Ludivine

  

 rose partition

 

 

Une femme-enfant , une gentille chipie qui

aime être dominée sexuellement et recevoir des fessées.

Je ne prétends pas être la meilleure des soumises, loin de là , mais je le suis à ma manière.

Juste moi, tout simplement .......

Récits

Samedi 25 juillet 6 25 /07 /Juil 21:51

Posté le 29/04/2009 à 12:00 par motsetmaux







Je suis restée peu de temps avec mon Maître (oups, incapable en ce qui le concerne de retirer la majuscule, pourtant pas de sanction à l’horizon, il faut croire que lui pour moi c’était un vrai, sourire….)
Mais cette courte période restera pour moi un très beau souvenir, fait de découvertes et d’anecdotes que j’ai souvent plaisir à raconter, mais pas à n’importe qui, quand même !!!

Ce jour là donc il m’avait donné rendez-vous au Trocadéro.
- « Vers 21h, pas de sous-vêtements, robe courte, je t’emmène diner dehors et tu y vas à pieds ce n’est pas loin de chez toi, ça ne te fera pas de mal de marcher »
Pendant 1 heure je réfléchis à ma tenue car j’avais une idée en tête…. Et ce fut le déclic, la petite robe violette décolletée à bretelle conviendrait à merveille, avec mon châle dans les mêmes tons ce serait parfait, et je souriais aux anges en imaginant sa réaction devant la petite mise en scène que je lui préparais pour le moment de notre rencontre.

Il me faut normalement au plus 10 minutes pour parvenir au Trocadéro , et moi qui ne suis pas un modèle d’exactitude , je rajoutai 3 minutes pour la descente des 5 étages de mon escalier, dur, dur, d’habiter en étage élevé quand on vous refait intégralement l’ascenseur.
Ça devrait le faire....

Après avoir vérifié et fait en sorte que mon intimité soit bien lisse (représailles assurées si ce n’était pas le cas), je pris un bain, toujours pensant à mon petit plan.

Pas bien méchant mon plan, juste envie de l’exciter un peu, vous allez vite comprendre...

Quelques jours auparavant, je l’avais senti intéressé dans sa réponse à un post où j’évoquais l’un de mes jouets, dans la rubrique sex-toy d’un forum qui venait de se créer mais qui s’est éteint rapidement par l’abandon de ses créateurs (au bout d’un mois j’avais 3 fois plus de messages à mon actif que ceux-ci qui avaient manifestement fini par confier leur bébé, ce forum, aux objets perdus…..)
Quel dommage d’abandonner ce qu’on a mis son cœur à créer ! Pour le moment mon bébé à moi se porte à merveille lui, je le nourris bien (mon blog, pas mon chat, faut que vous me suiviez quand même !!!!)

Mais revenons à mon petit plan (je vous l’ai dit, il faut me suivre…!)

Le fameux jouet , il s’agit d’un petit œuf vibrant muni à sa base d’une barre en plastique incurvée qui permet de le maintenir en bonne et due place par le slip que vous portez et qui est actionné par une télécommande à fil (ce fut mon premier achat , je voulais déjà tester avec fil avant d’acheter sans fil), j’en ai d’ailleurs déjà parlé dans mon récit « un rendez-vous très particulier » , eh oui , la petite coquine de l’histoire c’est bien moi mais à l’époque où j’écrivis ce récit je parlais à la troisième personne , par pudeur, comme si c’était une autre , je ne me prends pas pour Monsieur Alain Delon, moi !!!!

Comme je vous l’ai dit, normalement, la barre en plastique incurvée maintient l’œuf en place, et la télécommande présente à son dos une pince qui permet normalement de l’accrocher quelque part sur vous.

Pour l’accrocher, je ne me faisais pas de souci, le décolleté de la robe ferait parfaitement l’affaire et personne ne se rendrait compte de rien puisque le châle, négligemment (tu parles !!) croisé sur la poitrine cacherait cet objet aux yeux des passants qui me croiseraient.
Pour la barre, je me disais, que ça ne devrait pas être trop difficile, je n’aurais qu’à marcher les cuisses bien serrées.

J’avais calculé 10 minutes + 3 pour les escaliers, j’en rajoutai 5 au cas où Andy mon chat me joue un tour à sa façon, il n’en fut rien donc j’étais dans les temps, toute fière, moi qui suis toujours en retard de quelques minutes, pour une fois je serais pile à l’heure, soirée idyllique en prévision.

Je vous passe la descente des 5 étages juchée sur mes sandales à hauts talons avec l’instrument en place (vous avez déjà essayé de descendre un escalier en serrant les cuisses ??)
J’arrivai cependant à réaliser cela en 3 minutes, m’arrêtant au départ toutes les 2 marches pour remettre l’objet qui s'échappait de son logement, pour finir par me résoudre à descendre le reste de l’escalier une main calant l’œuf récalcitrant, priant le ciel que personne n’ait l’idée saugrenue de prendre l’escalier à ce moment là et écroulée de rire devant le ridicule de la situation où mon esprit machiavélique m’avait placée.

Ouf, j’étais toujours bien dans mon timing !!!

Dans la rue, je déchantais , facile de croire qu’on peut jouer les mannequins sans avoir pris de cours de déambulage, cuisses serrées ...
Je ne compte pas les nombreux arrêts que je dus faire, les gestes que je voulais naturels en planquant ma main qui remettait mon capricieux en place derrière mon sac à main. Je ne suis pas exhibitionniste en public, je m’arrêtais en simulant la contemplation la porte d’entrée d’un immeuble, le temps que celui ou celle qui me croisait s’éloigne et je procédais au replacement sous couvert de mon sac.
Au départ si j’avais 5 minutes de rab je mis non les 10 minutes prévues mais bien 20 pour arriver devant l’esplanade du Trocadéro où je cherchai désespérément des yeux mon Maître sans le trouver, j’avais si vous avez bien suivi 5 minutes de retard, horreur !!!

