rendrait…… et elle pourrait alors le récompenser par des caresses et des calins qui l’attacheraient à elle à tout jamais….

Elle était arrivée, elle gara sa voiture, prit la laisse, le collier en cuir qui seraient désormais les siens.

Elle marcha dans la petite allée amenant à la porte du pavillon, elle sentait son cœur battre à tout rompre, enfin elle allait en avoir un bien à elle….

Elle sonna, la femme lui ouvrit, son futur protégé se trouvait attaché dans le jardin à l’arrière de la maison, ne sachant encore pas qu’il allait changer de maîtresse, la femme appréhendait le moment de la passation de pouvoirs et espérait le raccourcir au maximum.

Elles réglèrent les derniers détails, elle lui donna tous les éléments le concernant, elles étaient sur la même longueur d’onde et avaient les mêmes idées en matière de dressage.
Il fut convenu qu’elles s’appelleraient au départ tous les 15 jours pour s’entretenir de ses réactions à la domination de sa nouvelle Maîtresse.

La déjà ex-Maîtresse prit le collier et la laisse, quitta sa visiteuse, pour aller les échanger contre ceux qui lui appartenaient et qu’elle tenait à conserver.
Elle l’entendit lui parler, doucement mais fermement, lui ordonner de la suivre…. Manifestement, il résistait, elle entendit clairement le bruit du claquement de la laisse qui avait du être nécessaire pour faire avancer le récalcitrant, elle était anxieuse, allait-il la suivre sans trop broncher ?

Les pas se rapprochèrent, elle l’entendait couiner, mais il suivait car il n’avait pas le choix.
Elle regarda vers la porte qui allait se rouvrir, son cœur battait la chamade, comment allait se passer ce premier contact ?

La femme pénétra dans la pièce, trainant derrière elle son futur compagnon de jeu qui refusait de regarder devant lui.
Comme il était beau, qu’il avait fière allure, elle allait en faire des jalouses parmi ses copines, aucune ne disposait d’un aussi beau mâle …..

Elle resta assise comme prévu, la femme lui tendit la laisse puis quitta précipitamment la pièce, les larmes aux yeux.
Elle regarda ce compagnon qui allait être le sien pendant, elle l’espérait, de nombreuses années, elle l’appela, lui parla gentiment …. Il tourna la tête vers elle, elle vit à son regard qu’il était désorienté mais aussi intéressé, elle lui sourit ce qui eut l’air de le rassurer car il s’approcha d’elle et tout doucement vint poser sa tête sur ses genoux, en signe de soumission.
Il l’avait acceptée , c’était elle maintenant sa Maîtresse, il la regardait avec déjà tant d’amour dans les yeux……. Ca le rendait presque humain, elle le caressa, l’embrassa … et lui dit tendrement : « allez, viens, mon pépère, mon beau toutou ….. Tu vas être heureux dans ta nouvelle maison…… et j’ai bien l’impression que si tu m’aimes autant que moi je t’aime déjà, jamais de ma main tu ne connaitras autre chose que des caresses……
Par Ludivine - Publié dans : Récits
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Samedi 25 juillet 6 25 /07 /Juil 21:30

Posté le 25/04/2009 à 12:00 par motsetmaux









Par un beau jour du mois de juin, il avait pris le métro, comme il le faisait quotidiennement.
Il regardait son agenda pour se remémorer son programme de la semaine quand il sentit le poids d’un regard sur sa nuque.

Il se retourna lentement et ce qu’il vit l’intéressa au plus haut point : derrière lui se trouvait une belle jeune femme mince, vêtue d’une robe très courte, au décolleté dévoilant la naissance d’une poitrine bien galbée , ses cheveux blonds ondulés étaient lâchés sur ses épaules et ses yeux d’un bleu profond le regardaient intensément.
Il lui sourit, elle le lui rendit.

Il en oublia son agenda, désireux de se noyer dans l’océan des yeux de la sirène qui l’attirait comme un aimant.

