Ludivine

  

 rose partition

 

 

Une femme-enfant , une gentille chipie qui

aime être dominée sexuellement et recevoir des fessées.

Je ne prétends pas être la meilleure des soumises, loin de là , mais je le suis à ma manière.

Juste moi, tout simplement .......

Récits

Samedi 25 juillet 6 25 /07 /Juil 21:30

Posté le 25/04/2009 à 12:00 par motsetmaux









Par un beau jour du mois de juin, il avait pris le métro, comme il le faisait quotidiennement.
Il regardait son agenda pour se remémorer son programme de la semaine quand il sentit le poids d’un regard sur sa nuque.

Il se retourna lentement et ce qu’il vit l’intéressa au plus haut point : derrière lui se trouvait une belle jeune femme mince, vêtue d’une robe très courte, au décolleté dévoilant la naissance d’une poitrine bien galbée , ses cheveux blonds ondulés étaient lâchés sur ses épaules et ses yeux d’un bleu profond le regardaient intensément.
Il lui sourit, elle le lui rendit.

Il en oublia son agenda, désireux de se noyer dans l’océan des yeux de la sirène qui l’attirait comme un aimant.

La place en face d’elle se libéra à la station suivante, il se leva et vint s’y asseoir sans la quitter du regard. Des effluves de son parfum lui parvenaient, ce parfum il en était certain il le reconnaîtrait entre mille.

Dans 3 stations, il devait descendre, il ne pouvait manquer son rendez-vous…. Il se dit qu’il fallait absolument qu’il lui parle, qu’il obtienne son numéro de téléphone…..Il voulait la revoir, elle l’excitait, il voulait la faire sienne, sentir son corps vibrer sous le sien, il fallait qu’il lui parle…. Mais au moment où il allait se décider elle baissa ostensiblement les yeux pour se plonger dans la lecture du roman qu’elle tenait entre ses mains….

Il toussota à plusieurs reprises, allongea le pied jusqu’à toucher le sien, sa seule réaction fut de le reculer sans même relever la tête.

Son attitude le dégrisa, il soupira, peut-être avait-il mal interprété l’expression de la jeune femme ? Il la fixa intensément, elle continua sa lecture d’un air impassible.
Il devait descendre à la prochaine station ,il se résigna donc à se lever , se dirigea vers la porte de sortie , s’efforçant de regarder droit devant lui, luttant contre son envie de retourner sur ses pas pour  l’aborder et lui soutirer son numéro de téléphone.
Les portes coulissantes s’ouvrirent, il descendit du métro et se dirigea vers la sortie, le cœur lourd de ce qu’il n’avait osé faire.

Il marchait ainsi dans le couloir du métro, loin devant il apercevait le bas des marches de l’escalier conduisant à l’extérieur quand il entendit derrière lui le claquement de talons sur le sol . Les pas se rapprochèrent….
Absorbé par ses pensées, il n’y prêta pas attention jusqu’au moment où , en même temps qu’une main se posait sur son épaule droite , une voix douce l’appela : « Monsieur »
Pendant qu’il se retournait lui parvint une senteur qu’il reconnut immédiatement et il sut avant de la voir que celle qui l’apostrophait n’était autre que son inconnue.
Il s’arrêta, la regarda, incrédule, ses yeux bleus reflétaient l’amusement qu’elle avait ressenti à le faire souffrir ainsi, la garce elle s’était bien jouée de lui ….
Elle continua : « Et si vous me donniez votre numéro ? »
Il avait toujours sur lui des cartes de visite, il lui en donna une .Sans un mot, elle la prit, vint déposer sur ses lèvres un baiser léger, puis, sur un « je vous appelle », se retourna et reprit le chemin inverse laissant derrière elle ce parfum qu’il n’oublierait jamais…..

La journée se passa comme à l’accoutumée, ponctuée de rendez-vous , il lui arriva à plusieurs reprises de penser à cette inconnue , en fait à chaque fois que son portable sonnait , mais ce n’était jamais elle.

Il rentra chez lui ce soir-là , il garda son portable dans sa poche espérant toujours recevoir l’appel promis , mais rien ne vint …

Un jour , puis deux passèrent , le souvenir de l’inconnue s’estompa , il en vint à penser qu’elle ne l’appellerait jamais ou encore qu’il avait rêvé cette rencontre.

Et puis, une semaine après, il déjeunait seul à la terrasse d’un café , son portable sonna , une voix douce qu’il n’avait pas oubliée se fit entendre :
« Bonjour, vous souvenez-vous la semaine dernière avoir été interpellé dans le métro par une jeune femme blonde ? »
Il essaya d’être aussi naturel qu’elle en lui répondant par l’affirmative , il ne voulait pas qu’elle réalise à quel point il avait espéré son appel.
« J’ai une proposition à vous faire » continua-t-elle , « êtes-vous seul chez vous ce soir ? »
« Tout à fait » répondit-il.
« je vais alors vous demander de laisser votre porte ouverte , et d’éteindre toutes les lumières et de baliser le chemin jusqu’à votre chambre de bougies allumées et de m’attendre nu sur votre lit ».
Il accepta , lui donna le code d’entrée de son immeuble, lui précisa l’emplacement exact de son appartement.

Ce soir là , après avoir acheté suffisamment de bougies pour réaliser le chemin de sa porte d’appartement à son lit, il rentra chez lui , prit une douche , installa les bougies qu’il alluma, et …. attendit seul dans la chambre simplement éclairée par le chemin de flammes qu’il avait disposé comme elle le lui avait demandé……
Les heures commencèrent à s’écouler, il attendait …. Et …. Rien ne vint …

Epuisé par sa journée de travail il arriva un moment où il ne put résister à l’envie de fermer les yeux, et le sommeil s’empara de lui……

Il rêvait …..elle était là , sa blonde aux yeux d’océan , autour d’eux flottait ce parfum qui était le sien , elle s’était donnée à lui sans réserve , il l’avait prise et reprise au gré de ses envies , non il ne voulait pas sortir de ce rêve pour retourner à la réalité….. Comme il aimait sa bouche sur son membre durci par le désir , cette langue qui en dessinait les contours, ces lèvres qui s’entrouvraient ….. et… son parfum, son parfum qui ….. , mais ….ce parfum ?…..Il était trop présent pour ne pas être réel…. Non… Il ne rêvait plus , la réalité avait rejoint son rêve, elle était bien là, agenouillée au dessus de lui , sa bouche emprisonnant son sexe gonflé….. mais depuis quand était-elle là , quand donc son rêve était-il devenu réalité ? Il n’en savait rien et après tout quelle importance , se dit –il , en prenant la jeune femme par les hanches et l’attirant vers sa bouche pour lui rendre les caresses buccales qu’elle était en train de lui prodiguer…..
Par Ludivine - Publié dans : Récits
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Samedi 25 juillet 6 25 /07 /Juil 21:26

Posté le 25/04/2009 à 12:00 par motsetmaux






Elle vivait une histoire qu’elle savait ne pas devoir durer avec un homme marié qui recherchait auprès d’elle ce que son épouse lui refusait et en particulier ce qu’il adorait donner aux femmes : la fessée…
Son fesseur ne pouvait guère lui accorder que quelques heures dérobées à son emploi du temps surchargé , elle adorait ces moments intenses passés en sa compagnie mais elle savait qu’elle ne devait surtout pas s’attacher à cet homme, au demeurant amoureux de sa compagne, elle prenait ce qu’il voulait bien lui donner , ce n’était pas une briseuse de ménage , elle était même encore plus vigilante que lui pour que leurs rencontres restent secrètes….

Cette relation si forte soit-elle ne lui suffisait pas, elle s’achèverait un jour ou l’autre, elle était libre , tout en ayant cette envie de soumission , elle espérait finir par trouver un homme avec qui la vivre dans une vraie vie de couple .

