Samedi 25 juillet
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22:41
Posté le 25/04/2009 à 12:00 par motsetmaux
Il était une fois
Une femme
Qui connut un émoi
Jusqu’au fond de son âme
Il y a très longtemps
Elle ne se souvient plus
Si c’était le printemps
Si ce jour là il avait plu
Ce qui la troubla
Intensément
Elle le visualisa
Sur un écran
Et ce qu’elle vit
La laissa songeuse
Souvent la nuit
Elle était rêveuse
Qu’avait-elle donc vu ?
Un film à l’époque très osé
Par la suite elle a lu
Le livre dont il était tiré
Histoire d’O
Tel était son titre
C’était si beau
Dès les premiers chapitres
De cette histoire
Elle se rappelait
Devant son miroir
Elle se demandait
Qu’est-ce qui m’attire
Qu’est-ce qui me plait ?
Quel est mon désir
De tous ces faits ?
Souvent le soir
Elle y pensait
Et dans le noir
Elle en rêvait
Les années passaient
Cette femme vivait
Les relations se succédaient
Mais elle le savait
Elle n’était pas satisfaite
Ce n’était pas ce qu’elle voulait
Il fallait qu’elle soit honnête
C’était loin d’être parfait
Puis vint un jour
Où elle se décida
Depuis toujours
Elle visait cela
Une vraie relation
Avec un Maître
Où sa soumission
La ferait renaître
Ce ne fut pas facile
De trouver celui
Qui serait assez habile
Pour changer sa vie
Elle a cherché
Elle a cru trouver
Elle s’est trompée
Elle a recommencé
Puis il y a six mois
Elle l’a rencontré
Et là doux émoi
Il l’a charmée
Elle a su que c’était lui
Il est devenu son Maître
Et c’est ainsi qu’une nuit
Ludivine vint à naître
Maître mais pas amant
Il lui fit comprendre
Un jour ce fut évident
Elle aspirait au tendre
Les heures ont passé
Elle a du choisir
Dressée mais aimée
C’était son désir
Elle l’a quitté
Pour un triste sire
Qui s’est révélé
Bien loin de ses dires
Un peu révoltée
Et sure de ses envies
Elle a envoyé
Paître ce faux ami
Et bien plus mature
Vint sur Sensation
Chercher l’aventure
Trouver soumission
Elle a rencontré
Ce n’était pas ça
Mais c’est du passé
Maintenant qu’il est là
Ce que ça durera
Elle n’en sait rien
Mais elle le vivra
Car elle en a faim
Bien sur elle espère
Avoir enfin trouvé
Pas une chimère
Celui dont elle a rêvé
Elle est loin la femme
Qui se morfondait
Avait des fantasmes
Qu’elle vit désormais
Ludivine est née
Une belle nuit
Où elle a trouvé
L’essence de sa vie
Par Ludivine
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Samedi 25 juillet
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22:39
Posté le 25/04/2009 à 12:00 par motsetmaux
Oh, j’en ai assez
Il faut qu’elle arrête
Car elle prend son pied
Quand sur moi ça pète !
J’étais tellement blanc
Et si bien couvert
Oh c’est indécent
Toutes ces manières !
Puis il est venu
Et là j’ai senti
Mon heure venue
Oh quelle chipie !
Moi je n’en peux plus
Et pas de pitié
Car elle l’a voulu
Qu’il vienne la fesser
Mais c’est bien sur moi
Que tous ces coups tombent !
Et pauvre de moi
Oui là je succombe
Oh il a soulevé
La si maigre étoffe
Qui me protégeait
Maintenant c’est Paf –Paf !
Elle qui se tortille
Et moi qui j’enrage
Car là ça me vrille
Mais quel dommage !
Moi j’étais si blanc
Je deviens tout rouge
Oh c’est mon tourment
Pendant qu’elle bouge
Mais la main qui frappe
Pour moi ennemie
Pour celle qui jappe
Est plus qu’une amie
Enfin ça décroit
Ouf il me caresse
Et là je reçois
Oui je le confesse !