La place en face d’elle se libéra à la station suivante, il se leva et vint s’y asseoir sans la quitter du regard. Des effluves de son parfum lui parvenaient, ce parfum il en était certain il le reconnaîtrait entre mille.

Dans 3 stations, il devait descendre, il ne pouvait manquer son rendez-vous…. Il se dit qu’il fallait absolument qu’il lui parle, qu’il obtienne son numéro de téléphone…..Il voulait la revoir, elle l’excitait, il voulait la faire sienne, sentir son corps vibrer sous le sien, il fallait qu’il lui parle…. Mais au moment où il allait se décider elle baissa ostensiblement les yeux pour se plonger dans la lecture du roman qu’elle tenait entre ses mains….

Il toussota à plusieurs reprises, allongea le pied jusqu’à toucher le sien, sa seule réaction fut de le reculer sans même relever la tête.

Son attitude le dégrisa, il soupira, peut-être avait-il mal interprété l’expression de la jeune femme ? Il la fixa intensément, elle continua sa lecture d’un air impassible.
Il devait descendre à la prochaine station ,il se résigna donc à se lever , se dirigea vers la porte de sortie , s’efforçant de regarder droit devant lui, luttant contre son envie de retourner sur ses pas pour  l’aborder et lui soutirer son numéro de téléphone.
Les portes coulissantes s’ouvrirent, il descendit du métro et se dirigea vers la sortie, le cœur lourd de ce qu’il n’avait osé faire.

Il marchait ainsi dans le couloir du métro, loin devant il apercevait le bas des marches de l’escalier conduisant à l’extérieur quand il entendit derrière lui le claquement de talons sur le sol . Les pas se rapprochèrent….
Absorbé par ses pensées, il n’y prêta pas attention jusqu’au moment où , en même temps qu’une main se posait sur son épaule droite , une voix douce l’appela : « Monsieur »
Pendant qu’il se retournait lui parvint une senteur qu’il reconnut immédiatement et il sut avant de la voir que celle qui l’apostrophait n’était autre que son inconnue.
Il s’arrêta, la regarda, incrédule, ses yeux bleus reflétaient l’amusement qu’elle avait ressenti à le faire souffrir ainsi, la garce elle s’était bien jouée de lui ….
Elle continua : « Et si vous me donniez votre numéro ? »
Il avait toujours sur lui des cartes de visite, il lui en donna une .Sans un mot, elle la prit, vint déposer sur ses lèvres un baiser léger, puis, sur un « je vous appelle », se retourna et reprit le chemin inverse laissant derrière elle ce parfum qu’il n’oublierait jamais…..

La journée se passa comme à l’accoutumée, ponctuée de rendez-vous , il lui arriva à plusieurs reprises de penser à cette inconnue , en fait à chaque fois que son portable sonnait , mais ce n’était jamais elle.

Il rentra chez lui ce soir-là , il garda son portable dans sa poche espérant toujours recevoir l’appel promis , mais rien ne vint …

Un jour , puis deux passèrent , le souvenir de l’inconnue s’estompa , il en vint à penser qu’elle ne l’appellerait jamais ou encore qu’il avait rêvé cette rencontre.

Et puis, une semaine après, il déjeunait seul à la terrasse d’un café , son portable sonna , une voix douce qu’il n’avait pas oubliée se fit entendre :
« Bonjour, vous souvenez-vous la semaine dernière avoir été interpellé dans le métro par une jeune femme blonde ? »
Il essaya d’être aussi naturel qu’elle en lui répondant par l’affirmative , il ne voulait pas qu’elle réalise à quel point il avait espéré son appel.
« J’ai une proposition à vous faire » continua-t-elle , « êtes-vous seul chez vous ce soir ? »
« Tout à fait » répondit-il.
« je vais alors vous demander de laisser votre porte ouverte , et d’éteindre toutes les lumières et de baliser le chemin jusqu’à votre chambre de bougies allumées et de m’attendre nu sur votre lit ».
Il accepta , lui donna le code d’entrée de son immeuble, lui précisa l’emplacement exact de son appartement.

