mots et maux
Je rêve
D’un monde sans violence
D’instants de plénitude
D’une année sans souffrance
Est-ce donc si absurde ?
Je rêve
De partir en vacances
Loin de ces turpitudes
D’un retour à l’enfance
Où tout était quiétude
Je rêve
De prévoir à l’avance
La fin des inquiétudes
Le temps de l’insouciance
Comme une certitude
Je rêve
D’une improbable alliance
Qui serait le prélude
A moins d’intolérance
A plus de gratitude
Je rêve
Que leur intolérance
Face à ton attitude
Perde sa virulence
Que revienne la quiétude
Je rêve
L’arrêt de leurs manigances
Finies ces servitudes
Et c’est ma doléance
Est-ce donc si absurde ?
sourire...
Non ce n'est pas Absurde Ludivine... d'aspirer au bonheur.
Bisous tendresse,
Lilou