Et c’est ainsi qu’elle continuait à converser sur un site de rencontre avec certains hommes, espérant toujours trouver l’oiseau rare. Les candidats ne manquaient pas mais elle prenait son temps, l’un d’entre eux en particulier se fit plus insistant, mais toujours avec respect . …. Ils avaient parlé de choses et d’autres et elle avait fini par lui avouer la nature de la relation qu’elle avait avec son fesseur car derrière la toile les choses se disent beaucoup plus facilement , lui même s’il n’avait jamais donné plus d’une claque gentillette sur les fesses de ses maîtresses , adorait les femmes , et semblait fort habile aux jeux de l’amour ….

Ils finirent pas se donner rendez-vous un dimanche vers 16h , ils se retrouvèrent dans un café , ils parlèrent de tout , ils commandèrent une fois , puis une deuxième fois et ils parlaient , aucun des deux n’avait envie d’écourter cette entrevue alors que chacun avait une obligation le soir même …. De fil en aiguille, il finit par lui poser des questions sur ce qu’elle éprouvait lors de la fessée, c’était une pratique qu’il ne connaissait pas , il lui avoua que c’était la première fois qu’il en parlait avec quelqu’un mais elle lui répondait si naturellement qu’il n’y eut aucune gêne ni d’un côté ni de l’autre ,le temps passa ainsi…..
Ils se résignèrent à se quitter, ils se vouvoyaient toujours mais entre eux le courant était passé, elle avait très envie de le revoir et même s’il ne le lui avait pas dit, elle savait qu’il en était de même pour lui.
Le lendemain ils échangèrent sms sur sms, très vite il lui avoua qu’il désirait la revoir, elle acquiesça, plus ils s’écrivaient plus il était évident qu’ils ne pourraient attendre bien longtemps, le tu succéda au vous …. Et ils convinrent de se retrouver chez elle le soir même après le travail, ils savaient tous deux que ce n’était certainement pas pour se regarder dans le blanc des yeux…..

Il sonna à sa porte, elle avait préparé un repas léger, ils dinèrent tout en parlant de tout et de rien, les choses se firent d’elles mêmes, le lit les attendait, il s’occupa d’elle la faisant gémir et … tout d’un coup …. Il osa …. Une petite tape sur la fesse droite …. Elle le regarda, sourit …. Et lui dit tout doucement : « envie ?? » Il continua donc et la petite tape devint plusieurs qui se firent légèrement plus sonores mais très légèrement …. Il sursauta, s’arrêta : « Je ne t’ai pas fait mal ? » lui demanda-t-il effrayé d’un bruit qui pour lui, qui n’avait jamais donné de fessée, était synonyme de douleur. Elle éclata de rire : « Ca …. C’est une caresse !!! » et elle ne plaisantait pas car le coup qui avait effrayé son apprenti fesseur n’était vraiment pas méchant par rapport aux claques bien sonnantes qui lui laissaient d’habitude les fesses cramoisies.
Il augmenta donc la force de ses coups mais elle sentait bien qu’il n’osait pas, elle évita de soulever le problème, passa à l’action à son tour en le prenant dans sa bouche, et la soirée se continua dans un corps à corps dont l’intensité la combla et lui fit comprendre qu’elle ne s’était pas trompée sur ses aptitudes à rendre une femme heureuse.

Quand il la quitta ce soir là, après qu’il ait abordé une fois de plus le sujet de la fessée et qu’elle lui eut assuré qu’il ne lui avait vraiment pas fait mal , elle lui dit qu’elle lui adresserait par mail des liens qui lui permettraient de visionner des vraies fessées, celles-là mêmes qui lui avaient donné l’envie d’en recevoir
.
Dès son arrivée chez lui, il regarda les vidéos en question, lui avoua que l’une d’entre elle rejoignait une idée qu’il avait eu en conduisant sur la route du retour, et ils prirent rendez-vous pour le dimanche suivant pour un nouveau repas suivi d’autres ébats ….

Le lendemain , elle avait rendez-vous avec son fesseur en titre et elle se dit après avoir reçu la plus belle fessée qu’il lui eut donnée, que si son apprenti fesseur n’était pas aussi doué , elle profiterait avec grand plaisir de ce qu’il savait si bien faire par ailleurs …….Néanmoins , elle devait lui reconnaître une certaine dose d’imagination , car il lui avait ordonné de le recevoir en nuisette, porte jarretelles et bas et il n’était pas question qu’elle discute ses ordres sous peine d’être fessée à hauteur de son insolence .
Elle joua le jeu , doutant toujours qu’il soit capable de lui infliger une vraie correction , et quand il arriva elle l’accueillit dans la tenue qu’il lui avait indiquée ajoutant cependant sa touche personnelle , un string vraiment pas grand…. Mais un string quand même ….
Elle vit dans ses yeux qu’il avait envie d’elle , elle ne prit d’autre initiative que de le faire asseoir à table , le hors d’œuvre était servi , ils mangèrent …. . Puis elle se leva pour aller chercher la quiche quand le four sonna , c’est alors qu’il se saisit de sa main , l’attira vers lui, l’autre main souleva la nuisette , lui caressa les fesses la faisant frissonner ,elle sentit qu’il s’emparait de la lanière du string , qui séparait ses fesses , il la tira vers l’arrière en lui assenant un : « mais qu’est ce que c’est que ça , tu devais être cul nu, il me semble!!!. ».....et il lâcha d’un coup la lanière qui vint se replacer entre ses fesses .
Elle était debout devant lui, un sourire taquin au coin des lèvres, le narguant …. Il continua : « tu ne perds rien pour attendre » et il fit glisser le petit bout d’étoffe vers le sol
« maintenant tu vas me finir le repas sans ton string, exécution !!! » elle enjamba l’objet du délit puis après avoir moqueusement tortillé de la croupe devant son invité au regard courroucé elle alla chercher la suite du repas .
Ils reprirent leur diner , sa mauvaise humeur s’en était allée, pour un peu elle se serait demandé si elle n’avait pas rêvé cet autoritarisme passager….

Elle lui demanda s’il voulait un dessert, il la regarda intensément, sa main se posa sur la sienne ,et il lui répondit … « mais je l’ai devant moi mon dessert et je sais qu’il va être corsé, je t’interdis de bouger d’un pouce » ,il se leva , sorti de sa poche un petit appareil photo et un bandeau qu’il vint lui appliquer sur les yeux puis il la guida vers le canapé.
Il la fit se mettre à 4 pattes sur le divan , elle sentit qu’il se plaçait derrière elle , et il lui dit : « J’immortalise cet instant » en prenant une photo de ses fesses après avoir relevé la nuisette sur le bas de son dos.
Puis il posa l’appareil sur la table basse et il s’assit sur le divan l’installant sur ses genoux .