Ce soir là , après avoir acheté suffisamment de bougies pour réaliser le chemin de sa porte d’appartement à son lit, il rentra chez lui , prit une douche , installa les bougies qu’il alluma, et …. attendit seul dans la chambre simplement éclairée par le chemin de flammes qu’il avait disposé comme elle le lui avait demandé……
Les heures commencèrent à s’écouler, il attendait …. Et …. Rien ne vint …

Epuisé par sa journée de travail il arriva un moment où il ne put résister à l’envie de fermer les yeux, et le sommeil s’empara de lui……

Il rêvait …..elle était là , sa blonde aux yeux d’océan , autour d’eux flottait ce parfum qui était le sien , elle s’était donnée à lui sans réserve , il l’avait prise et reprise au gré de ses envies , non il ne voulait pas sortir de ce rêve pour retourner à la réalité….. Comme il aimait sa bouche sur son membre durci par le désir , cette langue qui en dessinait les contours, ces lèvres qui s’entrouvraient ….. et… son parfum, son parfum qui ….. , mais ….ce parfum ?…..Il était trop présent pour ne pas être réel…. Non… Il ne rêvait plus , la réalité avait rejoint son rêve, elle était bien là, agenouillée au dessus de lui , sa bouche emprisonnant son sexe gonflé….. mais depuis quand était-elle là , quand donc son rêve était-il devenu réalité ? Il n’en savait rien et après tout quelle importance , se dit –il , en prenant la jeune femme par les hanches et l’attirant vers sa bouche pour lui rendre les caresses buccales qu’elle était en train de lui prodiguer…..
Par Ludivine - Publié dans : Récits
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Samedi 25 juillet 6 25 /07 /Juil 21:26

Posté le 25/04/2009 à 12:00 par motsetmaux






Elle vivait une histoire qu’elle savait ne pas devoir durer avec un homme marié qui recherchait auprès d’elle ce que son épouse lui refusait et en particulier ce qu’il adorait donner aux femmes : la fessée…
Son fesseur ne pouvait guère lui accorder que quelques heures dérobées à son emploi du temps surchargé , elle adorait ces moments intenses passés en sa compagnie mais elle savait qu’elle ne devait surtout pas s’attacher à cet homme, au demeurant amoureux de sa compagne, elle prenait ce qu’il voulait bien lui donner , ce n’était pas une briseuse de ménage , elle était même encore plus vigilante que lui pour que leurs rencontres restent secrètes….

Cette relation si forte soit-elle ne lui suffisait pas, elle s’achèverait un jour ou l’autre, elle était libre , tout en ayant cette envie de soumission , elle espérait finir par trouver un homme avec qui la vivre dans une vraie vie de couple .

Et c’est ainsi qu’elle continuait à converser sur un site de rencontre avec certains hommes, espérant toujours trouver l’oiseau rare. Les candidats ne manquaient pas mais elle prenait son temps, l’un d’entre eux en particulier se fit plus insistant, mais toujours avec respect . …. Ils avaient parlé de choses et d’autres et elle avait fini par lui avouer la nature de la relation qu’elle avait avec son fesseur car derrière la toile les choses se disent beaucoup plus facilement , lui même s’il n’avait jamais donné plus d’une claque gentillette sur les fesses de ses maîtresses , adorait les femmes , et semblait fort habile aux jeux de l’amour ….

