Ludivine

   
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d'ordi à ordi  Une femme-enfant , une gentille chipie qui aime être dominée sexuellement et recevoir des fessées.


 

Je ne prétends pas être la meilleure des soumises, loin de là , mais je le suis à ma manière.  

 

  Juste moi, tout simplement  ....  copyrightfrance-logo13

 

Dimanche 30 août 7 30 /08 /Août 02:09

 


 


S’allonger

Enfin se reposer

Et se laisser aller

Oublier un instant

Qu’on lutte trop souvent

 

Sombrer

Dans un sommeil de plomb

Pour un moment très long

Parce que l’on n’en peut plus

Que le corps est vaincu

 

Laisser

Ses rêves s’envoler

Loin des tristes pensées

Qui depuis quelques temps

Etaient notre tourment

 

Courir

Comme portée par le vent

Vers cet homme charmant

Qui  loin au bout du quai

Nous semble plein d’attraits

 

Se retrouver

Prisonnière de ses bras

Sentir son cœur qui bat

Lever les yeux vers lui

Captive dans la nuit

 

Rêver

A ces instants divins

Où les corps ne font qu’un

Se laisser emporter

Par tant de volupté

 

Flotter

Comme détachée de tout

Dans ce rêve un peu flou

Et là s’abandonner

A la paix retrouvée

 

 

Se réveiller

Emerger doucement

Trempée évidemment

Et là réaliser

Qu’on n’a fait que rêver

 

 

Penser

Qu’en un lieu quelque part

Un homme tôt ou tard

Sera au bout du quai

Rêve mais réalité

 

 

 

 

 

 

Par Ludivine - Publié dans : Poèmes
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Jeudi 27 août 4 27 /08 /Août 04:46

 

 

 

 

 



Il y a des mots qu’on prononce sur le coup de la colère, des mots qui nous dépassent et qu’on regrette après parce qu’ils ont été dits alors qu’on n’était pas dans son état normal.

Quand je fais une erreur, je la reconnais toujours  parce que je sais reconnaître mes torts mais s’il y a une chose que je ne regretterais jamais ce sont les mots que j’ai écrits en réponse à un n -ième commentaire méprisant de la même personne abjecte il y a 3 jours de ça.


Il y a des larves qui deviennent de superbes papillons, d’autres qui se transforment en  insectes nuisibles à  détruire comme les cafards.


Il est une chose certaine c’est que si moi je suis humaine avec mes faiblesses, mes combats qui peuvent paraître ridicules à certains qui se prennent pour des cadors, ces mêmes cadors devraient peut être se poser des questions sur eux  et ouvrir les yeux pour voir vraiment ce que leur miroir leur renvoie comme image.

Il existe parmi mes lecteurs une larve de cafard que j’ai insulté et qui refuse obstinément d’ouvrir les yeux puisqu’il y a encore été de son commentaire à la mors moi le nœud.
La connerie ça finira par le rendre impuissant s’il ne l’est pas déjà, en tout  cas moi je ne retire aucun des mots que j’ai écrits à son encontre.


J’ai un peu l’impression d’être une souris face à un mammouth (parce qu’un éléphant ça serait trop fin à son égard), ce n’est pas la souris qui s’en va , mais le mammouth qui fout le camp la queue entre les pattes!

 Ah, au fait il parait que les mammouths ont peur des petites souris parce qu’elles montent dans leur trompe et qu’elles leur bouffent le cerveau… ça doit franchement être dégueulasse le cerveau d’un cafard, non décidément je ne serais jamais scato !!!



Par Ludivine - Publié dans : Règlement de comptes à OK Ludivine
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Mercredi 26 août 3 26 /08 /Août 19:59

 



Depuis 2 jours j’étais là , vidée , fatiguée par la pensée de mes responsabilités que je ne cherche pas à fuir mais qui m’accablaient, de ce qui m’attendait au travail, une reprise plus que pénible après 2 mois et ½ d’arrêt , non pour mon travail , j’aime ce que je fais , mais pour l’ambiance pourrie dans laquelle je le fais , pourrie par le harcèlement de mon boss qui cherche à ce que je lui donne ma démission depuis plus de 7 ans et à qui je tiens tête car je ne céderai pas.  

 

Combien de fois ai-je essayé d’écrire pour me soulager de cette oppression, rien ne sortait.

