mots et maux



Posté le 26/04/2009 à 12:00 par motsetmaux






J’ai l’habitude de dire que mon collier, je le porte en moi, pas besoin de ce signe extérieur d’appartenance, je suis attachée à mon domi par mes tripes, c’est bien plus profond.

Je me souviens d’une femme en couple avec des enfants depuis plus de 15 ans qui m’avait dit qu’elle n’était pas mariée mais qu’entre elle et son compagnon il y avait beaucoup plus qu’un simple morceau de papier;

Si je mets un collier, ce sera une fantaisie sans anneau pour y attacher une laisse, mais je dois avouer que ce sera un collier de chien.

Etre traitée comme une chienne qu’on promène, qui lape dans sa gamelle, qui est mise en cage, ce n’est pas du tout mais pas du tout mon trip.

Si dans le jeu, j’ai droit à un collier je ne le refuserais évidemment pas tant que ça reste en privé mais être promenée en laisse ne m’excite en rien , par contre sentir qu’on réunit l’anneau du collier à des menottes placées sur mes poignets et mes chevilles par des chaines déclenche en moi une excitation liée à la promesse des jeux de domination qui vont suivre , savoir que je vais être entravée , objet sexuel amenée à subir tous les caprices de celui à qui je me soumets.
Sam 25 jui 2009 Aucun commentaire