Ils finirent pas se donner rendez-vous un dimanche vers 16h , ils se retrouvèrent dans un café , ils parlèrent de tout , ils commandèrent une fois , puis une deuxième fois et ils parlaient , aucun des deux n’avait envie d’écourter cette entrevue alors que chacun avait une obligation le soir même …. De fil en aiguille, il finit par lui poser des questions sur ce qu’elle éprouvait lors de la fessée, c’était une pratique qu’il ne connaissait pas , il lui avoua que c’était la première fois qu’il en parlait avec quelqu’un mais elle lui répondait si naturellement qu’il n’y eut aucune gêne ni d’un côté ni de l’autre ,le temps passa ainsi…..
Ils se résignèrent à se quitter, ils se vouvoyaient toujours mais entre eux le courant était passé, elle avait très envie de le revoir et même s’il ne le lui avait pas dit, elle savait qu’il en était de même pour lui.
Le lendemain ils échangèrent sms sur sms, très vite il lui avoua qu’il désirait la revoir, elle acquiesça, plus ils s’écrivaient plus il était évident qu’ils ne pourraient attendre bien longtemps, le tu succéda au vous …. Et ils convinrent de se retrouver chez elle le soir même après le travail, ils savaient tous deux que ce n’était certainement pas pour se regarder dans le blanc des yeux…..

Il sonna à sa porte, elle avait préparé un repas léger, ils dinèrent tout en parlant de tout et de rien, les choses se firent d’elles mêmes, le lit les attendait, il s’occupa d’elle la faisant gémir et … tout d’un coup …. Il osa …. Une petite tape sur la fesse droite …. Elle le regarda, sourit …. Et lui dit tout doucement : « envie ?? » Il continua donc et la petite tape devint plusieurs qui se firent légèrement plus sonores mais très légèrement …. Il sursauta, s’arrêta : « Je ne t’ai pas fait mal ? » lui demanda-t-il effrayé d’un bruit qui pour lui, qui n’avait jamais donné de fessée, était synonyme de douleur. Elle éclata de rire : « Ca …. C’est une caresse !!! » et elle ne plaisantait pas car le coup qui avait effrayé son apprenti fesseur n’était vraiment pas méchant par rapport aux claques bien sonnantes qui lui laissaient d’habitude les fesses cramoisies.
Il augmenta donc la force de ses coups mais elle sentait bien qu’il n’osait pas, elle évita de soulever le problème, passa à l’action à son tour en le prenant dans sa bouche, et la soirée se continua dans un corps à corps dont l’intensité la combla et lui fit comprendre qu’elle ne s’était pas trompée sur ses aptitudes à rendre une femme heureuse.

Quand il la quitta ce soir là, après qu’il ait abordé une fois de plus le sujet de la fessée et qu’elle lui eut assuré qu’il ne lui avait vraiment pas fait mal , elle lui dit qu’elle lui adresserait par mail des liens qui lui permettraient de visionner des vraies fessées, celles-là mêmes qui lui avaient donné l’envie d’en recevoir
.
Dès son arrivée chez lui, il regarda les vidéos en question, lui avoua que l’une d’entre elle rejoignait une idée qu’il avait eu en conduisant sur la route du retour, et ils prirent rendez-vous pour le dimanche suivant pour un nouveau repas suivi d’autres ébats ….

Le lendemain , elle avait rendez-vous avec son fesseur en titre et elle se dit après avoir reçu la plus belle fessée qu’il lui eut donnée, que si son apprenti fesseur n’était pas aussi doué , elle profiterait avec grand plaisir de ce qu’il savait si bien faire par ailleurs …….Néanmoins , elle devait lui reconnaître une certaine dose d’imagination , car il lui avait ordonné de le recevoir en nuisette, porte jarretelles et bas et il n’était pas question qu’elle discute ses ordres sous peine d’être fessée à hauteur de son insolence .
Elle joua le jeu , doutant toujours qu’il soit capable de lui infliger une vraie correction , et quand il arriva elle l’accueillit dans la tenue qu’il lui avait indiquée ajoutant cependant sa touche personnelle , un string vraiment pas grand…. Mais un string quand même ….
Elle vit dans ses yeux qu’il avait envie d’elle , elle ne prit d’autre initiative que de le faire asseoir à table , le hors d’œuvre était servi , ils mangèrent …. . Puis elle se leva pour aller chercher la quiche quand le four sonna , c’est alors qu’il se saisit de sa main , l’attira vers lui, l’autre main souleva la nuisette , lui caressa les fesses la faisant frissonner ,elle sentit qu’il s’emparait de la lanière du string , qui séparait ses fesses , il la tira vers l’arrière en lui assenant un : « mais qu’est ce que c’est que ça , tu devais être cul nu, il me semble!!!. ».....et il lâcha d’un coup la lanière qui vint se replacer entre ses fesses .
Elle était debout devant lui, un sourire taquin au coin des lèvres, le narguant …. Il continua : « tu ne perds rien pour attendre » et il fit glisser le petit bout d’étoffe vers le sol
« maintenant tu vas me finir le repas sans ton string, exécution !!! » elle enjamba l’objet du délit puis après avoir moqueusement tortillé de la croupe devant son invité au regard courroucé elle alla chercher la suite du repas .
Ils reprirent leur diner , sa mauvaise humeur s’en était allée, pour un peu elle se serait demandé si elle n’avait pas rêvé cet autoritarisme passager….