« Pauvre folle, toi et tes idées saugrenues, tu as gagné, il est parti pour te punir, ça t’apprendra !! »
Je pris mon portable et fébrilement lui adressai un sms : « Où êtes-vous ??? »
La réponse vint immédiatement par sms : « tu descends les escaliers sur la droite au bout de l’esplanade je suis sur un banc face à la tour Eiffel »

Encore des pas à faire avec cet engin de malheur coincé tant bien que mal là où vous savez et en plus il m’annonçait des escaliers, dans ma tête ça travaillait à toute vitesse , je savais qu’il allait relever mon retard !!
Je me précipitais , c’est un grand mot vu les difficultés à me déplacer que je vous ai déjà relatées et descendis le plus naturellement possible les quelques marches qui me menaient à mon Maître qui m’attendait tranquillement installé sur son banc plongé dans le spectacle de notre tour éclairée de bleu en l’honneur de l’Europe .

Quand je parvins à ses côtés, il tourna la tête , me regarda froidement et m’accueillit d’un glacial : « tu es en retard !!»
Je restai debout et l’air décontractée, lui répondis : « mais vous aviez dit vers 21heures et pas à 21 heures »
J’attendis en tremblant intérieurement sa réaction (mon Maître avait de l’humour certes, mais pas certain que ma remarque soit à son gout….)
Sa réponse fut « Et à combien estimes-tu en pourcentage de temps la différence entre vers 21 heures et à 21 heures
Comme je ne répondais pas me disant que j’avais déjà certainement un peu forcé la dose , il continua : « Si on estime à 10% cette différence et qu’il y a 60 minutes dans 1 heure nous allons dire que tu as 6 minutes d’écart possible en plus ou en moins » (Vous avez vu , il sait bien compter , mon Maître !!)

Si vous comptez les 30 secondes de mon sms pour lui demander où il était, j’étais pile dans les temps, OUF!!
Mon Maître, qui était juste, clôt alors le sujet en me disant que pour cette fois ci il passait l’éponge car il estimait avoir commis l’erreur de ne pas mesurer plus ses instructions me promettant que dorénavant les rendez-vous seraient à un horaire précis sans débattement autorisé et il me dit de venir m’asseoir à ses côtés, ce que je fis évidemment en prenant soin d’écarter légèrement les genoux comme toute bonne soumise se doit de le faire.

Nous étions en train de deviser sur la beauté de la tour Eiffel , mon œuf toujours bien au chaud, quand il se tourna vers moi et je sentis sa main se glisser entre mes cuisses, pour finir par rencontrer la barre de maintien (si on veut mais il faut un slip pour ça !!!) de mon coco vibrant qui pour le moment contrairement à moi ne vibrait pas encore.

Il s’interrompit et, d’une voix dure , me dit « Qu’est ce que c’est que ça ? »
Mal à l’aise devant son ton, je lui répondis d’une voix blanche : « mon œuf vibrant, je pensais que ça vous ferait plaisir , j’ai la télécommande à votre disposition, là » , en décroisant mon châle dans l’espoir de l’amadouer à la vue de la télécommande installée entre mes seins.

Je ne peux vous décrire mon désarroi quand il me répondit tout aussi durement : « est-ce que je t’ai demandé quelque chose à ce propos ? »
Je lui répondis , encore plus mal « Non »
-« NON, QUI ??? »
-« Non, Maître »
-« Retire-moi ça tout de suite »

Tout mon beau plan s’était effondré, je me sentais plus bas que terre, et dire que j’avais tant enduré pour arriver jusqu’à lui ainsi parée !!!
Malheureuse, mais soumise je lui répondis « Oui, Maître » , en retirant mon coco qui décidément ne vibrerait pas ce soir, tirant sur le fil de la télécommande.

Je rangeai le joujou interdit dans mon sac en m’engueulant intérieurement pour mon initiative malheureuse…

Mon Maître prit alors quelque chose dans la poche arrière de son jeans, me dit d’écarter un peu plus les cuisses, et je sentis l’objet s’approcher de mon entrejambe.
C’était quelque chose de doux, de forme ovale, mais qui me sembla énorme et très rigide lorsqu’il l’appuya à l’entrée de ma fente.
-« Qu’est-ce que c’est ? », osais-je demander, un peu contractée quand même.
-« Ne pose pas de question, laisse toi faire »

Et il plaça l’objet en le poussant au fond de mon intimité, je sentis bien que le passage se faisait un peu difficilement mais ne dis rien, l’orage était passé…

Il me fit me lever, nous descendîmes les marches nombreuses jusqu’à l’avenue où il avait garé sa voiture, finalement j’étais bien contente que mon coco vibrant soit dans mon sac, je ne sais comment j’aurais pu y arriver à l’allure où mon compagnon marchait car je ne suis pas grande mais lui, si !!!!

Nous montâmes en voiture et il m’emmena dans un petit restaurant dans le quartier Monge où nous devisâmes comme un couple normal , j’étais bien , je ne sentais même plus à cet objet dont je me demandais bien ce que ça pouvait être.

A la sortie du resto, en marchant vers la voiture garée tout près , il me demanda: « tu n’es pas gênée dans ta marche? » et je dus lui avouer qu’en fait je ne sentais plus l’objet (dans ma tête , j’étais persuadée que c’était quelque chose qui devait se dégonfler et même être résorbable à la vitesse grand V , même si ça me semblait peu plausible , c’était un fait , je ne le sentais plus !!)

J’étais cependant un peu inquiète, qu’avait-il donc placé dans mon intimité et comment allait-il le récupérer ???

La réponse vint très vite après avoir remonté mes 5 étages à pieds suivie de près par mon Maître qui au passage me flattait les fesses nues de ses mains.