Elle était là dans le noir absolu , ses fesses exposées au regard de son amant , elle attendit …. Rien ne vint …. Goguenarde, elle remua les fesses en lui disant : « Présentez… Fesses…. » et elle éclata de rire.
Elle sentit sa main lui caresser son postérieur ainsi offert, s’insinuer vers l’avant et elle ne put résister à l’envie de s’ouvrir à sa caresse , elle sentit qu’il titillait son clitoris d’un doigt , elle se cambra pour qu’il puisse l’introduire dans sa chatte qu’elle sentait déjà humide , elle s’abandonnait aux caresses de son amant qui la doigtait pendant que son autre main caressait ses fesses . Aucun coup n’arrivait… il avait peut-être tout bonnement envie de la faire monter au ciel les yeux bandés …… après tout elle avait un fesseur confirmé pour lui faire rougir le postérieur ! C’est alors que la main qui lui caressait les fesses s’abattit sur celle de droite avec une force à laquelle elle ne s’attendait pas …. Et en même temps elle l’entendit lui dire : « ça c’est bien dit : présentez fesses, tu vas me présenter tes excuses de m’avoir désobéi »
-« Mais je n’ai rien fait moi, snif, méchant, fornicateur »
-« Tu ne m’as pas désobéi peut-être ? » et un second coup arriva, plus fort que le précédent
-« Euh, non, j’vois vraiment pas de quoi tu parles là » et PAN, la réponse ne se fit pas attendre , toujours sur la même fesse , au même endroit et encore plus fort, en même temps elle sentit le doigt qui s’activait dans sa chatte alors que l’autre main, elle s’en doutait ,était prête à sévir de nouveau .
Elle contracta les fesses mais rien ne vint, par contre le doigt qui avait investi sa chatte la quitta recommença à titiller son clitoris en le frottant de plus en plus la faisant mouiller et se tortiller pour se soustraire à cette caresse qui lui faisait pousser des gémissements de plaisir
-« Tu ne vois toujours pas ? » Le doigt quitta le clitoris et elle sentit qu’il remontait doucement mais surement vers l’arrière , elle se détendit, il avait décidé de lui accorder un répit du moins du point de vue des coups sur sa pauvre fesse dont il prit un grand plaisir à lui commenter la rougeur .
Ma parole pour quelqu’un qu’elle trouvait trop mesuré l’autre jour, il avait fait des sacrés progrès … et en plus son doigt était parvenu sur son anus, il pesait à l’entrée
-« Alors ? lui assena-t-il en l’enfonçant d’un coup et une autre claque plus méchante que les autres s’abattit sur sa pauvre fesse déjà endolorie
-« Aie, méchant, Bobo, bon … j’ai mis un string, j’avais froid aux fesses moi »
-« Ah, comme ça tu avais froid, et maintenant t’as toujours froid ? »Et BING, encore une super claque bien retentissante et toujours sur la même maudite fesse pendant qu’elle sentait son doigt aller et venir dans son anus .
-« Ben oui…. A l’autre fesse .C’est pas juste, elle est jalouse, même pas mal d’abord !! », et tout d’un coup, elle ne sentit plus rien, il avait retiré son doigt de son fourreau et il ne bougeait plus, elle se dit qu’il n’avait plus grand-chose à lui prouver .
Il la fit se relever, se mettre à 4 pattes sur le divan, et là :- « 1ére fesse rouge immortalisée, faut uniformiser tout cela pour la photo finale , tu ne crois pas ?, d’abord la fesse gauche comme tu viens de le souligner elle a froid , j’vais te la réchauffer moi »
-« Euh… t’es vraiment obligé… parce que…. »En parlant elle a tourné la tête vers le côté où elle a l’impression qu’il se tient , mais elle ne peut finir car elle sent contre ses lèvres un contact très particulier quelque chose de doux mais dur à la fois , en même temps qu’il bloque sa tête avec ses mains , elle ouvre les lèvres et elle le sent aller et venir dans sa bouche un long moment l’empêchant de se dégager par l’appui de ses mains au cas où elle en manifesterait l’envie .
Elle se laisse prendre la bouche et dans sa tête elle se dit que décidément il ne faut pas se fier aux apparences, il est bien plus doué qu’elle ne le croyait le bougre !!!
Et tout d’un coup il desserre son étau sur sa tête, quitte sa bouche : « ça suffit, maintenant, j’ai une œuvre à terminer moi , tu m’as dit quoi tout à l’heure … Présentez ….. Fesses !!! »
Et la revoilà, installée sur ses genoux, mais il l’a changé de sens afin que ce soit maintenant sa fesse gauche qui soit la plus accessible .
Elle gigote , essaie mollement de lui échapper …… peine perdue les coups pleuvent d’une manière ininterrompue
Non , elle ne l’arrêtera pas , elle est trop fière
-« Aie, Bobo , t’as pas le droit , vil fornicateur , ma parole maintenant va falloir que je te dise merci !!! »
Les coups cessent
-« Très bien dit, mais il manque quelque chose à la fin, tu peux répéter ? »
-«Merci », Un coup tombe
-« Merci QUI ? »
-« Merci…. Mon ….Maître »
La main se pose, caresse sa fesse gauche qu’elle sent brulante
-« En voila une gentille fille, attends que je regarde un peu, si j’ai unifié le tout , c’est pas mal , ça va le faire » et de la replacer à 4 pattes pour la photo finale …….

Elle l’entendit poser l’appareil , elle n’osait bouger ,sa croupe offerte à son regard , elle le sentit s’approcher , il lui enleva le bandeau , il la regardait avec un sourire légèrement narquois mais dans ses yeux elle vit quelque chose comme de l’angoisse , la peur d’avoir été trop loin emporté par la pulsion qu’elle lui avait procurée , elle le fixa un moment … assez pour profiter de cet instant où il était à sa merci , puis elle se blottit dans ses bras et il l’emporta vers le lit où il comptait bien achever le scénario qu’il lui avait préparé pour l’amener au plaisir extrême…..
Par Ludivine - Publié dans : Récits
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 25 juillet 6 25 /07 /Juil 21:22

Posté le 25/04/2009 à 12:00 par motsetmaux






Le jour était enfin arrivé, certains évènements lui avaient fait prendre conscience que la vie était une chose ténue qui pouvait s’arrêter à tout moment et qu’il était temps pour elle de vivre ses envies tant qu’elle le pouvait encore.

Elle s’était donc créé un second pseudo sous lequel elle allait enfin oser montrer la femme qu’elle était réellement ,ce qu’elle n’avait jamais osé faire sur ce site de rencontre , déjà par timidité , mais aussi par peur de tomber sur un psychopathe……
Ne s’était-elle pas fait traiter sur son autre pseudo de « vieux steak », lorsque ce soi-disant gynéco dès la 2ème rencontre sur une certaine messagerie lui avait carrément proposé un plan à 3 alors qu’ils n’avaient même pas essayé le simple duo….
« Vieux steak » !!!... elle en avait rit jaune au départ, mais maintenant elle en rigolait carrément avec ses copains à qui elle avait relaté l’affaire en leur expliquant qu’elle avait depuis découvert que le soi-disant gynéco sévissait à nouveau sur le site mais qu’il était devenu…… pilote d’avion !!!! Faut croire que les femmes fantasment plus sur les pilotes ….. Ben oui …. Pour s’envoyer en l’air …..Ça semble effectivement plus excitant…….