Elle lui demanda s’il voulait un dessert, il la regarda intensément, sa main se posa sur la sienne ,et il lui répondit … « mais je l’ai devant moi mon dessert et je sais qu’il va être corsé, je t’interdis de bouger d’un pouce » ,il se leva , sorti de sa poche un petit appareil photo et un bandeau qu’il vint lui appliquer sur les yeux puis il la guida vers le canapé.
Il la fit se mettre à 4 pattes sur le divan , elle sentit qu’il se plaçait derrière elle , et il lui dit : « J’immortalise cet instant » en prenant une photo de ses fesses après avoir relevé la nuisette sur le bas de son dos.
Puis il posa l’appareil sur la table basse et il s’assit sur le divan l’installant sur ses genoux .

Elle était là dans le noir absolu , ses fesses exposées au regard de son amant , elle attendit …. Rien ne vint …. Goguenarde, elle remua les fesses en lui disant : « Présentez… Fesses…. » et elle éclata de rire.
Elle sentit sa main lui caresser son postérieur ainsi offert, s’insinuer vers l’avant et elle ne put résister à l’envie de s’ouvrir à sa caresse , elle sentit qu’il titillait son clitoris d’un doigt , elle se cambra pour qu’il puisse l’introduire dans sa chatte qu’elle sentait déjà humide , elle s’abandonnait aux caresses de son amant qui la doigtait pendant que son autre main caressait ses fesses . Aucun coup n’arrivait… il avait peut-être tout bonnement envie de la faire monter au ciel les yeux bandés …… après tout elle avait un fesseur confirmé pour lui faire rougir le postérieur ! C’est alors que la main qui lui caressait les fesses s’abattit sur celle de droite avec une force à laquelle elle ne s’attendait pas …. Et en même temps elle l’entendit lui dire : « ça c’est bien dit : présentez fesses, tu vas me présenter tes excuses de m’avoir désobéi »
-« Mais je n’ai rien fait moi, snif, méchant, fornicateur »
-« Tu ne m’as pas désobéi peut-être ? » et un second coup arriva, plus fort que le précédent
-« Euh, non, j’vois vraiment pas de quoi tu parles là » et PAN, la réponse ne se fit pas attendre , toujours sur la même fesse , au même endroit et encore plus fort, en même temps elle sentit le doigt qui s’activait dans sa chatte alors que l’autre main, elle s’en doutait ,était prête à sévir de nouveau .
Elle contracta les fesses mais rien ne vint, par contre le doigt qui avait investi sa chatte la quitta recommença à titiller son clitoris en le frottant de plus en plus la faisant mouiller et se tortiller pour se soustraire à cette caresse qui lui faisait pousser des gémissements de plaisir
-« Tu ne vois toujours pas ? » Le doigt quitta le clitoris et elle sentit qu’il remontait doucement mais surement vers l’arrière , elle se détendit, il avait décidé de lui accorder un répit du moins du point de vue des coups sur sa pauvre fesse dont il prit un grand plaisir à lui commenter la rougeur .
Ma parole pour quelqu’un qu’elle trouvait trop mesuré l’autre jour, il avait fait des sacrés progrès … et en plus son doigt était parvenu sur son anus, il pesait à l’entrée
-« Alors ? lui assena-t-il en l’enfonçant d’un coup et une autre claque plus méchante que les autres s’abattit sur sa pauvre fesse déjà endolorie