Il s’installa sur le divan, me fit me coucher en travers de ses genoux pour m’administrer une fessée qui me laissa pantelante .
Puis il me demanda de m’agenouiller devant le divan , j’appuyai ma tète sur le siège devant moi , m’attendant à ce que sa cravache remplace sa main , mais en fait , c’était toujours sa main qui s’occupait de moi , je la sentis me caresser les fesses puis se diriger vers mon intimité (je dois dire que j’avais complètement oublié l’objet mystérieux qu’il y avait introduit avec une certaine difficulté).

Je commençai à me crisper quand je sentis qu’il était en train de fourrager (je n’ai pas d’autre mot qui me vienne à l’esprit) et je réalisai alors qu’il était en train de vouloir retirer l’objet de son emplacement.

Au bout d’un temps qui me sembla interminable et où je commençai à me faire un film, m’imaginant atterrissant aux urgences pour annoncer à l’interne de service qu’il fallait m’extraire cet occupant gênant, il finit par me dire d’une voix un peu ennuyée « je n’y arrive pas, ne t’inquiète pas, s’il le faut je te mets un spéculum ».

Un spéculum, pensais-je, non, mais ça va pas, je suis étroite moi, et j’ai horreur de ces engins de malheur, quand je vais chez mon gynéco, il se marre toujours parce que je réclame un spéculum de vierge (et oui il y a plusieurs tailles, peut-être pas dans les plastiques jetables, mais dans les métalliques, au moins vous aurez appris quelque chose aujourd’hui !!!).

Je le suppliai de me laisser tenter d’évacuer l’objet aux toilettes.
Il me dit « Va, si tu y tiens, mais ça m’étonnerais que tu y arrives »

Vous parlez d’un encouragement, pff !!
Et la vaillante Ludivine se dirigea vers les toilettes en priant le ciel (ça fait la deuxième fois dans la soirée, je vais vraiment finir par me faire bonne sœur…. une bonne sœur soumise ça existe ??)

Je m’assis sur le trône (joli mot quand même), je mourrais aussi d’envie de soulager ma vessie, ce que je fis, quand soudain, je sentis l’entrée de mon intimité s’ouvrir et l’objet toujours aussi gros qu’au moment de son introduction, se fraya un passage pour finir par tomber en heurtant violemment le fond de la cuvette.
Le choc sur la porcelaine fit un bruit très fort dans le silence de la nuit et j’entendis alors un éclat de rire tonitruant en provenance du salon, c’était évidemment mon Maître hilare qui ne s’attendait nullement à ce que j’expulse ce qui en fait était un œuf en obsidienne de belle taille.

Il fallait maintenant le récupérer et je n’osais tirer la chasse de peur qu’il soit entrainé et bouche la canalisation (vous me voyez dire, l’air candide, monsieur le plombier, c’est mon chat, il a du jeter l’œuf dans les toilettes et tirer la chasse pour masquer son forfait !!!)

Je ne suis pas uro du tout, je vous le rappelle, décidément j’en voyais de toutes les couleurs cette soirée là !!

J’eus quelques frayeurs quand, un tantinet dégoutée ,même si c’était ma propre urine, je dus récupérer l’œuf au fond de la cuvette (je dois concéder à mon tortionnaire qu’il me proposa de le faire, ce que je refusai tout net), car cet œuf était non seulement de belle taille mais aussi d’un bon poids et après l’avoir récupéré , je tirai la chasse en espérant n’avoir pas cassé la porcelaine de la cuvette , il n’y eut pas de fuite et une fois vérifié,le fond de la cuvette s'avéra avoir supporté sans dommage le choc d’un objet non prévu dans le mode d’emploi des WC.

Je lavai l’œuf, le séchai et vins le rendre à son propriétaire en lui disant : « La prochaine fois prévenez moi que c’est aussi lourd , parce que je protégerais le fond de ma cuvette avec une éponge !!! »
Par Ludivine - Publié dans : Récits
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Samedi 25 juillet 6 25 /07 /Juil 21:48

Posté le 29/04/2009 à 12:00 par motsetmaux





J’ai une amie, qui tout comme moi adore jouer les chipies et qui se reconnaitra, j’en suis certaine, dont la petiote est un amour mais déjà, à 2 ans et demi, a montré l’été dernier un excellent potentiel .

Notre bout de chou trouvant peut être que la nuit était claire et qu’un petit tour en voiture était tout à fait de circonstances, décida un beau soir qu’une pile était certainement le meilleur des desserts.
C’est ainsi que notre coquine mit la dite pile dans sa bouche, ses parents fort heureusement s’en aperçurent et tentèrent de la lui faire recracher, mais rien n’y fit, ils n’arrivèrent pas à récupérer la fameuse pile.
Et ce fut l’embarquement immédiat pour les urgences de l’hôpital le plus proche, dans un état de tension pour les parents qui s’affolaient de plus en plus en surveillant avec angoisse leur puce qui donnait des signes manifestes de difficultés respiratoires….

Evidemment on lui fit une radio, pour rechercher l’objet de sa gourmandise et, oh surprise, aucune pile décelable, ni dans l’estomac de notre poussin, ni dans sa couche.

Rassurés les parents épuisés par une nuit blanche (vous connaissez le temps que prend une petite visite aux urgences…) rentrèrent avec la petite vers leur demeure où la première chose qu’ils trouvèrent en cherchant un peu quand même fut l’objet du délit.

La coquine leur avait joué la comédie de l’étouffement (à 2 ans et ½ je vous le rappelle), trop contente d’être l’objet de toutes leurs attentions.

Ce qui prouve que nous autres les chipies n’avons vraiment pas à nous en faire, la relève est assurée ….
Par Ludivine - Publié dans : Récits
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Samedi 25 juillet 6 25 /07 /Juil 21:46

Posté le 28/04/2009 à 12:00 par motsetmaux




Il est rentré dans ma vie il y a près de 4 ans et entre nous c’est fusionnel.