Mais revenons à ce nouveau pseudo : son annonce était très claire : « joueuse cherche joueur, partant ???? »
C’est fou ce qu’il y en avait des joueurs !!!….. Et le plus fort , c’est qu’il y en avait un en particulier avec qui elle avait souvent discuté sous son autre pseudo, un homme adorable mais qui apparemment cachait très bien son jeu.
Depuis longtemps ils se parlaient, il l’appelait Princesse et leurs conversations étaient très amicales, naturelles, sans aucun sous-entendu …. Puis on se disait au revoir jusqu’au prochain chat tout aussi courtois, comme deux bons amis qui se retrouvent pour parler de leur vie, de leurs ennuis de boulot…..
Peut-être la jugeait-il trop prude, ils n’étaient jamais passés sur la dite messagerie, il ne connaissait d’elle qu’un œil de femme, le même que sur son nouveau pseudo, elle-même n’en connaissait pas plus de lui.
Qu’allait-elle faire, lui révéler la vérité ? Mais après tout, il était joueur... !!Et bien on allait jouer…..
La joueuse se concentra donc sur ce candidat, bizarrement ce soir là il ne la contacta pas sur son autre pseudo……très vite il lui demanda s’ils pouvaient changer de chat, aller sur cette messagerie où ils pouvaient se voir en photo, elle obtempéra, et ce qu’elle vit lui fit penser qu’elle avait perdu bêtement de nombreuses semaines…. Et lui semblait la trouver fort à son gout, il lui demanda si elle avait une webcam, elle répondit que non (elle en avait une intégrée dans son portable mais il ne pouvait le savoir).
Elle trouva des échappatoires, elle éluda un peu quant à son métier pour qu’il ne la reconnaisse pas, et il finit par passer aux choses sérieuses, il lui demanda comment elle était habillée….. Elle respira un grand coup…. Puis elle lui répondit la vérité :
-« En nuisette noire ouverte sur les côtés … »
-« Hum….Et dessous….. »
-« Un string noir….. Et vous ??? »
-« Je suis nu, ma serviette autour des reins, je viens de prendre un bain…. Et si vous retiriez votre string ?.....»
-« Et si je ne retire pas mon string que se passera-t-il ? »
-« Grave désobéissance, jeune fille, mérite punition…. »
-« Punition, mais qui êtes-vous pour vouloir me donner une punition ??? »
-« Quelqu’un qui depuis qu’il vous a vue rêve de jouer avec vous mais n’est-ce pas ce que vous recherchez ? »
-« Mais c’est peut-être moi qui ai envie de la donner cette punition, après tout qu’en savez vous ??? »
-« Je le devine, j’ai l’impression de vous connaître depuis longtemps et je sais que c’est ce que vous désirez »
Elle sourit, c’était bien vrai qu’il la connaissait depuis longtemps mais elle n’avait pas l’intention de le lui révéler pour le moment.
Elle resta quelques instants sans lui répondre.
-« Partie, je croyais que vous étiez joueuse ? »
-« Je suis toujours là, je me demandais simplement si la punition en valait la peine…... »
-« Je pense que vous l’adorerez quand je serais en mesure de vous la donner »
-« Pouvez-vous préciser parce que …. Je n’ai pas bien compris de quoi il s’agissait…. »
-« D’une fessée, ma toute belle, partante ? »
Elle sourit, il avait repris le mot partant qu’elle avait placé dans son annonce
-« Ma foi, en y réfléchissant …. Partante….Mais, mdr, faudrait encore que vous m’attrapiez cher Monsieur »
-« Attendez qu’on se voit et vous allez sentir vos fesses chauffer, je vous le promets »
-« Hum, c’est que vous me tentez sérieusement là et quand comptez-vous me la donner cette punition ?»
-« Demain, c’est le 1er mai, que diriez-vous d’en recevoir une accompagnée d’un brin de muguet ? »
-« La proposition me convient… »
-« Alors si elle vous convient, vous allez me le prouver, en m’obéissant immédiatement »
-« Oui… »
-« Retirez votre string, sortez vos seins de votre nuisette »
Elle s’exécuta et le lui dit
Il reprit :
-« Voila qui est bien, maintenant avez-vous des jouets ? »
Elle rougit et lui répondit la vérité
-« Oui…. »
-« Ne faîtes pas votre pudique, dîtes-moi lesquels »
Elle s’était acheté dernièrement un plug (le plus fin qu’elle avait trouvé, pas maso quand même) et une sorte d’œuf vibrant avec télécommande. Elle le lui dit.
-« Alors vous allez placer le plug à l’arrière, l’œuf dans votre vagin, mettre la télécommande en route, vous asseoir et nous allons continuer à parler »
Elle fit ce qu’il lui avait demandé, et ils continuèrent à discuter, elle revêtue de sa nuisette, les seins sortis, ses 2 joujoux bien placés et maintenus en place par le coussin sur lequel elle était assise, faisant varier l’intensité de la vibration selon ses ordres .Il lui fit se caresser les seins, pincer ses tétons, puis porter doucement sa main à ses lèvres du bas, et lui dire ce qu’elle avait senti, elle était trempée…..elle le lui écrivit. Elle sentait son regard se voiler et accumulait les fautes de frappe quand elle lui répondait, ce qu’il lui fit remarquer, en lui disant que pour punition elle allait devoir porter ce qu’il choisirait lors de leur rencontre.

Parmi les robes dont elle lui parla, il choisit la très courte à volants et lui demanda de venir l’attendre au haut des escaliers du métro, l’œuf placé devant maintenu par son string puisque Mademoiselle voulait en mettre un, et bien elle serait punie en conséquence par une fessée bien méritée une fois de retour chez elle.
Il faut dire que depuis 2 jours soufflait un bon petit vent sur la ville, et il adorait l’idée de la gène évidente qu’elle ressentirait forcément attendant ainsi au haut des marches….
Elle ne devait pas mettre en route la télécommande mais la lui remettrait au café en guise de soumission.
Il lui ordonna d’aller se coucher, les seins sortis de la nuisette, les 2 joujoux en place l’œuf en position vibration moyenne.
Et il la quitta ….
Avant de fermer l’ordinateur, elle s’aperçut que sur le site une demande de chat sur son pseudo sage venait d’arriver …. De son joueur….
Allait-elle passer aux aveux, et bien non, décida-t-elle, et dans la tenue où il l’avait laissée, l’œuf vibrant lui faisant toujours l’effet désiré, elle s’appliqua à redevenir la jeune femme sage qu’il connaissait, tapant nettement moins vite que d’ordinaire par peur de faire des fautes de frappe…. Elle lui demanda ce qu’il faisait le lendemain, il lui répondit qu’il avait un rendez-vous très important et qu’il se pourrait fort qu’il ne puisse lui parler le lendemain soir.
Elle sourit, sentit une onde se répandre dans son ventre à l’idée du tour qu’elle était en train de lui jouer mais ne vendit pas la mèche, ils se quittèrent comme chaque soir, courtoisement…..
Elle ferma l’ordinateur, se coucha comme il le lui avait demandé, se tortura quelques instants l’esprit à l’idée de sa réaction quand il saurait la vérité, car elle avait l’intention de la lui révéler au café le lendemain.
Elle réfléchit à la meilleure manière de faire passer la pilule….. et éclata de rire à l’idée qu’elle venait de trouver.
Elle s’endormit ainsi, ses rêves la laissèrent au matin, trempée, l’œuf toujours vibrant sur une intensité moyenne, sa vibration se transmettant au plug placé à l’arrière.

