Vendredi 14 mai
5
14
/05
/Mai
12:47
14 mai, ouf, un pont, pas besoin de se réveiller à 7 heures en semaine pour une
fois!
Bon, mon dom devait se lever à 8 h eures 30 car il avait un rendez-vous à 10
heures.
Je pris donc soin à l’extinction des lumières de modifier les horaires de
programmation de mes 2 réveils et de mon téléphone fixe. Eh oui, il faut bien ça pour être surs de ne pas nous rendormir surtout que la première sonnerie signe le début de super câlins, et que
confortablement lovés l’un contre l’autre on se laisserait bien aller à replonger dans les brumes du sommeil!
Nous dormions donc du sommeil des justes, , quand soudain, omission fatale, mon portable, que j’avais oublié dans l’affaire, eut le bon gout de me distiller sa musique de réveil
…à 7 heures !!
Ce que ne manqua pas, 5 minutes après que l’objet du délit se soit manifesté, de
relever le monsieur qui me tenait tendrement dans ses bras quand il eut l’idée de regarder l’heure qui s’affichait sur un des réveils.
Et, d’une voix douce, de me dire, « Tu as fait une erreur, toi, ça mérite une
punition »
-« C’est pas moi, c’est la technologie
moderne ! »
-« C’est bien toi qui l’a réglée la technologie moderne , tu mérites donc une
punition ! » toujours d’un ton câlin, en me serrant tendrement dans ses bras.
« Combien de coups de cravache cela mérite-t-il à ton avis ? Allez,
je vais être gentil, 12 ! »
-« Mais j’ai rien fait moi, c’est mon portable, il est jaloux,
pff ! »
-« Et tu argumentes, en plus, pour la peine ce sera 2 de plus pour t’apprendre
à marchander, position 1, devant la glace de la salle de bains ! »
Et voila comment en ce bon matin, après un tendre câlin, je dus me lever suivie des
yeux par mon dom qui manifestement jubilait, pour aller chercher la cravache et la lui présenter à genoux dans la salle de bains où il m’attendait, avant de prendre la position indiquée et de
recevoir les 12 coups de cravache promis, que je dus évidemment compter à haute voix.
J’eus le réflexe de fermer les yeux pour mieux accuser les coups, ce qu’il me fit
remarquer aussitôt en m’ordonnant de me regarder sous peine de tout recommencer à zéro.
Il n’avait évidemment pas oublié les 2 coups supplémentaires (ça a une bonne mémoire
des chiffres, les mathématiciens ! ) dont il m’avertit juste avant de me les administrer qu’ils seraient beaucoup
plus méchants, je serrai les fesses et vis ma grimace dans la glace, et je comptai …13…..14
Puis il me rendit la cravache que, d’un geste désinvolte, (on est chipie où on ne
l’est pas), je mis sur mon épaule à la manière dont on porte des skis et partis d'une démarche nonchalante pour la ranger.
Je le vis sourire, ses yeux se firent moqueurs, il regarda mes fesses bien rougies
et me dit « Pas assez zébrées à mon gout, mais je ne reste pas pour admirer le spectacle, dimanche matin, ce sera à la badine, après tout je n’ai pas besoin d’avoir une raison spéciale de
marquer tes fesses, même si tu viens de m’en donner une de plus ! »
je suis heureuse de te voir heureuse
je te souhaite tous les bonheurs du monde
c'est toujours aussi beau tout ce que tu ecris
Hélène
Merci à toi , bisous
Ca faisait longtemps que j etais pas passée, ben je suis pas décue! j adore ce récit!!!!! encore!!!! :) bisous!
Je n'ai fait que relater ce qui s'est passé,sourire.... contente de te revoir , ma puce
la chute est sympatique..
je trouve aussi....