C’est un coquin, un charmeur, un tantinet jaloux et possessif, parfois protecteur, souvent rebelle, il m’en a fait voir de toutes les couleurs.
Indépendant, il sait pourtant m’apporter son amour, par ses câlins, sa tendresse, mais sa douceur peut s’effacer devant ses accès de folie, il m’arrive parfois d’en garder les traces, car c’est jusqu’au sang qu’il me marque …

Ce chenapan, ce garnement, mon mâle à moi, c’est Andy, mon chat.

Comme je l’ai dit précédemment je n’ai absolument aucune tendance à la zoophilie .
Je sais déjà ce que vous allez penser : encore une gâteuse, son chat c’est le plus beau, le plus malin, le plus….. !!!!
C’est vrai qu’il est beau mais je ne suis pas la seule à le dire, d’ailleurs vous pouvez juger sur pièce, plus haut, c’est mon petit père qui vous regarde…..

Andy, c’est tout un poème, d’ailleurs je ne l’appelle ainsi que lorsqu’il est en train de faire une bêtise, sinon c’est moumoune, yéyette, nénette, choupchoupka, le pauvre il doit s’y perdre mais il doit être super intelligent car il répond toujours, sourire.

Il y a près de 4 ans qu’il partage ma vie, j’ai décidé de prendre un angora turc car on m’avait décrit la race comme des « chats-chiens » pas destructeurs d’intérieurs, argument de poids vu que je m’installais dans mon nouvel appartement.
Pas destructeur, je suis d’accord mais démonteur je vous l’affirme, en fait c’est un bricoleur ou plutôt un apprenti bricoleur qui en est encore au stade du démontage, pour le remontage, il faudra peut-être que je lui trouve un stage ….

Tout ce qu’il trouve comme élément rapporté (les caches des vis des meubles ou des sanitaires, les boutons du four, les stops pour les portes qui sont fait de 3 morceaux accolés, tout cela est pour lui source d’un travail acharné de démontage, et au départ, en bon chat-chien il me ramenait fièrement ses trophées aux pieds , à moi de retrouver l’endroit de leur provenance respective…

Un matin, vers 5 heures du matin, j’entendis clairement un bruit dans la cuisine, mon bricolo avait mis en marche en montant dessus le lave-vaisselle… en oubliant d’y mettre le savon, pff !!

Bref lorsqu’on rentre dans ma cuisine, on se demande en regardant mon four si l’on n’est pas dans un magasin où l’on planque les boutons de peur qu’on les fauche car j’ai pris le parti de les ranger dans un tiroir, à force ils n’auraient pas résisté !!

Evidemment on y trouve le traditionnel système de blocage de l’ouverture du frigo pour bébé, car rien ne lui plait plus que d’ouvrir la porte, sans penser à la refermer après…

En parlant de fauche, il flashe sur les montres et ne peut s’empêcher de tenter de piquer toute montre posée sur une table.

Bricolo et pickpocket, belles aptitudes… et en plus athlète confirmé !!
Il adore, surtout vers 2 heures du matin, prendre l’appartement pour un terrain de cross en jouant parfois même à saute-mouton sur la tête de sa maîtresse s’il la trouve sur son passage, c’est la tornade grise !!
Il s’est un peu assagi quand même car dans sa première année j’avais droit au plongeon du haut de la porte de la salle de bains dans la baignoire vide (il déteste l’eau, je n’en ferai jamais un nageur, snif)


Bricolo, pickpocket, athlète, un beau chenapan de 7 kilos quand même (et j’ai du pot certains de ses potes les angoras atteignent 13 kilos !!)

Mais ce garnement est surtout un peu jaloux de sa Ludivine, non qu’il s’en prenne directement à mes soupirants, il est assez intelligent pour s’en faire des copains, pas fou mon titi, il leur joue son numéro de charme et ça fonctionne en général …

Sa jalousie se manifeste autrement :
Il allait avoir 1 an, j’avais acquis depuis 4 mois un ordinateur portable, une fois refermé, souvent il s’installait dessus, mais il ne semblait pas lui en vouloir donc je ne me méfiais plus…
Erreur tragique , car mon diablotin , pris d’un accès de jalousie pour cet adversaire qui monopolisait sa maîtresse depuis trop longtemps ce jour là, profita que je m’étais éloignée de quelques mètres de mon portable pour sauter à pattes jointes et réceptionner ses 7 kilos sur mon pauvre clavier dont il explosa les touches sous mes yeux ébahis puis ravi de son exploit il vint tout fier me rapporter une des touches qu’il tenait dans sa gueule .

Il ne faut pas frapper un chat qu’ils disent, ce fut l’occasion de la seule vraie volée qu’il reçut de ma part, mais chut, c’est un secret, vous n’allez quand même pas me dénoncer à la SPA !!

J’ai dit qu’il charme mes soupirants, euh… je devrais dire pratiquement tous sauf un, celui-ci n’avait jamais eu d’animaux et n’aimait pas trop les chats.
Mon chat n’aime pas les portes fermées, il me suit partout de la chambre aux WC, pas vraiment pot de colle quand même parce qu’il n’aime pas rester trop longtemps dans mes bras, il se met à mes pieds ou sur la table à côté de moi quand je suis devant mon PC.
Bref ce jour là c’était la première fois où ce monsieur que j’avais rencontré sur un site vanille bien connu avait décidé de passer à l’action, mais « oh non, pas devant le chat, ça me gène, je vais en perdre mes moyens », conciliante, mais l’ayant prévenu que Bébé chat risquait fort de rythmer nos ébats par ses grattages à la porte (je vous rappelle que je venais de m’installer et que j’avais pris un chat « non destructeur » !!) je fermai donc la porte et nous réussîmes finalement à conclure, dans un concert de miaulements et de grattements, malgré une Ludivine hypertendue à l’idée de l’état du verso de sa porte.