Elle se leva, retira ses jouets, prit son petit déjeuner …..
Les heures s’égrenèrent, il lui adressa un texto, elle lui répondit et ils convinrent qu’il l’appellerait au moment où il arriverait à sa station de métro puisqu’une pluie légère avait commencé
Elle prit soin de changer les piles de la télécommande, ce serait trop bête que ça ne fonctionne plus au moment opportun !!!!
Elle prit son bain, dans sa tête, tant de pensées affluaient : allait-il la planter là en s’apercevant du petit tour qu’elle lui avait joué ?….Comment allait-elle se comporter ? …. Oserait-elle lui confier la télécommande au café et vibrer sous le regard des autres consommateurs ? …. Et la fessée ?…. Elle n’en avait jamais reçue ….et il avait l’air d’aimer la donner…..
Elle se maquilla…
Elle s’habilla comme il le lui avait demandé, elle mit sa guêpière noire, attacha ses bas résille en trépignant d’impatience car elle n’était vraiment pas douée pour attacher ces maudits porte-jarretelles. Ouf, ça y est c’était fait, mais non … ce n’était pas vrai !!! … Elle s’aperçut qu’elle avait oublié de les passer sous le string, car ce fameux string devait disparaître en premier pour la fessée promise…Elle éclata de rire …. Et dut recommencer ce qu’elle avait mis plus de 10 minutes à faire….
Elle installa l’œuf là où il lui avait demandé, mit la télécommande dans son sac qu’elle tenait contre elle, et attendit….
Son portable sonna : « Je vous attends ».
La pluie avait cessé, pas besoin de parapluie, déjà qu’elle était suffisamment encombrée et gênée avec ce satané œuf, jamais elle n’avait marché les jambes si serrées … !!
Elle avait l’impression que tous les hommes la dévisageaient comme s’ils savaient, c’est vrai que déjà en robe à volants courte, avec ses bas résille, ils avaient tendance à se retourner …. Que la station de métro (qui se trouvait à 20 mètres de chez elle) lui parut loin…. !!!!
Elle arriva au haut des escaliers, il l’attendait en bas, souriant…. Il monta lentement, la regardant intensément, elle retint son souffle…. Elle avait l’impression qu’ils étaient seuls entourés de brouillard et qu’il avançait lentement vers elle, tout le reste s’était estompé…..
Il arriva à sa hauteur, ses yeux souriaient pendant qu’il la regardait en portant sa main à ses lèvres et lui disant ironiquement : « Vous êtes superbe, mais j’aurais aimé que le vent soit plus fort »
Elle rougit, il lui prit la taille, et elle le conduisit jusqu’au café, ils s’assirent, elle le regarda droit dans les yeux et lui remit en souriant la télécommande sur laquelle elle avait collé bien en évidence une étiquette où elle avait noté « De La Part De Princesse »
Il se figea….. Puis il éclata de rire, et elle le vit se pencher vers elle, ses lèvres se posèrent sur sa bouche offerte, sa langue tourna doucement autour de la sienne puis leur baiser se fit de plus en plus profond alors que dans son ventre naissait une vibration qui monta doucement jusqu’à l’intensité maximale………

Ils restèrent ainsi, enlacés un long moment, puis leurs bouches se séparèrent, il héla le serveur, lui demanda ce qu’elle voulait boire, elle se dit que l’après-midi ne faisait que commencer et qu’à priori elle allait avoir besoin de toute son énergie, ce n’était vraiment pas le moment de prendre une tisane, elle opta pour un double express et il en fit autant.

Dans sa main droite, il avait toujours la télécommande il l’arrêta un moment pendant qu’ils se parlaient les yeux dans les yeux, puis il l’actionna un court instant sans que rien dans son attitude n’ait pu l’en avertir, et ils continuèrent à deviser ainsi, lui l’air impassible alors qu’il la faisait vibrer au rythme et selon la durée qui lui chantaient. Elle essayait de rester aussi imperturbable, mais ne pouvait s’empêcher par moments de laisser s’échapper un petit rire gêné, elle avait l’impression que tout le monde au tour avait remarqué leur manège….

Il la gronda : « Petite chipie, mais vous vous êtes bien moquée de moi, votre punition n’en sera que plus méritée »

Elle regarda ses mains, elles étaient grandes et larges avec des doigts longs et déliés, elle pensa que bientôt elle les sentirait claquer ses fesses, lui parcourir le corps……. elle frissonna…

Il fit signe au serveur, régla leurs consommations.

Ce fut comme un signal pour elle, les choses allaient s’accélérer, dans quel guêpier s’était elle fourrée !!!……..
Elle se rappelait ce qu’elle devait encore faire avant de quitter le café, il lui avait donné 2 options, dans sa grande mansuétude il lui octroyait le droit de choisir, rien qu’à cette pensée ses pommettes rougissaient, elle sentait qu’elle mouillait, autant par la vibration de l’œuf qu’à cette évocation….

Elle essaya de retarder l’instant crucial, elle trouvait toujours un autre sujet à évoquer pour qu’il ne puisse pas lui demander de s’exécuter……

Elle lisait dans ses yeux qu’il n’était pas dupe de son manège, son regard de velours se fit plus incisif puis devint moqueur au moment où il interrompit son bavardage d’un : « C’est bien beau tout cela, Princesse, arrêtez de jouer les pipelettes, il me semble qu’il vous reste un dernier acte de soumission à faire en ce lieu », tout en accrochant au décolleté de sa robe la pince de la télécommande réglée en pleine puissance…..
Elle rougit encore plus… Elle n’allait quand même pas reculer !!! …. Elle respira un grand coup, son cœur cognait dans sa poitrine, elle le regarda droit dans les yeux, prit son sac, se leva, et se dirigea vers les toilettes situées au sous-sol, descendit les escaliers en se demandant quelle option elle allait choisir…..
Prendre le plug qu’elle avait placé à sa demande dans son sac et l’introduire là où elle l’avait gardé la nuit dernière puis remonter les marches de l’escalier ainsi équipée du plug et de l’œuf vibrant maintenus par son string ……
Ou bien…. Retirer tout simplement son string…..façon de parler :simplement…. parce que…. ça semblait effectivement plus facile à réaliser, si ce n’est que Monsieur lui avait ordonné dans ce cas de figure de tenir le dit string bien en évidence dans sa menotte pour venir lui remettre en mains propres comme elle l’avait fait précédemment de la télécommande

Le choix était cornélien…. Qu’allait-elle décider ?.......

Sa descente des escaliers lui dictait sa décision ….. Déjà pas facile de descendre avec un joujou….. La remontée avec les 2 serait encore plus épique…
Elle allait devoir marcher les jambes bien serrées et lui tendre son string aux vus et aux sus de tous !!!
Mais quelle mouche l’avait piquée de lui avoir confié qu’elle disposait de ces joujoux quand il le lui avait demandé ??? Décidément, il serait peut-être temps qu’elle aille consulter…. !!!
Elle décida donc que mieux valait un grand moment de honte plutôt qu’un long moment de très grand….inconfort….
Heureusement qu’elle s’était rendue compte qu’elle s’était trompée une première fois en attachant le porte jarretelles car sinon elle aurait du prendre l’autre option ou passer plus d’un quart d’heure à remédier à son erreur alors qu’il lui avait donné 5 minutes pour remonter sous peine de lui demander haut et fort combien de temps il lui fallait pour retirer son string……

Le plug resta donc sagement dans son sac et le string se retrouva à plat dans sa main. Elle avait bien envie de la fermer cette main sur l’objet du délit mais c’était hors de question car elle savait qu’il relèverait publiquement sa désobéissance. Quelle honte si ça se produisait…..

Elle ne s’attendait pas à ce qui allait suivre…….

La remontée fut laborieuse, elle essaya de garder un visage impassible, tandis qu’elle traversait la salle bondée, le petit bout d’étoffe noire bien en évidence dans sa main sous le regard de son joueur qui la fixait.
Quand elle fut à 5 mètres , il détourna le regard comme si elle ne présentait plus aucun intérêt pour lui.
Elle s’arrêta à leur table, il avait tourné la tête, jouant les indifférents, elle fit mine de s’asseoir, il la stoppa dans son geste par un « Stop, vous ai-je permis de vous rasseoir ? », toujours sans la regarder.

Elle resta ainsi debout devant lui qui ne lui accordait aucune importance, son offrande dans la main qu’elle tendait ostensiblement vers lui.
A la table voisine se trouvait un groupe de jeunes femmes qui la dévisageaient, elle les entendit glousser, il n’y a rien de pire que les femmes pour se gausser de leurs paires…..Ses joues étaient cramoisies de honte, tu parles d’un visage impassible….. !!!
Elle avait l’impression d’être nue devant elles, avec son œuf qui vibrait, comme si sa robe était transparente, elle ne s’était jamais sentie aussi humiliée …

Après ce qui lui parut une éternité, il daigna tourner la tête, regarda le string qu’elle lui tendait, se leva, prit enfin ce maudit bout de chiffon, le mit dans la poche de sa veste. Puis il l’entoura de son bras droit et l’embrassa à pleine bouche, pendant que sa main gauche après avoir caressé ses fesses par-dessus la robe, soulevait les volants de manière ostentatoire puis reprenait son manège à même la peau sous le regard ébahi de ces chipies de la table d’à côté…..
Quand sa bouche délaissa la sienne, sa main quitta ses fesses, replaça les volants pour les recouvrir, il la prit par la taille, la main négligemment posée sur sa croupe frémissante. Elle regarda droit devant elle essayant de se comporter comme si de rien n’était.
Ils sortirent ainsi sous l’œil concupiscent des consommateurs qui s’étaient repus du spectacle gratuit qui leur avait été offert.

