Dimanche 9 octobre
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21:18
Depuis quelques temps le sort s’acharne sur notre couple, ennuis familiaux, décès ou maladie de proches,
l’impression de toucher le fond, nous sommes fatigués, plus le cœur à jouer.
On a besoin l’un de l’autre, on s’épaule mutuellement, nous sommes un couple avant tout.
Il est là quand je suis prête à craquer, je suis là quand le cœur n’y est pas.
C’est parce qu’on est deux que l’on arrive à s’en sortir, plus question de fessée je n’en ai guère l’envie, j’en
ai bien reçu une lorsque je n’arrivais pas à remettre la main sur un papier primordial pour certaines démarches… Et pourtant j’avais retrouvé la pochette à élastique où je l’avais placé … mais le
document était manquant.
Calmement il me posait des questions, cela faisait une demi heure que je tournais cherchant cette maudite
feuille, sans essayer d’être rationnelle.
Tranquillement il m’a fait remonter le chemin qu’avait pu prendre cette pochette, moi je ne savais qu’une
chose : le papier n’était plus dans sa pochette, j’avais du le perdre, c’était tout ce que je voyais comme explication, et j’avais l’impression que tout s’effondrait autour de moi.
Il éleva le ton, m’ordonna de m’asseoir, et de répondre à ses questions une à une :
-« Où as-tu rangé ce document ? »
-« Dans cette pochette : mais il n’y est plus ! »
-« Quand est ce que tu as eu le document en main pour la dernière fois ?»
-« Ce matin quand on a fait les formalités puis je l’ai rangé dans sa pochette dans ce sac en attendant de
revenir à la maison »
-« Qu’est ce que tu as fait de la pochette une fois à la maison ? »
-« Je l’ai rangée directement dans mon porte document dans la pochette extérieure »
-« Tu as regardé dans la pochette extérieure ? »
-«Ca ne sert à rien, je t’ai dit que la pochette était fermée j’ai du le perdre à l’hosto !! »
Mais en même temps je passai la main dans la poche extérieure de mon porte document … et trouvai le dit document
qui avait du s’échapper de la chemise pourtant fermée.
Je le regardai, il se leva me regardant sévèrement : « tu gaspilles ton énergie et tu te crèves à
t’énerver ainsi au lieu de réfléchir calmement ! »
Il me prit le bras et m’entraina vers le lit, je ne voulais pas, il me força à me mettre à genoux et je
reçus une fessée monumentale bien plus douloureuse que celles qu’il me donne d’habitude.
Je pleurais à la fois à cause de la douleur, mais aussi parce que j’évacuais mon trop plein, cette tension
qui ne m’avait pas quittée de la journée mais il me répondit avant de me prendre dans ses bras que s’il avait fait cela c’était pour me faire reprendre mes esprits, et, même si sur le coup je
n’étais pas prête à le reconnaître, je dois avouer qu’il avait raison.
Quand je quittai le réconfort de ses bras, je le vis sourire, il me fit me retourner, vue la chaleur qu’il
ressentait au creux de sa paume, il voulait contrôler…et de s’extasier sur les superbes marques qui marbraient mon fessier !!
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