Ludivine

  

 rose partition

 

 

Une femme-enfant , une gentille chipie qui

aime être dominée sexuellement et recevoir des fessées.

Je ne prétends pas être la meilleure des soumises, loin de là , mais je le suis à ma manière.

Juste moi, tout simplement .......

Les mots des autres

Dimanche 26 juillet 7 26 /07 /Juil 02:54
Posté le 03/05/2009 à 12:00 par motsetmaux











Le chat ouvrit les yeux
Le soleil y entra
Le chat ferma les yeux
Le soleil y resta

Voilà pourquoi le soir
Quand le chat se réveille
J’aperçois dans le noir
Deux morceaux de soleil





(Maurice CAREME)
Par Ludivine - Publié dans : Les mots des autres
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Dimanche 26 juillet 7 26 /07 /Juil 02:50
Posté le 30/04/2009 à 12:00 par motsetmaux









Il repose le très sollicité, alangui de plaisir, encore englué du rêve précédent. Et j’ai bien envie de l’éveiller.
Serpent ondulant, anticipant la saveur d’une chair convoitée, je glisse vers lui, qui, niché au creux du ventre tiède, poursuit sa nuit. Une main se pose sur mes fesses toujours empreintes d’une rougeur troublante. Ventre contre hanche, mon bras gauche étreint une cuisse ferme tandis que mes lèvres entament une promenade entre bas-ventre et plis de l’aine. Tour à tour effleurant ou pinçant, elles invitent langue et dents à goûter au festin de cette peau si douce qui tressaille, de ces muscles qui roulent et se tendent sous les baisers.
Je tourne autour du membre aimé, prolongeant à dessein l’attente, m’en approchant à presque le toucher puis rebroussant poils et chemin, sans le perdre du regard, souriante de le voir s’emplir lentement de désir. Des vagues de tendresse chaloupent mon cœur face à ses frémissements de vie. Il perle une goutte de rosé que je cueille du bout de la langue avant de l’enserrer à pleines lèvres. Mes muqueuses s’émeuvent de cette peau de soie que je parcours en tout sens, repoussant les chairs frissonnantes, léchant le mince orifice qui distille les prémices d’un savoureux nectar. Dans les soupirs qui emplissent l’air, ma bouche devient un onctueux fourreau qui entoure le membre délicieux, lui imprimant des allées et venues au rythme de plus en plus soutenu. Je le sens qui vibre sous l’assaut, tendu d’un désir qui bouillonne dans ses veines.
Mes papilles, gourmandes, se délectent de ses pulsations, de ses ondes intimes qui le font devenir si fort que je ne peux le conserver tout en bouche. Reprenant mon souffle, je caresse des lèvres le gland écarlate, entre l’envie de déguster sa sève de vie et celle de lui offrir un autre manchon, velouté de désir, où il pourra prendre notre envol. Un regard, un sourire. Je remonte jusqu’à la bouche pour y puiser un baiser.
Et tandis que je me perds dans des yeux de jade, le corps à cœur se poursuit sous le tangage des hanches, dans l’allégresse de nos voix mêlées.


( De Tite Plume, avec son autorisation)



Par Ludivine - Publié dans : Les mots des autres
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Dimanche 26 juillet 7 26 /07 /Juil 02:47
Posté le 29/04/2009 à 12:00 par motsetmaux




L'histoire que je vais vous conter est une très vieille histoire, de ces temps reculés ou en nos terres d’Armorique, le roi Arthur et ses chevaliers mettaient en place un nouvel ordre de justice et de fraternité. En ces temps anciens, fées et magiciens participaient à ces combats aidés d'elfes, et de korrigans.

Notre histoire se situe dans la forêt de Brocéliande, domaine de la fée Morgan, celle la même qui luttait contre Merlin l'enchanteur, la légende dit qu'elle avait fort mauvais caractère et elfes et Korrigans qui peuplaient la forêt filaient doux.

Un jour pourtant Morgan partit en voyage pour je ne sais quelle raison et ce fut grand soulagement, les petits êtres de la forêt purent sortir et enfin vaquer à leurs occupations.
Un Korrigan nommé Fan Couët se hâta vers la grande clairière près de l'étang, il avait remarqué que depuis quelques temps une jeune bergère venait y faire paître ses moutons.
A ce stade du récit il faut préciser qu'à l'inverse des farfadets ou autres trolls, les korrigans sont doux gentils et paisibles mais farceurs, très farceurs !

Cette jeune bergère l'avait inspiré, il se hâtait donc vers la clairière, riant par avance du tour qu'il allait jouer.
A l'orée du bois il découvre la bergère comme a son habitude, assise sur une éminence granitique, plongée dans une sorte de douce rêverie en surveillant ses ovins qui paissaient (ce qui pour les moins poètes peut se traduire par : le cul sur un rocher, la belle se faisait chier ferme en surveillant ses imbéciles de moutons qui broutaient)
Notre petit ami se glissa discrètement derrière le rocher et se transforma en un grand et beau….genêt .

Cette opération d'approche faite, il courba une de ses basses branches et la laissa se détendre, brusquement elle fendit l’air avec un sifflement léger et vint fouetter la croupe de la jeunette.
Le choc fut beaucoup plus surprenant que douloureux, protégée qu'elle était par l'épaisseur de la toile de sa jupe et du lin grossier de son jupon.
Elle se leva pour se retourner et inspecter du regard le grand genêt qu'elle n’avait pas remarqué auparavant, rien de suspect ne lui apparut, alors elle se rassit tranquillement.