Comme nous nous reposions et que mon pépère continuait à montrer sa désapprobation à ce crime de lèse-Andy, j’obtins du monsieur de rouvrir la porte interdite et le sieur Andy s’installa posément sur la table, satisfait d’avoir obtenu gain de cause et dédaigneusement nous tourna le dos.
Le monsieur rasséréné et sentant revenir son courage voulut remettre le couvert, il avait même complètement oublié l’objet de ses angoisses et s’activait au dessus de moi quand, d’un coup, je le sentis se crisper en même temps que son visage se figeait dans une expression de stupeur telle que je m’inquiétai de sa santé, et sa réponse fut : « Ton chat est en train de me bouffer les pieds !! »
Et Ludivine d’éclater de rire en pensant à son coquin en train de mordiller les pieds de celui qui la surplombait amenant le pauvre à la perte de tous ses moyens !!! Ce fut la fin de notre histoire d’ailleurs…...

Ce fut l’exception qui confirme la règle, mon chat respecte toujours les hommes qui lui laissent la porte ouverte, il joue les voyeurs pendant quelques instants mais il se détourne vite en bon habitué, puis quand le calme est revenu , il lui arrive fréquemment de s’installer à ma tête, d’un air de dire « n’oublie pas que tu m’appartiens »et je dirais qu’après le départ du monsieur il est beaucoup plus câlin voire même pot de glue !!

Il a beau jouer les blasés, j’ai eu la preuve que ça l’émoustille, il avait été castré depuis peu (ne me traitez pas de tortionnaire ou de domina, c’est le véto qui l’a fait , pas moi !!!) j’étais seule un jour avec lui après le départ de mon ami , quand toujours assise devant mon pc , je sentis nettement le regard de mon titi dans mon dos , je l’avais entendu se lécher , je me retournai et oh surprise, son petit kiki était sorti et tout rouge , et mon bébé pris en flagrant délit de masturbation prit une expression penaude qui me fit vraiment penser à celle d’un enfant pris en faute . L’objet du délit disparut alors presque instantanément.
Attendrie, je me levai pour caresser doucement son ventre en lui parlant doucement pour lui montrer que je n’étais pas offusquée d’une telle impudeur.

Jamais la chose ne se reproduisit en tout cas devant moi, il sait se tenir quand même !!


Andy est bricolo, pickpocket, athlète de haut niveau, voyeur, mais aussi révélateur et killer de domis allergiques.
Trois hommes peuvent d’ailleurs en témoigner.
Mon premier fesseur se savait allergique mais il adore les chats, quand il partait de chez moi il bouffait (selon ses propres mots) des poils pendant une semaine d’affilée.
Un autre dut partir comme un voleur après 2 heures passées à nos côtés, en proie à une crise d’asthme monumentale.
Enfin, un domi avec qui j’avais et j’ai toujours d’ailleurs un très bon contact, après s’être assis quelques instants sur mon lit n’eut pas le temps de m’administrer la fessée tant attendue car il fut pris soudain de démangeaisons intenses aux jambes qui ne cédèrent qu’après injection de corticoïdes, il ne se savait pas allergique aux poils de chats et Andy fit alors la preuve de son efficacité en tant que test, ce cher homme a depuis entamé une cure de désensibilisation et pense fermement affronter de nouveau mon prédateur.

Prédateur, j’ai bien dit ce mot, mon chat est un super chasseur, et très doué de surcroit, la seule chauve-souris qui se soit introduite une belle nuit de juillet 2008 dans un appartement parisien, le mien…. a bien failli y laisser sa peau.
Attirée dans le salon par un bruit de couinements inconnus , je tombai sur mon chasseur tenant en bouche une chauve-souris qui se débattait en couinant , je dus secouer mon bébé pour qu’il lâche prise et le virer de la pièce, puis il me fallut plus d’une heure pour faire partir l’animal blessé et effrayé qui volait, s’accrochant aux rideaux , se heurtant aux murs , améliorant la décoration de gouttes de sang parsemées un peu partout , présages pour moi d’une heure perdue de plus en nettoyage ….
Le véto lorsque je l’en informai me dit alors : « quel dommage qu’il ne l’ait pas tuée, je n’en ai encore jamais disséqué ».

Et voila, je pense vous en avoir dit assez pour que vous puissiez comprendre pourquoi mon Andy c’est tout un poème…..
Par Ludivine - Publié dans : Récits
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Samedi 25 juillet 6 25 /07 /Juil 21:42

 

Posté le 25/04/2009 à 12:00 par motsetmaux





Le jour était arrivé, sa décision était prise, elle ne se déroberait pas ….

Depuis des années elle était attirée par les relations de domination –soumission .
Oh, ça remontait à très loin, des années auparavant, le jour où elle avait vu « Histoire d’O »,ce qui l’avait attirée c’était cette atmosphère irréelle , cet abandon total d’O , si certaines choses l’horrifiaient , d’autres l’avaient laissée  songeuse , et dans ses rêves, les jours suivants O prenait son image ….
Souvent depuis ce jour lointain, elle rêvait ainsi et se réveillait, troublée , elle portait sa main vers ses seins , se caressait doucement puis descendait , son doigt passait doucement sur sa chatte déjà trempée et elle ne pouvait résister à s’y glisser , elle gémissait , elle aurait tant voulu revenir en arrière dans ce rêve où ses fantasmes s’exprimaient…..

Des amants elle en avait qui l’amenaient souvent très loin dans le plaisir, mais jamais aucun d’eux n’avait montré de tendance Dom  telle qu’elle en rêvait .

Dernièrement elle avait acheté le livre « Histoire d’O » , elle l’avait lu et devait convenir que à l’exception du « retour à Roissy » dont l’auteur selon elle aurait pu se dispenser, le reste du livre était nettement supérieur au film .

Elle était inscrite sur un site de rencontres et comme un fait exprès , alors que son annonce ne reflétait rien de ses fantasmes , ses visiteurs semblaient être des doms et elle-même était attirée comme un aimant vers leurs annonces .

Il fallait se rendre à l’évidence , ce n’était plus qu’un vague fantasme , c’était devenu une aspiration, un désir de pénétrer dans ce monde auquel elle rêvait depuis si longtemps , elle avait si peu de choses à faire …. Un simple clic, et la porte s’ouvrirait …. Et elle saurait ….

