mots et maux
Posté le 25/04/2009 à 12:00 par motsetmaux
Ouille, aille
Vaille que vaille
Toujours le narguer
Pendant la fessée
Douleur qui cisaille
Surtout pas que j’me taille
Parader
Ne pas reculer
Pas de faille
Même si ça tiraille
Anonner
Faire des pieds de nez
Moi sa caille
Il en fait ripaille
Je dois compter
Chaque coup donné
Sur ma taille
Mon T shirt baille
Mon fessier
Par lui dégagé
Il me raille
Et moi sa canaille
Regard voilé
Je me sens brûler
Mon corps qui tressaille
Sans qu’il y ait d’entaille
Par les coups donnés
Je suis délivrée
Là dans mes entrailles
Règne la pagaille
Ma croupe est marbrée
Ma mouille libérée
Ouille, Aille
Vaille que vaille
J’aime la fessée
Par lui prodiguée
Sam 25 jui 2009
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