mots et maux

Posté le 13/07/2009 à 01:06 par motsetmaux








Tout comme il n’y a pas un seul type de soumission, il n’y a pas non plus un seul type de domination, l’important est que le dom et sa soumise y trouvent leur compte.

Au départ d’une relation tout n’a pas été dit, on se découvre et tôt ou tard peuvent apparaître des divergences dans les pratiques du dom et de sa soumise, plus ou moins importantes, qui peuvent parfois amener à la rupture.

A ce propos j’ai été frappée par 2 approches aux antipodes l’une de l’autre de 2 doms, l’un me disait qu’il adaptait ses pratiques en fonction de sa soumise, l’autre estimait que c’était à la soumise de s’adapter.

Lorsque des divergences apparaissent, je pense déjà que d’en discuter permet de savoir si des concessions peuvent être faites d’un côté ou des 2, mais si le différent persiste alors l’un des 2 doit céder et un élément important rentre en ligne de compte, c’est la faible proportion de soumises libres par rapport aux doms.
Il ne faut pas oublier également une chose : c’est la soumise qui subit, c’est elle qui va ressentir la douleur. Chaque personne a son propre seuil de douleur, alors je pense que c’est au dom de s’adapter dans l’intensité de ses gestes et si c’est une pratique bien particulière que la soumise refuse, et qu’en discuter n’a pas modifié sa position alors encore une fois c’est au dom de s’adapter , faute de quoi il risque fort de se retrouver à rechercher une autre soumise, et de là à se poser cette question , qui des deux domine l'autre finalement
Sam 25 jui 2009 Aucun commentaire