Que désirait-elle au juste, elle n’en savait rien, mais elle avait cliqué …..sur une annonce qui la tentait.

Une discussion s’était engagée , d’abord par mail, il lui avait adressé sa photo, ils étaient passés sur MSN, ils avaient beaucoup discuté .

Il lui avait dit de bien réfléchir , lui avait demandé de lui écrire une lettre de motivation .

Si elle désirait être sa soumise, il lui faudrait se raser le sexe, venir à lui dans la tenue qu’il exigerait, s’agenouiller devant lui et lui lire cette lettre ….. il lui donna jusqu’au soir 20 heures précises pour lui donner sa réponse.

Elle ne réfléchit pas bien longtemps pendant qu’il lui parlait sur MSN, sa décision était prise , elle allait accepter mais elle ne le lui dit pas sur le champ, elle avait tant de choses importantes à faire .

Se raser ….. mais …. Elle avait rendez-vous chez son gynéco qui la suivait depuis près de 15 ans …. Qu’ allait-il penser ?… Et après tout, c’était la mode …. Elle se rasa ….
Elle se regarda dans la glace, finalement elle s’y ferait …. Et son gynéco aussi…

Puis ce fut le tour de cette lettre, elle mit une heure à la concocter, dur labeur, elle la lut … facile, toute seule devant son ordi …. Mais chez lui, comment s’en sortirait-elle?
Elle savait qu’il était D.R.H de son métier, bel examen de passage en perspective .

Elle imprima sa lettre, elle était prête, cette porte, à 20 heures ce soir, elle allait l’ouvrir …

Il était 19h50 , elle prit son temps , dans 10 minutes il lui fallait le contacter, elle ouvrit MSN, il était 19h55, il apparaissait on line, elle attendit …. 20 heures , elle allait lui faire signe …mais quel démon la poussa à attendre ? …1 minute , 2, 3….. à 20h05 elle lui adressa un message instantané :
-« Bonsoir »
-« Vous êtes en retard , j’ai horreur d’attendre »
- « C’est que … »
-« Allez au but , c’est oui ou c’est non ? »
-« C’est oui »
-«Oui QUI ?? »
-« Oui, Maître »
-« C’est mieux , vous avez préparé votre lettre ? »
-« C’est fait , et je me suis rasée comme vous me l’avez ordonné »
-« Parfait , mais vous m’avez mis en colère , vous savez pourquoi ? »
-« Oui »
-« Oui QUI ? »
-« Oui Maître », là elle s’amusait mais elle savait que face à lui elle serait beaucoup moins narquoise « Je vous prie de bien vouloir m’excuser de mon retard à vous donner ma réponse »
-« Vous serez punie pour cette grave indélicatesse, quand vous m’aurez lu votre lettre, vous recevrez la cravache pour vous apprendre l’exactitude Mademoiselle »
-« Non, pas la cravache… je n’ai jamais…. !!! »
-« Je suis le seul à décider de ce que vous devez recevoir, vous voulez être ma soumise, quand vous m’aurez lu votre lettre ce sera le cas, et votre première punition sera à la cravache, si vous n’êtes pas prête , autant tout arrêter ! »
-« Non, Maître, il en sera fait selon votre bon vouloir ».

Le lendemain était un samedi, il lui donna ses consignes.
Il lui dit qu’il voulait qu’elle vienne chez lui le lendemain matin, munie de sa lettre, il l’autorisait à prendre une robe mais uniquement dans son sac, il lui demanda ce qu’elle avait comme lingerie et lui ordonna de se présenter à lui simplement vêtue d’une guêpière dont les porte-jarretelles tiendraient ses bas, en talons hauts, simplement revêtue de son manteau.
Elle l’avait supplié de la laisser mettre un string, pauvre petit bout d’étoffe mais qui lui aurait semblé si protecteur, il refusa tout net puis la laissa seule avec ses pensées, après qu’il lui eut donné son adresse et qu’ils aient échangé leurs numéros de portable.

Elle ne dormit pas ou si peu, elle ne rêvait plus là, elle si pudique, elle allait devoir marcher presque nue dans le quartier de la Concorde à la rencontre de l’Inconnu …..
Dans sa tête les pensées affluaient , elle était devenue folle, il fallait qu’elle arrête cela, elle ne savait même pas à qui elle avait affaire, et déjà il lui imposait de venir à lui presque nue, il parlait de cravache … elle qui ne savait même pas ce qu’était une fessée à la main, elle qui était si douillette, il lui suffisait de lui mettre un SMS et tout cela ne serait qu’un rêve de plus … Mais non, elle ne voulait pas justement que ce soit un rêve, il était temps pour elle de le faire ce premier pas …

Elle s’endormit d’un sommeil agité, peuplé d’hommes masqués qui abusaient d’elle…. Elle se réveilla, et réalisa que ce rêve s’évaporait mais que cette fois-ci il allait se prolonger bien réellement …
Elle se prépara , se baigna, elle était curieusement calme ….

Elle avait un long manteau noir qui lui descendait jusqu’aux chevilles, malheureusement les boutons s’arrêtaient au dessus de la taille, d’habitude ,s’il s’ouvrait en marchant elle n’en avait cure, ses vêtements la couvraient …. Mais là, pas de vêtement, pas de slip …. Une robe….. dans son sac …..

Elle réfléchit, et soudain, elle sourit …. Elle avait trouvé la parade ….
Cette lettre, il était hors de question de la froisser, elle allait la placer dans une chemise cartonnée … et cette chemise…. Elle avait un très grand sac à main dans laquelle elle pouvait la placer ….
Il voulait qu’elle se sente honteuse si peu vêtue sur le chemin de son rendez-vous, eh bien ce ne serait pas le cas… Le sac accroché sur l’épaule par une longue lanière, elle avait juste à le déplacer très légèrement et il couvrait ce qu’elle ne voulait surtout pas montrer aux passants .