Je sentais que je ne pouvais continuer ainsi à me laisser accabler par ces pensées et j’ai pris rendez-vous pour une séance d’hypnose pour cet après-midi

 

Avant-hier au soir , j’avais fait ce que je n’avais pas fait depuis longtemps, si longtemps , ma mère voyant que j’étais épuisée m’avait fait m’asseoir sur le divan à côté d’elle et instinctivement j’ai posé ma tête sur son épaule , elle était émue de me savoir ainsi sans force et m’a caressé les cheveux, je me suis retrouvée 40 ans en arrière , et ce court instant, j’étais bien, ce soir là je me suis endormie épuisée et ne me suis réveillée qu’au petit matin , j’allais mieux .

 

Malheureusement j’ai du appeler une des assistantes au travail et elle m’a avertie que je devais m’attendre à ce que ce salaud accroisse la pression dès son retour la semaine prochaine, car il les a prévenues qu’il allait me rendre la vie impossible pour que je parte.

 

 Et là ce fut la fin de ma sérénité retrouvée, j’étais anéantie à la pensée que lui avait rechargé ses batteries pendant ses vacances alors que ce n’était pas mon cas , je ne pouvais penser qu’à ça, j’étais mal ,épuisée .

 

 Hier, les gens me parlaient, j’étais vidée comme si sur mes épaules, il y avait une chape de plomb, je ne pensais qu’à abréger les discussions et à me coucher, mais je n’ai pas trouvé le sommeil et les larmes se sont mises à couler que je n’arrivais pas à retenir..

Mon chat me regardait d’un air inquiet, couché à mes pieds, je me suis déplacée vers lui, j’ai posé la tête sur son flanc et il n’a pas bougé me laissant ainsi me déstresser en caressant son poil si soyeux et doucement j’ai senti que j’allais pouvoir enfin trouver le sommeil.

 

Ce matin je suis sortie, j’ai marché dans les rues, démotivée, triste malgré ce ciel bleu et cette température agréable, en me disant qu’il fallait espérer que la séance d’hypnose que j’aurais cet après midi allègerait mon fardeau.

 

Je suis rentrée tout à l’heure et je ne peux dire qu’une chose à mon thérapeute c’est MERCI, ça a été difficile d’arriver à me faire me libérer de ce poids qui m’oppressait mais il y est arrivé, déjà 10 minutes après l’avoir quitté je me sentais mieux, allégée, tranquille, sereine, comme si j’avais une carapace sur laquelle aucune des piques de ce salaud ne trouvera de faille.

Je vais mieux, la preuve en est c’est que je me suis mise devant l’ordi, j’ai voulu  encore une fois témoigner des bienfaits de l’hypnose eryksonienne et raconter ces 2 jours où j’avais ressenti ce besoin de trouver le réconfort auprès de ces 2 êtres que j’aime et qui m’aiment et qui ont  besoin de moi comme j’ai besoin d’eux ….

 

  


 

Par Ludivine - Publié dans : D'autres sujets qui m'intéressent
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Lundi 24 août 1 24 /08 /Août 13:05

 




Cette nuit j’ai eu un moment de découragement comme ça peut arriver à tout un chacun lorsque la vie n’est pas toute rose.

 

Il y a des choses dures à supporter et là je ne parle pas de bdsm, je parle de souffrances morales ou physiques contre lesquelles on ne peut rien faire d’autre qu’accepter et essayer de ne pas flancher car si on le fait ce sont ceux qui s’appuient sur vous qui s’écrouleront peut être même définitivement .

 

Alors on a parfois l’impression d’avoir sur ses épaules tout le poids du monde , d’où des nuits agitées où l’on se réveille par intermittence, évidemment il y a toujours plus malheureux que soi, combien de fois ai-je pensé au malheur des autres en me disant que je n’avais vraiment pas de quoi me plaindre en comparaison, mais chacun voit midi à sa porte et il y a des moments où les responsabilités nous écrasent, où l’on voudrait partir sur une ile déserte pour qu’on nous foute enfin la paix, mais voilà, même si c’était faisable, on ne s’en accorde pas le droit au nom de ces sacro saintes responsabilités, par peur des conséquences si la personne qui dépend de vous se retrouve sans soutien .

 

Cette nuit j’ai eu mal, mal dans mon corps par des souffrances physiques bien réelles même si elles ne sont que le reflet de ma souffrance morale et j’ai craqué, pleuré sur la connerie de la vie, sur le sort qui s’acharne, pleuré sur moi, parce qu’il y a un moment où il y a un trop plein et où les larmes deviennent libératrices, où on a envie de hurler un bon coup, toute seule , comme un animal blessé mais il est 4 heures du matin et ça ne se fait pas ,

Alors j’ai écrit mon poème et tout doucement je me suis calmée.

 

C’est parce que j’ai cette souffrance en moi, ces responsabilités qui m’oppressent dont je n’ai aucun moyen de me démettre que mon refuge c’est ce blog et l’espoir que j’ai d’enfin trouver celui que je recherche, pour vivre des moments à part où j’oublie tout le reste, on peut me traiter de midinette, de cœur d’artichaut, je m’en fiche car c’est ça qui m’aide à vivre et à ne craquer que quelques instants et pas définitivement.

 

Je me suis fait traiter dernièrement de demeurée, de pétasse, de gourdasse et de poufiasse par la même personne qui trouve son plaisir à me mettre ses commentaires odieux sur mon blog et pour être bien certain(e) que je lise ces qualificatifs, il ou elle me les met  dans son pseudo , de son opinion je m’en tape , mais je pense que ces sobriquets lui reviennent en miroir car c’est vraiment se comporter comme tel que de passer son temps à lire de long en large et en travers ce qu’on trouve détestable. 

 

La vie c’est une saleté parfois et pour en échapper moi j’ai choisi ma voie, je suis soumise à ma manière mais c’est ça qui m’aide à garder la tête hors de l’eau et ne pas me laisser couler.

 

Alors si je m’enflamme un peu vite, c’est parce que j’ai ce besoin vital d’oublier le reste et de me donner à fond pour évacuer ce stress qui me bouffe et si l’histoire s’arrête tant pis, ça valait le coup de m’échapper, de trouver ces bouffées d’air qui sont mon oxygène.

Je ne ressasse pas quand une relation est terminée, j’essaie d’aller de l’avant, il y a des choses beaucoup plus graves qui me bouffent déjà suffisamment

 

Alors oui, je suis une midinette et à la limite c’est ce qui me sauve, parce que j’ai besoin d’être ailleurs, de vivre mes envies, de rire quand je reçois la fessée, de ne plus penser qu’à moi et à ce que je ressens, comme au temps de mes 15 ans où je ne connaissais pas encore le poids des responsabilités, où la vie était rose



     
Par Ludivine - Publié dans : Qui suis-je?
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Lundi 24 août 1 24 /08 /Août 06:43



Se reprendre c'est ça l'important
Ne pas se laisser abattre
Trouver son échappatoire
Même s'il n'est qu'illusoire
Arriver à rebondir quoi qu'il arrive




Comme souvent depuis tant d’années

Ne dormir que par intervalles

Après 2 ou 3 heures se réveiller

Parce qu’on souffre et qu’on a mal

 

Mal dans sa chair, mal dans son âme

Besoin de pleurer, envie de crier

Contre la vie, contre ses drames

Résister mais quelquefois craquer

 

Se lever, faire quelques pas

S’installer devant l’ordinateur

Poser ses mains bien à plat

Rester là figée dans sa torpeur

 

Se ressaisir car il le faut

Sécher ses larmes et respirer

Sur le clavier taper ses mots

Ceux qui  aident à mieux aller

 

Parce qu’on a mal à en chialer

Qu’on en a marre de ce qu’on vit

Qu’on a besoin de s’évader

D’oublier ce qui nous réveille la nuit

 

Alors on écrit ses désirs

On raconte les maux

Ceux auxquels on aspire

Pour oublier ses fardeaux

 

Et les mots s’affichent sur l’écran

Ils dépeignent ces instants

Où l’on oublie ce qui est si pesant

Dans des moments hors du temps

 

Et peu à peu se redresser

Car on se sent moins oppressée

Par tous les mots qu’on a couchés

Toute cette peine s'est allégée

 

Rester encore un court instant

Les yeux perdus dans le lointain

Se dire que c’est ça l’important

Pouvoir échapper au quotidien

 

Vivre ses envies pour oublier

Toutes ces douleurs et toutes ses peines

Continuer à croire et à rêver

Qu’on trouvera enfin ses chaînes

 

Se lever doucement

Car on se sent délivrée

Se recoucher tranquillement

Car ses douleurs sont atténuées

 

Et s’endormir comme une masse

Parce qu’on est épuisée

Que la vie est souvent une impasse

Et que rêver c’est s’en évader


 

Par Ludivine - Publié dans : Poèmes
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