mots et maux
Posté le 06/05/2009 à 12:00 par motsetmaux
C’est une pratique très prisée par ces messieurs qui nous dominent, je soupçonne même certains hommes qui en sont adeptes de se dire dominateurs, juste pour trouver des partenaires l’acceptant.
Cette pratique qui peut paraître avilissante à certains, n’a rien de rebutant lorsqu’elle est réalisée au sein d’un couple uni par une passion commune, amour ou d/s. Personnellement j’aurais quand même du mal à le faire sans protection, sourire.
Entre les 2 partenaires il y a comme une fusion des corps, le sentiment de complète possession pour l’homme, d’appartenance pour la femme.
C’est une pratique qui a quelque chose d’animal et c’est à ce moment que personnellement je me sens vraiment chienne.
Je ne suis venue à cette pratique qu’après plus de 15 ans de relations sexuelles, disons conventionnelles.
Au tout début de mon mariage il y a plus de 20 ans, mon mari n’avait rien trouvé de mieux que de tenter de se frayer un passage par cette voie inexplorée, sans précaution aucune, d’une manière qui s’apparentait plus à un viol qu’à un acte sexuel consenti.
Et le mufle quand je l’avais viré d’un bon coup de reins en lui interdisant de s’approcher de cet « endroit sacré », n’avait rien trouvé de mieux que de me dire, « de toute manière je t’aurais un jour, quitte à te surprendre dans ton sommeil ».
Les 2 ans qui suivirent, jusqu’à notre séparation, je n’ai jamais pu m’endormir en lui tournant le dos, la confiance régnait…..
Ce n’est que 8 ans plus tard qu’un homme a su en prenant moultes précautions m’amener à accepter cette pratique qui m’épouvantait, et je dois dire que j’ai fini par aimer cela et qu’en plus mon plaisir est augmenté à chaque fois par le sentiment de triomphe et de revanche par rapport à mon gougeât d’ex-mari
Sam 25 jui 2009
Aucun commentaire