Elle prit sa voiture, elle ne trouva pas de place près de chez lui, il habitait près de la Concorde, la seule place disponible qu’elle trouva fut près des grands magasins à plus de 800 mètres de là.

Elle se gara, partit ainsi équipée à la rencontre de son destin, les yeux rieurs à la pensée qu’elle aurait pu être gênée en croisant les autres piétons mais qu’ils ne pouvaient se douter de rien.

Mais plus elle avançait, moins elle était joyeuse, plus l’angoisse la reprenait, elle pouvait toujours rebrousser chemin, mais elle savait qu’elle irait jusqu’au bout et elle marchait ….
Arrivée à l’adresse indiquée, elle fit le numéro de code, pénétra dans l’immeuble, sonna à l’interphone, pas de réponse… mais l’ouverture de la porte fut actionnée
Elle se dirigea comme convenu vers l’ascenseur, appuya sur le 4 ème, elle se regarda dans la glace, elle avait l’air apeuré, fini ses yeux rieurs, elle avait plutôt l’air d’une biche aux abois!

L’ascenseur s’immobilisa, elle sortit, se dirigea vers la porte qu’il lui avait indiquée, elle était entrebâillée, elle la poussa, elle se trouvait dans une petite entrée, elle attendit ne sachant plus que faire …

Elle entendit une voix d’homme, provenant de la pièce attenante qui lui dit de retirer son manteau, de déposer son sac et de venir le rejoindre , munie de sa lettre .

Elle s’exécuta, et se présenta devant celui qui allait devenir son maître .

L’homme était assis, dans un fauteuil, il lui fit signe d’avancer, son regard la fixait dans les yeux alors qu’elle s’approchait .

Elle se sentait vidée , mais c’était trop tard pour reculer , elle s’agenouilla devant lui , lui tendit la chemise contenant sa lettre sans détourner les yeux .
Il la regarda d’un air sévère « c’est à vous de me lire votre lettre, vous vous souvenez ? »
-
«
Oui,…. Maître ».... que ce mot était donc difficile à prononcer !
Et elle s’exécuta, mais c’était si dur, sa gorge était sèche, rien à voir avec la lecture qu’elle en avait fait hier, elle lut cette lettre lentement en s’efforçant de le regarder dans les yeux, il ne disait rien, puis quand elle eut fini, elle attendit….

Au bout d’un moment qui lui parut une éternité , elle l’entendit dire : « C’est bien, par cette lettre, vous me confirmez vouloir être ma soumise »
-« Oui, Maître »
Il la fit se relever, et commença à la regarder, à l’inspecter, elle se sentait examinée et en elle cette pensée la ramena au marché aux esclaves, elle se sentit rougir, ferma les yeux alors que la main de son Maître commençait à la palper, d’abord les seins à travers la guépière, puis directement sur sa peau nue, une caresse douce à laquelle elle s’abandonna jusqu’à ce qu’il lui pince brutalement le téton droit, elle gémit…mais ne bougea pas ....
La main continua son inspection, caressa ses fesses en même temps qu’elle entendait un « mais voilà un cul comme je les aime … écarte les cuisses », la main s’insinua entre ses fesses, elle sentit qu’il s’attardait près de son anus, puis l’autre main caressa sa chatte rasée, et elle eut droit encore à une remarque bien crue .
Elle gardait les yeux fermés, elle sentit l’homme qui se trouvait sur son coté peser d’un doigt sur chacun de ses orifices … , elle retint son souffle … et il enfonça simultanément un doigt dans son anus et sa chatte .

Il la lâcha , se mit en face d’elle .
- « Tu es une bonne soumise , montre moi ce que tu sais faire »
Il lui appuya sur les épaules, elle s’agenouilla, le prit dans sa bouche et fit en sorte de le satisfaire .
Au bout d’un court moment, il l’arrêta, la releva
- « Tu sais que tu m’as manqué de respect ? »
-« Oui, Maître »
-« Et pour cela quelle est ta punition ? »
-« Une fessée …. Avec une cravache »
Elle tremblait, il la regarda et elle vit son regard changer, comme une pointe de douceur s’y glisser, elle sentit que derrière ce regard sévère, derrière les mots crus qu’il avait prononcés, il y avait un homme dominateur certes mais humain, que ces mots il ne les avait dits que dans le cours du jeu et que son but n’était pas de l’avilir mais de l’amener à se découvrir et à aimer sa nouvelle condition de soumise.
Il lui caressa la joue , l’attira à lui et elle se plaqua contre lui pendant qu’il prenait sa bouche .

Il se détacha d’elle, elle ne bougeait plus, elle l’entendit s’éloigner quelques instants pour revenir, elle le regarda, il tenait une cravache .

Puis il lui parla
- « Tu vas effectivement recevoir la cravache car tu m’as manqué de respect mais je lis la peur dans ton regard, je vais donc t’isoler en te bandant les yeux »
Elle paniqua , mais se laissa faire .

Il la guida jusqu’ à une chaise qui se situait tout près, la fit se pencher, poser les mains sur le dossier de la chaise, elle dut écarter les jambes et resta ainsi penchée vers l’avant les yeux dans le noir, s’attendant à recevoir un coup….. Mais ce n’est pas ce qui arriva, elle sentit une main caresser ses fesses s’insinuer devant, la caresser et elle gémit, la main revint vers l’arrière et se posa, elle se cambra encore plus ….. quand le premier coup tomba, elle le sentit à peine car il avait juste tapoté sa fesse, elle se détendit, le second vint un peu plus fort mais pas douloureux, elle respira… puis elle sentit qu’il la caressait avec le manche de la cravache … et elle allait au devant de ces caresses uniquement concentrée sur la sensation qu’elle ressentait les yeux voilés par son bandeau …
Pendant un long moment elle fut uniquement concentrée sur cette partie d’elle qui recevait une alternance de caresses et de coups qui de très faibles se firent plus durs mais elle ne savait jamais ce qui allait venir coup ou caresse et en fait elle espérait les deux …
Ce fut sa première correction, elle l’adora, même quand les coups devinrent plus durs elle ne cria pas, ne prononça pas le safe-word car en fait il la ménageait, elle s’en rendait compte, veillait à ne pas être trop violent afin qu’elle se livre à lui de toute son âme, et elle savait que les fessées à venir seraient plus dures mais elle ne reculerait pas car ce qu’elle avait toujours soupçonné lui paraissait une évidence , elle aimait ça.