Lentement, collés l’un à l’autre, ils se dirigèrent vers le lieu de sa punition …….


Ils marchèrent donc ainsi, elle sentait en elle la vibration de l’œuf, elle se sentait si empreintée de devoir serrer les jambes de peur qu’il ne quitte son logement douillet, et cette main qui la maintenait contre lui, qui lui caressait la fesse, rajoutant encore au trouble qui était le sien !!
Ils arrivèrent enfin en bas de chez elle et elle éprouva un sentiment mitigé de soulagement et d’angoisse, soulagement de ne plus sentir le poids du regard des passants dans la rue, angoisse de ce qui allait suivre une fois la porte de son appartement refermée.

D’un air déterminé elle tapa le code qui permettait de rentrer dans l’immeuble, ils se dirigèrent vers l’ascenseur qu’elle appela …. La porte s’ouvrit, ils pénétrèrent dans la cabine qui n’autorisait l’accès qu’à 3 personnes …..

Elle appuya sur le 7, la cabine s’ébranla, puis, elle ne sut trop comment, elle se retrouva dos plaqué contre la glace. Il lui bloquait les mains de chaque coté de la tête et il vint poser ses lèvres sur les siennes….. elle eut l’impression de perdre pied….. Elle s’abandonnait à son baiser quand brusquement l’ascenseur s’arrêta…..
C’était lui qui avait appuyé sur le bouton d’arrêt, elle protesta :
-« On ne peut pas…… quelqu’un peut avoir besoin de l’ascenseur »
-« Il attendra quelques instants que j’inspecte mon nouveau jouet, je vous interdis de bouger d’un pouce »
Ses yeux moqueurs la fixaient intensément, ses mains quittèrent les siennes, elle ferma les yeux et les sentit se poser sur son visage, en suivre les courbes et converger vers sa bouche, la dessiner …..Une des mains quitta ses lèvres pour continuer son chemin vers le menton, puis le cou pendant que l’index et le majeur de l’autre s’insinuaient dans sa bouche. La main qui se trouvait sur son cou le lui enserra, lui plaquant la tête contre la glace et elle gémit en sentant le va-et-vient dans sa bouche comme un prémice à la fellation qu’il ne manquerait pas de lui imposer elle en était certaine.
Ses doigts quittèrent sa bouche et ses 2 mains descendirent tout doucement vers ses hanches, soulevèrent le bas de sa robe et se posèrent sur ses fesses qu’elles palpèrent.
Elle ouvrit les yeux, il la regardait d’un air moqueur, il la ramena contre lui, lui dit de tourner la tête, et de se regarder .
Elle voyait sa robe relevée, ses fesses emprisonnées dans les mains du joueur, elle regarda mais ne dit rien.
Il la lâcha, remit l’ascenseur en route. Elle voulut rabattre sa robe, il l’arrêta d’un « Non, pas avant que je ne t’en donne l’autorisation, regarde comme elles sont belles, un peu trop pales à mon gout pour le moment …! »
Quand l’ascenseur s’arrêta, il rabattit sa robe et ils sortirent, ils s’arrêtèrent devant sa porte, elle prit la clé dans son sac, il se tenait derrière elle et pendant qu’elle cherchait à introduire la clé dans la serrure elle sentit ses mains s’emparer de ses seins, elle dut se concentrer pour arriver à ouvrir cette maudite porte craignant que sa voisine n’ait la bonne idée de sortir à ce moment précis.

La porte s’ouvrit, ils pénétrèrent dans l’appartement , il lui fit signe de fermer à clé et tout d’un coup….. elle ne s’y attendait pas car elle lui tournait le dos …… il lui banda les yeux avec un foulard qu’il devait avoir sorti de sa poche, il la plaqua contre la porte, ses mains bloquant les siennes et se colla contre elle. Elle sentit son corps épouser le sien, il avait du fléchir les genoux car il était plus grand qu’elle et à travers l’étoffe de son pantalon un renflement caractéristique se lovait entre ses fesses.
Il imprima un mouvement à son bassin et elle se laissa aller, ne résistant plus, elle tourna la tête, leurs lèvres se joignirent …. Elle était là à son entière merci, elle savait qu’il avait bien l’intention d’en profiter et c’était ce qu’elle voulait.

Au bout d’un moment, il se détacha de son corps en prenant au passage la télécommande, il fit passer la robe par-dessus sa tête et elle resta ainsi plaquée contre la porte ,seulement vêtue de sa guêpière et de ses bas, l’œuf vibrant toujours, les yeux dans le noir, offerte …..
Elle entendit un bruit, comme celui d’une fermeture éclair qu’on ouvre ….. quand elle sentit son contact sur ses fesses, elle réalisa qu’il avait ouvert son sac pour prendre le plug à l’endroit où elle lui avait montré l’avoir mis….. Il promena l’objet, la caressa avec pendant qu’elle sentait la vibration d’intensité variable dans sa chatte. Le plug se déplaçait à l’arrière en décrivant des figures aléatoires qui convergeaient vers son anus.
Elle mouillait à l’avant, elle sentit un doigt s’insinuer entre ses lèvres, plaquer bien à fond l’œuf vibrant, puis se diriger vers l’arrière pour humidifier l’endroit où d’un seul coup le plug pénétra. Elle resta là contre la porte, les yeux bandés, concentrée sur ces 2 orifices dans lesquels le joueur faisait bouger les jouets qu’elle avait achetés pour ses plaisirs solitaires…..
Au bout d’un certain temps, il la fit se retourner, il l’embrassa longuement puis elle sentit ses mains appuyer sur ses épaules pour lui intimer l’ordre de descendre elle ne voyait rien mais sentait sa bouche descendre peu à peu le long du torse de l’homme, elle réalisa que pendant qu’il l’avait laissée contre la porte seule avec l’œuf il s’était déshabillé ….
Ses lèvres rencontrèrent un téton elle le suça, sa langue le titilla, la pression des mains sur ses épaules diminua puis elle sentit les mains appuyer sur sa tête et lui imposer de descendre encore et encore….
Quand elle arriva au nombril, elle prit son sexe dans sa main droite et commença à le caresser pendant que de la gauche elle s’occupait de ses bourses . Ils restèrent ainsi pendant un certain temps, elle entendait la respiration du joueur s’accélérer.
La pression de ses mains augmenta, elle dut s’agenouiller, ses lèvres se retrouvèrent contre son gland pendant qu’elle entendait : « il me semble qu’un de tes 3 orifices est jaloux des autres » elle sentit qu’il pressait encore plus sur sa tête la poussant à ouvrir les lèvres, à le prendre dans sa bouche pendant qu’il faisait bouger sa tête au rythme qu’il lui imprimait…. Elle lui avait dit qu’elle refusait qu’on s’abandonne dans sa bouche, elle savait qu’il le respecterait, et ce fut le cas…..
Elle resta ainsi, complètement habitée par ce qu’il avait voulu mettre en elle, elle était à sa merci et savait d’avance quelle serait l’étape suivante, elle la craignait mais y aspirait au plus profond d’elle-même...
Il se dégagea, la fit se relever, puis elle se sentit soulevée et emportée dans ses bras jusque dans la chambre….
. Il la déposa devant son lit, défit son bandeau, l’a fit s’agenouiller , recommença à jouer avec les 2 toys, mais là, elle tourna la tête pour le regarder et lui sourit. Il la regarda intensément pendant qu’il lui disait : « tu n’es qu’une vilaine chipie, je t’ai promis une belle correction et tu vas la recevoir, et même tout de suite, je n’aime pas qu’on se moque de moi !! »
Il lui retira les 2 joujoux , la fit se cambrer puis ce fut le début de la punition qu’elle désirait mais appréhendait à la fois , alternance de caresses intimes devant, derrière et de claques au début très douces mais qui devinrent de plus en plus fortes et de plus en plus sonores .
Elle en venait à ne plus savoir ce qu’elle préférait des caresses ou des coups répétés qu’il dosait savamment de manière à ce que son postérieur qui virait au carmin ne présente pas de marque le lendemain.
Elle sentait ses fesses chauffer de plus en plus, elle mouillait, elle était trempée ….
Elle s’abattit, la tête contre les draps qu’elle mordit en gémissant , la pluie de coups s’arrêta , elle sentit qu’il se positionnait juste derrière elle , il mit son doigt au niveau de sa chatte ,afin d’y recueillir de quoi mouiller son anus déjà dilaté par le plug , ses mains prirent ses hanches , elle sentit son sexe s’introduire doucement à l’arrière , puis il commença à bouger en elle , de plus en plus vite, de plus en plus profond…
Une vague de chaleur inonda son ventre, encore et encore, elle poussa des petits gémissements qui s’achevèrent en un cri au moment où elle le sentit s’abandonner en elle………..
Par Ludivine - Publié dans : Récits
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 25 juillet 6 25 /07 /Juil 21:19