Fan Couët plia de nouveau une branche basse et la laissa filer, averti par le sifflement la belle attendit calmement le coup et sourit quand il arriva, il y avait vraiment quelque chose de curieux qui se passait mais, enfin, il se passait quelque chose et cela n'était pas désagréable.
Notre Korrigan répéta l'opération avec patience, il connaissait la curiosité féminine et celle ci finit par prendre le dessus et la jeune fille souleva sa jupe pour mieux ressentir.

Le rire du gnome se confondit avec le vent dans les ramures et la branche fouetta sur le jupon laissant derrière elle une sensation exquisément douloureuse. La belle ravie garda la position et se laissa fustiger ainsi jusqu'à n'y plus tenir alors enfin elle souleva son jupon exposant sans vergogne sa chair tendre et laiteuse.
Fan Couët jubila et courba très fort une branche pour chaque fesse tendue et laissa faire l'élasticité naturelle de l'arbuste, le contact fut on ne peut plus cinglant. La bergère sauta de son rocher comme projetée par un puissant ressort et entama une sorte de danse mystique très saccadée, les deux mains coincées entre ses cuisses, les fesses à l'air pour éviter tout contact et psalmodia une sorte de mélopée indistincte peut être magique dont quelques bribes sont parvenues jusqu'à nous une sorte de ail ya yaille ouille aye aye.

Nul ne sait combien de temps dura le processus incantatoire mais il fut efficace et la donzelle toujours mains serrées entre les cuisses revint présenter son arrière train à l'arbre coquin.
Fan Couët comprit qu'il y avait été un peu trop fort et rendit la « punition » moins cruelle, chaque coup laissait une strie d’un joli rouge violacé et faisait sursauter la jouvencelle. Par là même ce mouvement frottait ses mains entre ses cuisses et le plaisir montait et plus le plaisir montait, plus elle tendait ses rondeur vers le genêt jusqu'à ce que dans un dernier cri elle s'effondra face contre terre, haletante et comblée.
Le korrigan reprit sa forme et partit en riant plus fort qu'une mouette qui a vu une sardine.

Depuis ce temps on dit que la nuit, si on écoute bien, on peut encore entendre le rire de Fan Couët quand une belle reçoit la fessée.
On dit aussi que c'est sûrement pour éteindre ce genre d'incendie que la forêt de Brocéliande s'appelle maintenant forêt de Paimpont.



(De Bougainville, avec son autorisation)
Par Ludivine - Publié dans : Les mots des autres
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Dimanche 26 juillet 7 26 /07 /Juil 02:34

Posté le 29/04/2009 à 12:00 par motsetmaux










La main glisse sur la bordée du bastingage
Le regard scrute l'horizon, point de rivage,
Il sait qu’inexorablement il rentre au port,
La vive et gracieuse goélette s'endort!

Et Bougainville pleure,
Son bel amour se meurt

Bientôt le quai, il descendra la passerelle,
Se retournera doucement pour la voir elle,
S'éloigner, prendre le chenal pour la haute mer,
L'étrave bien calée sur de nouveaux amers.

Et Bougainville pleure,
Son bel amour se meurt

Le geste, le pas et surtout le cœur lourd
Il ira tristement vers le port vide et sourd
A la tristesse du marin sans équipage,
Mais qui déjà prépare un autre voyage

Et Bougainville pleure,
Son bel amour se meurt

Puis Bougainville s'enchante
De nouvelles drisses qui chantent





(De Bougainville, avec son autorisation)

 

Par Ludivine - Publié dans : Les mots des autres
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Dimanche 26 juillet 7 26 /07 /Juil 02:29
Posté le 27/04/2009 à 12:00 par motsetmaux









AMI : se dit d'une personne de sexe masculin, qui possède " un je ne sais quoi " qui empêche toute envie de finir dans un lit avec lui.

AMIE : se dit d'une personne de sexe féminin, qui possède " un je ne sais quoi " qui te fait venir une envie folle de finir dans un lit avec elle.

AMOUR : mot de cinq lettres, trois voyelles, deux consonnes et deux idiots.

ARCHITECTE : se dit d'une personne qui n'est pas suffisamment macho pour être ingénieur, ni assez pédé pour être styliste.

AUTORITE : celui qui arrive après la bataille et prend en charge les blessés.

DANSER : frustration verticale d'un désir horizontal.

BANQUIER : c'est un type qui te prête un parapluie quand le soleil brille, et te le réclame quand il commence à pleuvoir.

BOY SCOUT : un enfant habillé comme un couillon, commandé par un couillon habillé comme un enfant.

CONSULTANT : se dit de celui qui consulte ta montre, te dit l'heure, et te fait payer la prestation.

ECONOMISTE : expert qui saura demain pourquoi ce qu'il a prédit hier n'est pas arrivé aujourd'hui.

ETERNITE : laps de temps qui s'écoule à partir du moment où tu l'as sautée, et celui où tu l'a raccompagnée à la maison.

FACILE : se dit d'une femme qui a la moralité sexuelle d'un homme.

PHYSIQUE QUANTIQUE : c'est un homme aveugle, dans une pièce sombre, qui cherche un chat noir. Qui n'existe pas.

INTELLECTUEL : se dit d'un individu capable de penser pendant plus de deux secondes à autre chose que le sexe

LANGUE : organe sexuel dont certains dégénérés se servent pour parler.


(pris sur internet)







Par Ludivine - Publié dans : Les mots des autres
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