Elle est bien heureuse
Et comme par mégarde
Mais déjà curieuse
Là elle me regarde
Et elle s’extasie
Devant toutes mes marques
Car oui c’est le fruit
De toutes ces claques !
Enfin c’est fini
Mais dans quelques jours
Ce sera reparti
Pour un nouveau tour …..
Par Ludivine
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Samedi 25 juillet
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22:37
Posté le 25/04/2009 à 12:00 par motsetmaux
Hum, Même Pas Mal
C’est facile à dire
Alors qu’il est pale
Car à force de rougir
Mon pauvre fessier râle
Et moi ça m’fait rire
Je suis une chipie
Et j’ai trop joué
Le Maître l’a dit
Je ne l’ai pas volée
Surtout pas de cri
Car j’ai ma fierté
Hum, Même Pas Mal
Eh oui la fessée
Car plus j’en étale
A trop bavarder
C’est devenu fatal
Je dois le payer
Je la reçois
Je me débats
Et lui narquois
Maintient mes bras
C’est là ma croix
Et ça me va
Hum, Même pas mal
Les coups s’amplifient
Je garde le moral
Quand ça sera fini
Ce sera la totale
Car alors de lui
J’aurai mon régal
Sa main par moment
Baisse la cadence
Pour un court instant
Ca devient moins dense
Et puis mon tourment
Se refait intense
Hum, Même Pas Mal
Faudra des glaçons
Mes douleurs les valent
Je hausse le ton
Car c’est viscéral
Mais je tiendrais bon
De ma résistance
Il détient sa force
Douleur est intense
Eh oui ça se corse
Je perds mes défenses
S’ouvre mon écorce
Hum, Même Pas Mal
Impossible de tenir
Car oui c’est fatal
C’est trop dur à dire
J’ai plus le mental
Je ne peux plus rire
J’ai rendu les armes
Bobo j’ai trop mal
J’ai envie de calme
C’est vraiment normal
Maintenant je réclame
Fin du mélodrame
Hum, Même Pas Mal
Ouf, il ralentit
C’était le final
Là il s’adoucit
C’était trop génial
Je l’en remercie
Par Ludivine
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Samedi 25 juillet
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22:32
Posté le 25/04/2009 à 12:00 par motsetmaux
Ouille, aille
Vaille que vaille
Toujours le narguer
Pendant la fessée
Douleur qui cisaille
Surtout pas que j’me taille
Parader
Ne pas reculer
Pas de faille
Même si ça tiraille
Anonner
Faire des pieds de nez
Moi sa caille
Il en fait ripaille
Je dois compter
Chaque coup donné
Sur ma taille
Mon T shirt baille
Mon fessier
Par lui dégagé
Il me raille
Et moi sa canaille
Regard voilé
Je me sens brûler
Mon corps qui tressaille
Sans qu’il y ait d’entaille
Par les coups donnés
Je suis délivrée
Là dans mes entrailles
Règne la pagaille
Ma croupe est marbrée
Ma mouille libérée
Ouille, Aille
Vaille que vaille
J’aime la fessée
Par lui prodiguée
Par Ludivine
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Samedi 25 juillet
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22:30
Posté le 25/04/2009 à 12:00 par motsetmaux
A cet instant là
C’est la queue du chat
Qui passait par là
Et qui la frôla
Il l’a coucha
La déculotta
Ses fesses tapa
Devant Monsieur Chat
Alors elle compta
Puis elle rigola
En voyant le chat
Lorsqu’il sursauta
Le pauvre petit chat
Ne connaissait pas
Encore ce vice là
Il en resta baba
Incrédule il s’arrêta
Et se demanda
«Non je ne rêve pas
Elle devient fada !
Mais qu’est ce qu’elle a ?
Pourquoi il fait ça ?
Moi je ne comprends pas
Maîtresse, tire toi de là ! »
Pour calmer son chat
Elle le caressa
Ça le rassura
«C’est vrai qu’elle aime ça !»
Rassuré, il les regarda
Son regard béat
Sa tête il posa
Là dessus son bras
Puis enfin voila
Que tout s’arrêta
Elle se releva
Se reculotta
A cet instant là
C’est la queue du chat
Qui se releva
Et qui la frôla
Par Ludivine
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