Puis, les caresses et les coups s’arrêtèrent, elle sentit qu’il lui retirait son bandeau, il la prit dans ses bras, elle nicha sa tête au creux de son épaule, et murmura : « Merci, Maître ».
Il lui baisa le front, la porta jusqu’au lit où il lui fit l’amour tendrement, lui confirmant ainsi ce dont elle se doutait, c’était un homme tendre, attentionné, avide de lui faire connaître le plaisir ….. Son Maître …Et. pour longtemps ..….
 

Par Ludivine - Publié dans : Récits
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Samedi 25 juillet 6 25 /07 /Juil 21:36

Posté le 25/04/2009 à 12:00 par motsetmaux








C’était le jour J, elle avait vu l’annonce 2 jours auparavant sur un site très spécialisé : « Obligée de quitter la région parisienne précipitamment, aimerais confier son compagnon de jeu préféré à une femme de poigne n’ayant pas peur de sévir car sujet très indiscipliné mais capable d’un dévouement sans faille ».

L’annonce était accompagnée d’une photo qui montrait un spécimen racé, de belle envergure, magnifique, avec un regard plein de malice qui la fit fondre, exactement le type de compagnon qu’elle avait toujours désiré avoir à ses pieds….

Elle répondit donc, et le rendez-vous fut prit très rapidement.

Elle quitta la maison au petit matin, en essayant de ne pas faire de bruit pour ne réveiller personne, elle vérifia qu’elle disposait de tout ce qu’il lui fallait pour qu’il la suive sans résistance : la laisse, le collier, elle emporta à tout hasard son martinet au cas où il se révèlerait trop turbulent dans la voiture.

Pendant le trajet, elle pensa aux jours qui allaient suivre , il lui faudrait faire en sorte qu’il comprenne que désormais il était à elle , pour s’en assurer le mieux serait probablement de l’attacher au bas de son lit avec juste une écuelle remplie d’eau , s’il faisait mine de vouloir bouger , elle devrait lui faire comprendre qui était maintenant sa maîtresse , par de bonnes claques sur son arrière-train ,voire même de bons coups de martinets bien placés .

Ce dont elle était certaine, c’est que, l’Animal, depuis qu’elle l’avait vu en photo, elle le voulait, il serait à elle, il se rendrait…… et elle pourrait alors le récompenser par des caresses et des calins qui l’attacheraient à elle à tout jamais….

Elle était arrivée, elle gara sa voiture, prit la laisse, le collier en cuir qui seraient désormais les siens.

Elle marcha dans la petite allée amenant à la porte du pavillon, elle sentait son cœur battre à tout rompre, enfin elle allait en avoir un bien à elle….

Elle sonna, la femme lui ouvrit, son futur protégé se trouvait attaché dans le jardin à l’arrière de la maison, ne sachant encore pas qu’il allait changer de maîtresse, la femme appréhendait le moment de la passation de pouvoirs et espérait le raccourcir au maximum.

Elles réglèrent les derniers détails, elle lui donna tous les éléments le concernant, elles étaient sur la même longueur d’onde et avaient les mêmes idées en matière de dressage.
Il fut convenu qu’elles s’appelleraient au départ tous les 15 jours pour s’entretenir de ses réactions à la domination de sa nouvelle Maîtresse.

La déjà ex-Maîtresse prit le collier et la laisse, quitta sa visiteuse, pour aller les échanger contre ceux qui lui appartenaient et qu’elle tenait à conserver.
Elle l’entendit lui parler, doucement mais fermement, lui ordonner de la suivre…. Manifestement, il résistait, elle entendit clairement le bruit du claquement de la laisse qui avait du être nécessaire pour faire avancer le récalcitrant, elle était anxieuse, allait-il la suivre sans trop broncher ?

Les pas se rapprochèrent, elle l’entendait couiner, mais il suivait car il n’avait pas le choix.
Elle regarda vers la porte qui allait se rouvrir, son cœur battait la chamade, comment allait se passer ce premier contact ?

La femme pénétra dans la pièce, trainant derrière elle son futur compagnon de jeu qui refusait de regarder devant lui.
Comme il était beau, qu’il avait fière allure, elle allait en faire des jalouses parmi ses copines, aucune ne disposait d’un aussi beau mâle …..

Elle resta assise comme prévu, la femme lui tendit la laisse puis quitta précipitamment la pièce, les larmes aux yeux.
Elle regarda ce compagnon qui allait être le sien pendant, elle l’espérait, de nombreuses années, elle l’appela, lui parla gentiment …. Il tourna la tête vers elle, elle vit à son regard qu’il était désorienté mais aussi intéressé, elle lui sourit ce qui eut l’air de le rassurer car il s’approcha d’elle et tout doucement vint poser sa tête sur ses genoux, en signe de soumission.
Il l’avait acceptée , c’était elle maintenant sa Maîtresse, il la regardait avec déjà tant d’amour dans les yeux……. Ca le rendait presque humain, elle le caressa, l’embrassa … et lui dit tendrement : « allez, viens, mon pépère, mon beau toutou ….. Tu vas être heureux dans ta nouvelle maison…… et j’ai bien l’impression que si tu m’aimes autant que moi je t’aime déjà, jamais de ma main tu ne connaitras autre chose que des caresses……
Par Ludivine - Publié dans : Récits
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