Posté le 25/04/2009 à 12:00 par motsetmaux




Elle l’avait rencontré un jour de désœuvrement alors qu’elle était passée comme elle le faisait souvent sur un certain site de rencontre.
Par discrétion professionnelle, ni l’un ni l’autre n’affichaient leur visage sur ce site, mais, sur une certaine messagerie bien connue de tous les internautes, ils n’hésitaient pas à mettre leur photo à l’intention des personnes qu’ils déterminaient
D’habitude elle échangeait quelques phrases et, vite la conversation s’étiolait, on se disait au revoir plus par politesse que par envie réelle de se reparler…. Mais là, avec cet inconnu, les échanges se faisaient spontanément, du tac au tac, empreints d’humour et de sensualité…..
Et c’est vrai qu’il l’avait sérieusement intéressée le bougre, il ne la laissait vraiment pas de marbre.
Elle avait bien tenté ce soir là de le faire passer sur la messagerie en question mais il éludait, prenant plaisir à la faire attendre, espérer ce moment où elle allait enfin le voir, et puis, se disait-elle « après tout, autant continuer ainsi, il est peut-être horrible ou peut-être est-ce que je ne lui plairai pas quand il me verra !! »C’est vrai qu’il lui avait dit qu’il était barbu et qu’elle les barbus elle n’aimait pas mais alors vraiment pas, mais quel démon la poussait à vouloir en savoir plus ??? ….
Après avoir discuté trois heures sans discontinuer, il la quitta mais elle obtint qu’ils passent dès le lendemain sur la fameuse messagerie.
Sa nuit fut ponctuée de rêves que la décence l’empêcha de raconter à ses collègues de travail quand elles lui dirent avec un sourire malicieux qu’elle avait l’air bien fatigué le lendemain matin…..
La journée lui parut très longue ….. « Sera-t-il là, comment est-il ??? » Tant de questions lui venaient à l’esprit !!!! « Calme-toi ma fille, tu n’es pas une collégienne, tu ne sais même pas à quoi il ressemble et si c’était le nouveau Landru ??? »

Elle rentra chez elle ce soir là, prit le temps de nourrir son chat, le pauvre elle l’avait bien délaissé la veille et il allait devoir s’y habituer si son interlocuteur continuait à lui faire cet effet et surtout si comme convenu ils se retrouvaient ce soir là.
Elle se força à diner, plutôt que se précipiter sur son ordinateur portable, puis, tranquillement, elle se dirigea vers sa chambre ….. «Cool , ma fille , si ça se trouve , il n’a pas l’intention d’être au rendez-vous, Bobonne est rentrée , ben oui , après tout ,tu ne sais pas s’il est marié , vous n’en avez même pas parlé , et puis de toute façon sur le net , c’est du virtuel , ma belle , faut-t’y faire , t’as toujours été naïve , blinde-toi , garde les pieds sur terre … !!!! »

Elle alluma son ordinateur, alla sur le site ….. Elle regarda les connectés, il était là …
.« Non, tu ne lui fais pas signe la première, je t’ai dit de garder les pieds sur terre !!!!! …… Oui, mais s’il ne m’envoie pas de message !!!... Dis s’il te plait, gentil barbu, allez, un petit effort, tu me mets au supplice …Tant pis, je me donne encore 5 minutes et c’est moi qui lui écris !! »
Elle allait faire le premier pas, quand, tout à coup, Euréka, il s’était décidé … Quelques échanges plus tard…… « Et si vous me la montriez cette fameuse barbe ??? Donnez –moi, votre adresse que je vous rentre (si j’ose dire) en contact »

Et voila, c’était le moment : « J’aime pas les barbus, d’abord ça pique…. !! »

Elle avait pris soin de mettre une photo d’elle portant une robe longue noire fendue vers le bas qui dévoilait ses jambes, elle connaissait l’effet de cette photo sur la gente masculine.
Elle attendit, et elle entendit la sonnette caractéristique de l’ordinateur lui disant qu’on la demandait sur le chat, et c’était lui.
Il prit un certain plaisir à la faire patienter encore, ce n’était pas de jeu, il la voyait et elle n’avait droit qu’à un bonhomme tout bleu, elle le lui écrivit, il lui répondit que c’était justement ce qu’il voulait, qu’elle le supplie .Mais c’est qu’il jouait avec elle !!!! Et elle rentra dans son jeu, elle le supplia,
-« Que faut-il donc que je fasse pour avoir le droit de vous voir ? »
-« Pas grand-chose ou plutôt si, me dire pourquoi vous tenez tellement à me voir »
-« Parce que …..vous me... troublez…. »
-« Intéressant, mais encore …. Décrivez ce que vous ressentez dans les moindres détails»
Et du coup, elle s’est livrée, elle a tout raconté, ses rêves de la nuit précédente, sa barbe qu’elle avait senti la frôler tout au long de son corps pendant que sa bouche descendait lentement, très lentement vers le bas …….. Elle s’était réveillée en sueur, elle avait mis sa main là où elle avait rêvé de ses lèvres ….. Elle était trempée…….
Il avait eu ce qu’il voulait, elle s’était rendue, le petit bonhomme bleu disparut laissant place à son visage ….
Elle en était certaine maintenant ....... Il l’avait réconciliée avec les barbus ….et pour un long moment…….
Par Ludivine - Publié dans : Récits
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 25 juillet 6 25 /07 /Juil 21:14

Posté le 25/04/2009 à 12:00 par motsetmaux









Il était là dans son coffret, attendant sagement son tour, ses copains du dessus étaient partis un à un, et maintenant, il se trouvait au dessus de la pile, son tour était venu ….. Mais pour qui était-il destiné ? Il allait bientôt le savoir …

Il se sentit soulevé par la main ferme du vendeur, il l’entendit essayer de fourguer son compère de droite qui avait plus de pixels….. « Mais qu’il se taise cet abruti, est-ce que j’t’en cause moi des pixels, elle a une voix douce la nana, puisqu’elle te dit qu’elle s’en fiche de la qualité des photos !! …. Tu ne vas quand même pas me refiler à un vieux bougon à la voix rocailleuse !!!! Ouf, elle n’a pas cédé….. !!! Et en plus elle est chou ma nouvelle proprio elle m’a habillé d’un étui en cuir noir, ça fait classe ….. !!!! »

Et ce fut le début de la cohabitation de notre gentil portable avec sa nouvelle maîtresse.
Les premières heures elle lui en fit vivre de toutes les couleurs , elle tapotait sur son petit ventre pour rentrer les noms de ses correspondants , oh que c’était bon , ça lui faisait plein de choses à notre petit copain , elle avait d’abord choisi pour son réveil une musique militaire , « mince alors pas cool ça !! », mais vite elle était passé à un air de salsa et lui il adorait .