-« Aie, méchant, Bobo, bon … j’ai mis un string, j’avais froid aux fesses moi »
-« Ah, comme ça tu avais froid, et maintenant t’as toujours froid ? »Et BING, encore une super claque bien retentissante et toujours sur la même maudite fesse pendant qu’elle sentait son doigt aller et venir dans son anus .
-« Ben oui…. A l’autre fesse .C’est pas juste, elle est jalouse, même pas mal d’abord !! », et tout d’un coup, elle ne sentit plus rien, il avait retiré son doigt de son fourreau et il ne bougeait plus, elle se dit qu’il n’avait plus grand-chose à lui prouver .
Il la fit se relever, se mettre à 4 pattes sur le divan, et là :- « 1ére fesse rouge immortalisée, faut uniformiser tout cela pour la photo finale , tu ne crois pas ?, d’abord la fesse gauche comme tu viens de le souligner elle a froid , j’vais te la réchauffer moi »
-« Euh… t’es vraiment obligé… parce que…. »En parlant elle a tourné la tête vers le côté où elle a l’impression qu’il se tient , mais elle ne peut finir car elle sent contre ses lèvres un contact très particulier quelque chose de doux mais dur à la fois , en même temps qu’il bloque sa tête avec ses mains , elle ouvre les lèvres et elle le sent aller et venir dans sa bouche un long moment l’empêchant de se dégager par l’appui de ses mains au cas où elle en manifesterait l’envie .
Elle se laisse prendre la bouche et dans sa tête elle se dit que décidément il ne faut pas se fier aux apparences, il est bien plus doué qu’elle ne le croyait le bougre !!!
Et tout d’un coup il desserre son étau sur sa tête, quitte sa bouche : « ça suffit, maintenant, j’ai une œuvre à terminer moi , tu m’as dit quoi tout à l’heure … Présentez ….. Fesses !!! »
Et la revoilà, installée sur ses genoux, mais il l’a changé de sens afin que ce soit maintenant sa fesse gauche qui soit la plus accessible .
Elle gigote , essaie mollement de lui échapper …… peine perdue les coups pleuvent d’une manière ininterrompue
Non , elle ne l’arrêtera pas , elle est trop fière
-« Aie, Bobo , t’as pas le droit , vil fornicateur , ma parole maintenant va falloir que je te dise merci !!! »
Les coups cessent
-« Très bien dit, mais il manque quelque chose à la fin, tu peux répéter ? »
-«Merci », Un coup tombe
-« Merci QUI ? »
-« Merci…. Mon ….Maître »
La main se pose, caresse sa fesse gauche qu’elle sent brulante
-« En voila une gentille fille, attends que je regarde un peu, si j’ai unifié le tout , c’est pas mal , ça va le faire » et de la replacer à 4 pattes pour la photo finale …….

Elle l’entendit poser l’appareil , elle n’osait bouger ,sa croupe offerte à son regard , elle le sentit s’approcher , il lui enleva le bandeau , il la regardait avec un sourire légèrement narquois mais dans ses yeux elle vit quelque chose comme de l’angoisse , la peur d’avoir été trop loin emporté par la pulsion qu’elle lui avait procurée , elle le fixa un moment … assez pour profiter de cet instant où il était à sa merci , puis elle se blottit dans ses bras et il l’emporta vers le lit où il comptait bien achever le scénario qu’il lui avait préparé pour l’amener au plaisir extrême…..
Par Ludivine - Publié dans : Récits
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