mots et maux
Il y a des mots qu’on prononce sur le coup de la colère, des mots qui nous dépassent et qu’on regrette après parce qu’ils ont
été dits alors qu’on n’était pas dans son état normal.
Quand je fais une erreur, je la reconnais toujours parce que je sais reconnaître mes torts
mais s’il y a une chose que je ne regretterais jamais ce sont les mots que j’ai écrits en réponse à un n -ième commentaire méprisant de la même personne abjecte il y a 3 jours de
ça.
Il y a des larves qui deviennent de superbes papillons, d’autres qui se transforment en
insectes nuisibles à détruire comme les cafards.
Il est une chose certaine c’est que si moi je suis humaine avec mes faiblesses, mes combats qui
peuvent paraître ridicules à certains qui se prennent pour des cadors, ces mêmes cadors devraient peut être se poser des questions sur eux et ouvrir les yeux pour voir vraiment ce que leur
miroir leur renvoie comme image.
Il existe parmi mes lecteurs une larve de cafard que j’ai insulté et qui refuse obstinément
d’ouvrir les yeux puisqu’il y a encore été de son commentaire à la mors moi le nœud.
La connerie ça finira par le rendre impuissant s’il ne l’est pas déjà, en tout cas moi je ne retire aucun des mots que j’ai écrits à son encontre.
J’ai un peu l’impression d’être une souris face à un mammouth (parce qu’un éléphant ça serait trop fin à son égard), ce n’est pas la souris qui s’en va , mais le mammouth qui fout le camp la
queue entre les pattes!
Ah, au fait il parait que les mammouths ont peur des petites souris parce qu’elles montent dans leur trompe et qu’elles leur bouffent le cerveau… ça doit franchement être dégueulasse le cerveau d’un cafard, non décidément je ne serais jamais scato !!!