Pour le moment en dehors des réveils, pas grand-chose d’excitant, il y avait bien son chenapan de chat qui avait la fâcheuse tendance à le confondre avec son joujou, mais elle veillait au grain, Nénette, et pour le moment il s’en sortait sans trop de bobo.

Quelque chose intriguait notre petit copain, ses potes, les portables des collègues de sa patronne, ils faisaient souvent vibrer la table et lui ça lui plaisait bien, il aimait bien la musique de sa sonnerie de téléphone mais elle résonnait peu et c’était surtout sa maman qui l’appelait « Quand même ça doit être super bon de vibrer de l’intérieur , allez Nénette, fais un effort, fais moi vibrer, bon, d’accord en ce moment du point de vue cœur pour toi c’est Waterloo Morne Plaine, il serait temps que tu te trouves un jules pour qu’il t’envoie des SMS !!!! ».

On aurait dit que notre petit fripon avait une influence sur sa Nénette, parce qu’un jour, un matin, plus précisément, il sentit qu’elle tripatouillait son menu, mais non … c’était pas possible !!! …. Et si ….. Elle l’avait bien mis en vibreur !!!! Bien obligé de savoir ce qu’elle avait écrit, la petite cochonne, elle avait bien caché son jeu ! « Je passe en mode vibreur, opérationnelle à 9h 05, faites-moi bien vibrer !! »
« Bon », se disait notre innocent portable, « Elle va me poser sur la table, et je vais pouvoir montrer aux autres que moi aussi je peux vibrer….. Mais…. Qu’est-ce qu’elle fait, ma parole, mais c’est qu’elle m’accroche à son pantalon et en plus là…. devant, mais c’est qu’on est bien là !!!! »

Et ils restèrent tous les 2, excités à attendre cette vibration depuis si longtemps désirée, il sentait son émoi, et quand la première vibration arriva il la sentit frémir et cela augmenta son propre plaisir. Mais elle ne pouvait pas regarder le SMS avant une bonne demi heure et il sentait son ventre se soulever, s’emballer à la pensée des mots contenus dans le SMS et il savait que dès qu’elle pourrait elle allait répondre lui tripoter son petit ventre pour taper sa réponse « STP ma belle surtout ne lésine pas sur le nombre de mots !! »

 Oh le bonheur qu’allait devenir cette cohabitation, et ce fut encore meilleur qu’il ne l’avait espéré car son SMS de réponse fut très long et très chaud …… et la journée se ponctua ainsi de vibrations et d’attentes vibrantes.

Quand elle quitta le travail, elle arrêta le vibreur, et la vie redevint plus calme, du moins pour lui parce que bien rangé dans le sac de sa Nénette il entendit plus tard certains petits cris certains gémissements qui lui firent penser qu’elle ne s’ennuyait pas sa copine.

Et la vie continua ainsi, ponctuée de ces ardents moments où elle était au travail et où ils vibraient en cœur, lui bien lové sur son ventre, attentif aux émois de sa Nénette.

Et puis un jour, allez savoir quelle idée lui passa par la tête, elle eut l’idée saugrenue de le placer non plus devant mais derrière, « Mais ça va pas, moi j’étais bien là, remarque, finalement, le creux des reins, c’est pas mal aussi parce qu’elle est bien cambrée Nénette et elle frémit aussi de ce côté !!!! »
Il prit donc la douce habitude de rester là contre ses reins et de vibrer en osmose avec elle au fil de ses journées de travail, se reposant le soir et le weekend pendant que Mademoiselle s’en donnait à cœur et à corps joie, mais pour un peu il aurait été jaloux notre copain !!!!

Quelle super vie fut la sienne, mais …..un certain après-midi, catastrophe, son destin bascula, Nénette, parce qu’on lui avait dit qu’elle s’était fait une tache sur son pantalon, alla vérifier…… aux WC, oubliant que son petit pote était placé dans son dos, elle baissa le dit pantalon pour regarder mais, peut être ne l’avait elle pas assez bien attaché….. Il se sentit glisser….. inexorablement ….. vers cette cuvette, heureusement propre et ils sursautèrent tous les 2 au bruit qu’il fit quand il en toucha le fond…….. L’eau s’infiltra dans l’étui en cuir puis au bout d’un temps qui lui parut une éternité il se sentit soulevé par la main tremblante de Nénette qui avait surmonté son sentiment de dégoût pour tenter de sauver son petit compagnon de la noyade.
Il eut un dernier sursaut, mais rien à faire il s’éteignit sous le regard désemparé de Nénette à qui il lança un dernier signe d’adieu.

Etait-ce la fin ? Elle essaya de le rallumer, sans succès, allait-elle abandonner ? Il lui restait un souffle de vie mais s’en doutait-elle ? Il entendit sa voix chavirée dire à ses collègues sa mésaventure et là après une explosion de rire, « mais, la garce c’est qu’elle est de la partie !! », elles s’y mirent toutes, on le déshabilla, lui retira son étui en cuir qui sans aucun doute avait du lui éviter l’électrocution fatale, ouf, il n’y avait que peu d’eau , elle l’essuya précautionneusement pendant qu’une de ses collègues emportait son malheureux étui pour le bombarder de désinfectant , et Nénette se fit chirurgien , lui ouvrit le ventre , elle sortit sa batterie , sa carte puce , elle sécha le tout ,y passa une lingette désinfectante , et le laissa ainsi offert impudique sur son bureau aux yeux des passants hilares.

Quelle honte, mais en même temps quelle horrible attente pour lui mais surtout pour elle qui revenait le voir pour le veiller dans son coma. Il sentit revenir ses forces, mais est-ce que ce serait suffisant pour qu’il récupère toutes ses fonctions, il n’en savait rien et il avait hâte de le savoir.

Le moment arriva, tendrement, petit à petit elle le remonta, ils retinrent leur souffle tous les deux et….. Miracle, il sentit la vie revenir, il se ralluma , jamais il n’avait autant aimé la sensation de ses doigts sur son petit ventre pianotant le code PIN, et quel bonheur de vibrer de nouveau, c’était reparti et sûr que là ça lui avait servi de leçon à Nénette, jamais plus elle ne le mettrait en danger comme elle l’avait fait , elle l’avait ressuscité, elle l’avait sauvé de la noyade , mon dieu qu’il l’aimait sa Nénette et il était certain que c’était réciproque , elle le lui avait d’ailleurs prouvé en lui déposant un léger baiser sur son ventre quand elle avait vu qu’il revenait à la vie et il frémit intensément ……. car évidemment son premier SMS fut pour son amant et, devinez un peu la réponse qu’elle reçut …… « Petite cochonne, tu mouilles ton vibreur maintenant !!!!!
»
Par Ludivine - Publié dans : Récits
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Derniers Commentaires

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

Créer un Blog

Recherche

 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés