Samedi 25 juillet
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       Posté le 25/04/2009 à 12:00 par motsetmaux 
    
    
      
        
          
 
          
          
          
          
 Il était une fois
          Une femme
          Qui connut un émoi
          Jusqu’au fond de son âme
          
          Il y a très longtemps
          Elle ne se souvient plus
          Si c’était le printemps
          Si ce jour là il avait plu
          
          Ce qui la troubla
          Intensément
          Elle le visualisa
          Sur un écran
          
          Et ce qu’elle vit
          La laissa songeuse
          Souvent la nuit
          Elle était rêveuse
          
          Qu’avait-elle donc vu ?
          Un film à l’époque très osé
          Par la suite elle a lu
          Le livre dont il était tiré
          
          Histoire d’O
          Tel était son titre
          C’était si beau
          Dès les premiers chapitres
          
          De cette histoire
          Elle se rappelait
          Devant son miroir
          Elle se demandait
          
          Qu’est-ce qui m’attire
          Qu’est-ce qui me plait ?
          Quel est mon désir
          De tous ces faits ?
          
          Souvent le soir
          Elle y pensait
          Et dans le noir
          Elle en rêvait
          
          Les années passaient
          Cette femme vivait
          Les relations se succédaient
          Mais elle le savait
          
          Elle n’était pas satisfaite
          Ce n’était pas ce qu’elle voulait
          Il fallait qu’elle soit honnête
          C’était loin d’être parfait
          
          Puis vint un jour
          Où elle se décida
          Depuis toujours
          Elle visait cela
          
          Une vraie relation
          Avec un Maître
          Où sa soumission
          La ferait renaître
          
          Ce ne fut pas facile
          De trouver celui
          Qui serait assez habile
          Pour changer sa vie
          
          Elle a cherché
          Elle a cru trouver
          Elle s’est trompée
          Elle a recommencé
          
          Puis il y a six mois
          Elle l’a rencontré
          Et là doux émoi
          Il l’a charmée
          
          Elle a su que c’était lui
          Il est devenu son Maître
          Et c’est ainsi qu’une nuit
          Ludivine vint à naître
          
          Maître mais pas amant
          Il lui fit comprendre
          Un jour ce fut évident
          Elle aspirait au tendre
          
          Les heures ont passé
          Elle a du choisir
          Dressée mais aimée
          C’était son désir
          
          Elle l’a quitté
          Pour un triste sire
          Qui s’est révélé
          Bien loin de ses dires
          
          Un peu révoltée
          Et sure de ses envies
          Elle a envoyé
          Paître ce faux ami
          
          Et bien plus mature
          Vint sur Sensation
          Chercher l’aventure
          Trouver soumission
          
          Elle a rencontré
          Ce n’était pas ça
          Mais c’est du passé
          Maintenant qu’il est là
          
          Ce que ça durera
          Elle n’en sait rien
          Mais elle le vivra
          Car elle en a faim
          
          Bien sur elle espère
          Avoir enfin trouvé
          Pas une chimère
          Celui dont elle a rêvé
          
          Elle est loin la femme
          Qui se morfondait
          Avait des fantasmes
          Qu’elle vit désormais
          
          Ludivine est née
          Une belle nuit
          Où elle a trouvé
          L’essence de sa vie
        
        
       
     
   		
	 
		
	
									
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    Oh, j’en ai assez
    Il faut qu’elle arrête
    Car elle prend son pied
    Quand sur moi ça pète !
    
    J’étais tellement blanc
    Et si bien couvert
    Oh c’est indécent
    Toutes ces manières !
    
    Puis il est venu
    Et là j’ai senti
    Mon heure venue
    Oh quelle chipie !
    
    Moi je n’en peux plus
    Et pas de pitié
    Car elle l’a voulu
    Qu’il vienne la fesser
    
    Mais c’est bien sur moi
    Que tous ces coups tombent !
    Et pauvre de moi
    Oui là je succombe
    
    Oh il a soulevé
    La si maigre étoffe
    Qui me protégeait
    Maintenant c’est Paf –Paf !
    
    Elle qui se tortille
    Et moi qui j’enrage
    Car là ça me vrille
    Mais quel dommage !
    
    Moi j’étais si blanc
    Je deviens tout rouge
    Oh c’est mon tourment
    Pendant qu’elle bouge
    
    Mais la main qui frappe
    Pour moi ennemie
    Pour celle qui jappe
    Est plus qu’une amie
    
    Enfin ça décroit
    Ouf il me caresse
    Et là je reçois
    Oui je le confesse !
    
    Elle est bien heureuse
    Et comme par mégarde
    Mais déjà curieuse
    Là elle me regarde
    
    Et elle s’extasie
    Devant toutes mes marques
    Car oui c’est le fruit
    De toutes ces claques !
    
    Enfin c’est fini
    Mais dans quelques jours
    Ce sera reparti
    Pour un nouveau tour ….. 
  
		
	 
		
	
									
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    Hum, Même Pas Mal
    C’est facile à dire
    Alors qu’il est pale
    Car à force de rougir
    Mon pauvre fessier râle
    Et moi ça m’fait rire
    
    Je suis une chipie
    Et j’ai trop joué
    Le Maître l’a dit
    Je ne l’ai pas volée
    Surtout pas de cri
    Car j’ai ma fierté
    
    Hum, Même Pas Mal
    Eh oui la fessée
    Car plus j’en étale
    A trop bavarder
    C’est devenu fatal
    Je dois le payer
    
    Je la reçois
    Je me débats
    Et lui narquois
    Maintient mes bras
    C’est là ma croix
    Et ça me va
    
    Hum, Même pas mal
    Les coups s’amplifient
    Je garde le moral
    Quand ça sera fini
    Ce sera la totale
    Car alors de lui
    J’aurai mon régal
    
    Sa main par moment
    Baisse la cadence
    Pour un court instant
    Ca devient moins dense
    Et puis mon tourment
    Se refait intense
    
    Hum, Même Pas Mal
    Faudra des glaçons
    Mes douleurs les valent
    Je hausse le ton
    Car c’est viscéral
    Mais je tiendrais bon
    
    De ma résistance
    Il détient sa force
    Douleur est intense
    Eh oui ça se corse
    Je perds mes défenses
    S’ouvre mon écorce
    
    Hum, Même Pas Mal
    Impossible de tenir
    Car oui c’est fatal
    C’est trop dur à dire
    J’ai plus le mental
    Je ne peux plus rire
    
    J’ai rendu les armes
    Bobo j’ai trop mal
    J’ai envie de calme
    C’est vraiment normal
    Maintenant je réclame
    Fin du mélodrame
    
    Hum, Même Pas Mal
    Ouf, il ralentit
    C’était le final
    Là il s’adoucit
    C’était trop génial
    Je l’en remercie
  
		
	 
		
	
									
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      Posté le 25/04/2009 à 12:00 par motsetmaux
    
    
    
       
      
      
      Ouille, aille
      Vaille que vaille
      Toujours le narguer
      Pendant la fessée
      
      Douleur qui cisaille
      Surtout pas que j’me taille
      Parader
      Ne pas reculer
      
      Pas de faille
      Même si ça tiraille
      Anonner
      Faire des pieds de nez
      
      Moi sa caille
      Il en fait ripaille
      Je dois compter
      Chaque coup donné
      
      Sur ma taille
      Mon T shirt baille
      Mon fessier
      Par lui dégagé
      
      Il me raille
      Et moi sa canaille
      Regard voilé
      Je me sens brûler
      
      Mon corps qui tressaille
      Sans qu’il y ait d’entaille
      Par les coups donnés
      Je suis délivrée
      
      Là dans mes entrailles
      Règne la pagaille
      Ma croupe est marbrée
      Ma mouille libérée
      
      Ouille, Aille
      Vaille que vaille
      J’aime la fessée
      Par lui prodiguée
    
   		
	 
		
	
									
								Par Ludivine			
													
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    Posté le 25/04/2009 à 12:00 par motsetmaux
  
  
  
    
    
    
    A cet instant là
    C’est la queue du chat
    Qui passait par là
    Et qui la frôla
    
    Il l’a coucha
    La déculotta
    Ses fesses tapa
    Devant Monsieur Chat
    
    Alors elle compta
    Puis elle rigola
    En voyant le chat
    Lorsqu’il sursauta
    
    Le pauvre petit chat
    Ne connaissait pas
    Encore ce vice là
    Il en resta baba
    
    Incrédule il s’arrêta
    Et se demanda
    «Non je ne rêve pas
    Elle devient fada !
    
    Mais qu’est ce qu’elle a ?
    Pourquoi il fait ça ?
    Moi je ne comprends pas
    Maîtresse, tire toi de là ! »
    
    Pour calmer son chat
    Elle le caressa
    Ça le rassura
    «C’est vrai qu’elle aime ça !»
    
    Rassuré, il les regarda
    Son regard béat
    Sa tête il posa
    Là dessus son bras
    
    Puis enfin voila
    Que tout s’arrêta
    Elle se releva
    Se reculotta
    
    A cet instant là
    C’est la queue du chat
    Qui se releva
    Et qui la frôla
  
		
	 
		
	
									
								Par Ludivine			
													
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