Samedi 25 juillet
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    Posté le 25/04/2009 à 12:00 par motsetmaux
  
  
    
    
    
     
   
  
    
    
    
    
    En ce petit matin,
    Apaisée est ma faim
    J’ai vu partir l’ennui
    S’envoler cette nuit
    
    Avant ce rendez-vous
    J’avais déjà le gout
    L’envie d’être à nouveau
    Délestée d’un fardeau
    
    Juste un peu plus légère
    Un peu moins solitaire
    Soumise à nouveau comme
    C’est mon désir en somme
    
    Lisant tes mots je pressentais
    Ce qui en moi se passerait
    Quand je t’ai vu me vint l’envie
    Que nous soyons du même avis
    
    Deux heures passées rien qu’à parler
    Ce besoin de les faire durer
    Toi qui te lèves et qui me dis
    « Je dois m’en aller, c’est ainsi »
    
    Trois heures après tel promis
    Te voilà qui me souris
    Et les mots entre nous reviennent
    Puis les envies se refont miennes
    
    Quand sur mon cou j’ai ressenti
    Le poids que tu y avais mis
    J’ai su que c’était obligé
    Et qu’à toi j’allais me donner
    
    Ta main qui a su me fesser
    Et la cravache me donner
    Cette nuit où tu m’as fait tienne
    Afin que mon corps s’en souvienne
    
    Qu’en moi soit à nouveau l’envie
    De me livrer à ta merci
    Et que le besoin me tenaille
    A toi de me donner sans faille
    
    La chienne en moi toute en sommeil
    Attendait qu’un homme l’éveille
    Sur moi tu as posé ton sceau
    De toi j’apprécierai mes maux
    
    L’oiseau a retrouvé son nid
    L’ennui est parti loin de lui
    Il rêve à la prochaine fois
    Où il dormira contre toi
    
    Je ne porte pas de collier
    Mais à toi je me sens liée
    Nul besoin d’un Maître
    Juste celui d’un être
    
    Celui qui a su dominer
    La belle chipie emportée
    Par l’espoir qu’elle avait de lui
    Et ce désir qu’elle n’a pas fui
    
    Ces mots oui je te les dédie
    En moi résonnent comme un défi
    Etre juste ce que tu voudras
    Mais t’attirer par mes appâts
    
    Mes ailes liées par tes soins
    Ne sauraient m’emmener bien loin
    Car c’est pour toi que moi je veux
    Sous ta loi me prêter au jeu
    
    L’oiseau de nuit est bien repu
    Ne rêve que te donner ton dû
    Car ce matin il veut sourire
    A son tout nouvel avenir
  
		
	 
		
	
									
								Par Ludivine			
													
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				Publié dans :				Poèmes
			
															
    												
					
									  											
			
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    Posté le 25/04/2009 à 12:00 par motsetmaux
  
  
  
    
    
    
    
    
    Elle est de chair
    Il est de fer
    Elle est tendresse
    Et lui la dresse
    
    Femme passion
    Homme d’action
    Elle est si douce
    Et lui la pousse
    
    Pour qu’elle se livre
    Car elle veut vivre
    Sous son regard
    Elle est sans fard
    
    D’ange de douceur
    En chienne en chaleur
    La femme se mute
    Sous l’œil qui la scrute
    
    Oui quand elle part
    A bien d’égards
    Elle est de feu
    Il est son dieu
    
    De tous ses cris
    Il en a joui
    Là sur les cimes
    Tous deux s’abiment
    
    Elle est de chair
    Il est de fer
    De leur passion
    Nait la fusion 
    
    
    
   		
	 
		
	
									
								Par Ludivine			
													
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    Posté le 25/04/2009 à 12:00 par motsetmaux
  
  
  
    
    
    
    
    
    L’oiseau de nuit dormait
    Bercé par ses souhaits
    L’homme a tourné la page
    Lui a rouvert la cage
    
    Une histoire s’achève
    Ce n’était qu’un rêve
    Après y avoir cru
    Il souffre il est déçu
    
    L’oiseau va repartir
    Car il doit rebondir
    Regarder devant soi
    Et retrouver la foi
    
    Ses larmes vont sécher
    Rien ne sert de pleurer
    Il relève la tête
    Et puis reprend sa quête….
  
		
	 
		
	
									
								Par Ludivine			
													
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    Posté le 25/04/2009 à 12:00 par motsetmaux
  
  
  
    
    
    
    
    
    Tout autour de moi
    Il y a du bruit
    Mais je suis la proie
    De mon ennui
    
    Rien qu’un signe de toi
    J’en ai tellement envie
    Et je ne sais pourquoi
    J’ai le sentiment que tu m’oublies
    
    Il y a peu de temps je souriais
    J'avais de nouveau confiance
    Là vraiment je ne sais
    Ce que signifie ton silence
    
    Je ne veux plus souffrir
    A me poser des questions
    Je veux pouvoir sourire
    Mais à juste raison
    
    Si pour toi cette histoire
    Est déjà terminée
    Là tu as le devoir
    De me l’annoncer
    
    Tout plutôt que ce silence
    Que je ne supporte pas
    Car sans arrêt j’y pense
    Est-ce fini ou pas ?
    
    La vie n’est pas un poème
    Mais c’est en écrivant
    Que je mets de la crème
    Pour adoucir mon tourment
    
    J’attends de tes nouvelles
    Même si elle sont mauvaises
    Sois correct pour celle
    Pour qui ton silence pèse
  
		
	 
		
	
									
								Par Ludivine			
													
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    Posté le 25/04/2009 à 12:00 par motsetmaux
  
  
  
    
    
    
    
    
    Aimerais tu que je te dise
    L’envie qui en moi se précise ?
    Que la simple pensée de moi
    Ne cesse de te mettre en émoi
    
    Sous ta loi me plier
    Par toi me faire vibrer
    Coups et caresses jusqu’à la lie
    Afin que bonheur soit acquis
    
    Promesse tu m’as donnée
    Que je serai châtiée
    Nulle faute pour cela
    C’est ainsi, et voila
    
    La main ou la cravache
    Je me ferai bravache
    Car en bonne chipie
    Non jamais je n’ai fui
    
    Tu peux être si dur
    Mais il faut que j’assure
    Car après ces sévices
    Viendront tous nos délices
    
    Que vienne cet instant
    Si proche dans le temps
    Où rien ne comptera
    Que ce que tu voudras
    
    Tu m’appelles Gourgandine
    Je ne suis que Ludivine
    Petit oiseau de nuit
    Qui sourit à la vie
  
		
	 
		
	
									
								Par Ludivine			
													
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