mots et maux
Posté le 25/04/2009 à 12:00 par motsetmaux
Le Maître est bien là
La soumise au pas
Et quand il ordonne
Elle s’abandonne
Là sur le divan
Sur genoux couchant
Ses mains qui caressent
Elle lui tend ses fesses
Pendant que lui frappe
La donzelle jappe
Plus les coups résonnent
Et plus elle entonne
Elle compte les coups
Surtout pas tout doux
Car le moindre oubli
Et c’est reparti
Sa croupe qui frétille
Et son corps se vrille
Beau travail de sape
De la main qui tape
Elle qui a si chaud
Car tel est son lot
Son fessier marqué
Est comme marbré
Cette main si dure
Mais toujours si sûre
Elle devient velours
C’est déjà moins lourd
Ainsi la vigueur
Redevient douceur
La main qui s’allège
C’est comme un arpège
Le Maître est bien là
La soumise au pas
Quand enfin il donne
Elle s’abandonne
Sam 25 jui 2009
Aucun commentaire